Sujet: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Mer 4 Déc - 18:55
Pryam Whiterleaf
" Every man is the author of his own life " Paul Auster
TON PERSONNAGE
PRÉNOM & NOM Pryam Whiterleaf. AGE 27 ans. DATE DE NAISSANCE 26 juillet 1526. ORIGINE Anglais. SITUATION FAMILIALE Marié, pour le meilleur... Et surtout pour le pire. MÉTIER Trésorier de la Couronne. GROUPE Noblesse d'Angleterre. CRÉDITS Crimson Winter & Tumblr.
LE JOUEUR
PSEUDO Thémis. AGE 16 ans. OU AS-TU CONNU LE FORUM? Ici Mary Grey sous son second visage ! TON AVATAR Aneurin Barnard. VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? Fictif. VOULEZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ? Nope, je commence à connaître la maison !
Audience devant la reine.
▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? Ce n'est sans doute pas une chose à dévoiler, vu les temps qui courent, néanmoins je reconnais fièrement être protestant. De coeur, bien sûr, puisque en apparence, il n'y a pas plus catholique que moi à la Cour d'Angleterre. Le prix à payer pour y conserver sa place est de mentir, hors à ce jeu là, je suis plutôt doué. Les changements m'inquiètent - quel protestant n'en serait pas inquiet ? - mais je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour ne pas être personnellement touché. Tout en aidant, tout en restant discret, la communauté réformée qui demeure importante en Angleterre.
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA NOUVELLE REINE D'ANGLETERRE? Mary Tudor me déplaît fortement, parce-qu'elle est catholique comme l'était sa mère, et que moi, je suis protestant. Elle ne m'inspire pas la moindre confiance et si je lui ai prêté allégeance, je me méfie d'elle comme de la peste. Dieu merci, j'ai pu retourner ma veste à temps, ce qui ne fut pas le cas de tout le monde. Il n'empêche que sa présence sur le trône n'est pas du tout pour me satisfaire, mais avec un peu de chance, elle n'y demeurera pas trop longtemps. J'y veillerais, en plus de veiller sur ma propre tête... Si je pouvais éviter de finir comme mon vieil ami Edward Seymour, ce serait bien !
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE JANE GREY? Nous avons été nombreux à croire qu'elle serait le salut de tout le protestantisme anglais, et encore plus nombreux à nous être bercés d'illusions à ce sujet? Hélas, je ne fais pas exception à la règle, j'ai juste eu la chance que John Dudley ou Henry Grey n'ont pas eu, celle de ne pas m'être trop personnellement impliqué dans l'affaire, donc d'avoir pu m'en tirer à peu près facilement. Et, une fois n'est pas coutume, je peux aussi en remercier mon père. Néanmoins cette demoiselle a toute sa place sur le trône, et au nom de tous les protestants du pays, il vaudrait mieux qu'elle y remplace vite Mary Tudor... Et ça tombe bien, j'y travaille.
▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? Ah, l'ombre, un mot si mal vu, et pourtant dans lequel rares sont ceux à ne pas y tremper. Pour ma part, je fais plus qu'y tremper, mais n'est-ce pas ce qui fait tout le piquant de l'affaire ? Une bonne partie de ma vie reste dans l'ombre : mon mariage, ma religion, mes manigances. L'ombre est de ses armes que lorsqu'on a appris à les manier, on peut les modeler à sa guise pour se protéger de ceux qui, eux aussi, les manient, et pour, sans que quiconque s'en rende compte, avancer ses pions, jusqu'à ce que l'adversaire cède. L'ombre n'est qu'une partie d'échecs à taille humaine. Il suffit d'en écrire les règles.
Dernière édition par Pryam Whiterleaf le Sam 7 Déc - 21:55, édité 5 fois
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Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Mer 4 Déc - 18:55
Imagination rules the world, and I saw it grand
Les conversations des uns et des autres se répercutaient sur les murs de la salle du banquet. Dans les âtres, les feux scintillaient, fournissant une source de chaleur non négligeable, en ce mois de janvier. Ajoutez les déplacements des biens nés qui peuplaient les lieux de leurs vas-et-viens incessants, de leurs bavardages joyeux, et vous aurez une idée de la chaleur - presque étouffante, mais ce n'était pas désagréable en comparaison avec le froid mordant de l'extérieur - qui régnait dans la pièce. Assis sous de dais royal, le roi Henry promenait son regard sur la vaste pièce comble avec satisfaction. A son côté, la reine Anne souriait aussi. La lumière issue des cheminées et des torches se reflétait sur les parures d'or du roi, sur les yeux noirs de la reine, ainsi que sur le satin brillant de sa robe. Ils ne s'adressaient pas la parole, et déjà, la Cour savait ce qui se tramait, sans toutefois savoir jusqu'où ça irait. Après avoir répudié Katherine d'Aragon, dernière-née des Rois Catholiques d'Espagne, fait de sa fille Mary une bâtarde, brisé tout lien avec l'Eglise Catholique romaine, déclenché une guerre civile que le chancelier Cromwell avait encore du mal à mater, épousé enfin Anne Boleyn après sept ans d'attente, voilà que le roi avait une nouvelle lubie : Jane Seymour. A moins qu'enfin elle ne mette au monde un fils, la chute d'Anne s'orchestrerait déjà, et nul doutait qu'elle serait aussi rapide que son ascension.
Et moi, là-dedans ?
J'étais présent, ce soir-là. Mon père avait été cordialement invité par Sa Majesté à participer au banquet donné en faveur de la nouvelle grossesse de la reine. Dix années avaient passé depuis ma naissance, à Londres par un venteux après-midi de juillet, après des heures et des heures de travail acharné pour ma pauvre mère, à qui je déchirais les entrailles si bien que sa survie tint du miracle, et que jamais elle ne put porter d'autre enfant. Heureusement pour nous deux, je suis né garçon et en pleine santé. Héritier d'une famille de Lords fortunée et très ancienne, inutile de préciser que je fus choyé et éduqué comme devait l'être tout noble, et que je me prenais alors pour le centre du monde. Principal souci de mes parents en tant que leur unique descendant, j'avais une fâcheuse tendance à penser que tout m'était acquis et que toute résistance cèderait à mon passage. En un mot, je me pensais invincible.
Sauf que j'avais tord. Chose que je compris l'année de mes dix ans.
Ce que je ne savais pas encore, c'est que ce dîner allait changer ma vie, bien plus que je ne l'avais anticipé. A l'autre bout de la tablée, je vis mon père, en pleine discussion avec un certain Cleutin d'Oysel, un français, et sur ses lèvres, je distinguais le nom d'Anne Boleyn. La reine. Je ne vis pas l'expression de son interlocuteur, sans doute dut-il faire la grimace, comme tout catholique digne de ce nom... A la place, mon regard croisa celui, aussi clair que le mien, de ma mère. Elle me fit un petit sourire contrit, auquel je répondis, non sans amertume. Baissant les yeux sur le contenu de mon assiette, je sentais la rage de tordre les entrailles. Alors, quand je relevais les yeux, ceux-ci brillaient d'une lueur de détermination. Je savais mon père favorable à Anne Boleyn et, saisissant le nom de cette dernière dans la conversations de mes voisins, j'eus un rictus avant de déclarer, assez fort pour que toute la tablée m'entende.
"Boleyn n'est qu'une putain. Jane Seymour vaut dix fois mieux qu'elle."
Je ne comprenais pas grand-chose à ce que je venais de dire, mais je sus que j'avais touché juste au regard choqué de mon père et à celui, jubilatoire, de ma mère. Je n'avais alors pas vu qu'Edward Seymour, frère de ladite Jane, avait aussi levé les yeux dans ma direction. Non, tout ce qui m'importait, c'était la surprise dépitée de mon géniteur.
Acte de subversion n°1.
Pourquoi agir de la sorte ? C'est bien simple. Quelques semaines avant ce fameux dîné ou, pour la première fois, mais pas la dernière, j'ai jeté l’opprobre sur mon illustre paternel, j'ai eu le déplaisir d'apprendre qu'il m'avait ni plus ni moins dépossédé de mon héritage. Pour la plus mauvaise raison que j'avais jamais entendu : figurez vous que mon imbécile de père avait, des années plus tôt, quelques mois avant de rencontrer ma mère, courtisé une ravissante Lady dont il était fort épris. Sauf que la Lady, une certaine Eleanore, avait un deuxième prétendant, qu'elle lui préféra, chose que je peux que comprendre, même si l'homme en question était un simple négociant qui avait bâti sa fortune dans le textile. Rageur, mon père n'eut guère de difficultés à faire couler la petite entreprise du commerçant, qui se retrouva sans le sou, et sa femme avec. Ce qu'ils sont devenus ensuite, Dieu seul le sait. Mais c'était sans compter sur mon père qui, rongé par le remords et la bêtise, s'était mis en tête de retrouver sa belle, la seule femme qu'il eut jamais aimé. Elle, il ne l'a pas retrouvée, mais son fils, de quelques mois plus jeune que moi, était toujours de ce monde. Et devinez quoi ? Voilà que Lord Lewis Whiterleaf le nomme son unique héritier, nous dépossédant, moi et ma mère, de tout.
Bien, le repentir, non ?
Cette faculté a commettre les pires horreurs pour, ensuite, tout faire pour se racheter est une chose que je n'ai jamais comprise, et que je peine encore à comprendre. C'est lorsque ma mère entra comme une furie dans ma chambre, les yeux brillants de colère, le teint blême, son poing serrant une lettre de la main de mon père lui expliquant tout cela, que je compris que décidément, cette faculté ne connaissait aucune limites.
J'en avais eu un avant goût au début de l'année, lorsque mon père était revenu de ses campagnes du nord avec une fillette de deux ans de moins que moi, rejeton de rebelles, "trop jolie pour être tuée", commenta celui qui justement, avait fait pendre haut et court ses deux parents. Ma mère la prit en grippe immédiatement, mais pas moi : au contraire, elle me semblait sympathique. Peu bavarde, certes, mais agréable. Elle avait un prénom étrange, assez original, que jamais je n'avais entendu. Lyra. Je compris pourquoi un tel prénom lorsque, pour la première fois, je l'entendis chanter. Elle avait une voix magnifique. La définition de la pureté. Jamais je n'avais entendu quelqu'un chanter de la sorte, et hormis elle-même, cela n'arriva plus.
Mais pour en revenir à ce royal banquet de janvier 1536, ce fut bel et bien ce soir-là que la hache de guerre qui siégeait entre mon père et moi fut déterrée. Et d'entrée, j'avais une alliée de taille : ma mère.
Il en vint vite un deuxième, encore plus important : Edward Seymour, dont la montée coïncida avec la chute des Boleyn, et dont l'amitié me fut on-ne-peut-plus utile par la suite. Mais entre temps, le but du jeu était simple : trouver le moyen de mettre la honte à mon père. Quel qu'en soit le prix. Notamment en organisant le cambriolage de la demeure de celui à cause de qui j'aillais être déshérité. Mon père se doutait-il que j'étais derrière ? Sans doute : mon air réjoui ne devait tromper personne, d'autant que j'avais fait la connaissance du fils de celui que j'avais payé pour accomplir le fameux cambriolage. Le jeune homme, Owen, d'à peine un an de plus que moi, fut de longues années mon homme de main le plus fidèle, le plus dévoué, celui grâce auquel j'arrivais à bout de toutes mes machinations. J'étais au bord de la ruine - à qui la faute ? - et jugeais bon de mettre tout scrupule de côté pour atteindre mon but : récupérer ce qui me revenait de droit. Assez étrangement, j'avais déjà une sorte de pouvoir, que je commençais à peine à maitriser, et qui faisais que quand je parlais, les gens m'écoutaient. Je n'étais pas long à convaincre les plus réticents de me donner ce que je voulais. Déjà, enfant, j'y parvenais, mais loin de s'éclipser à l'âge adulte, cette faculté ne fit que s'amplifier. Mère appelait ça du charisme.
Toujours est-il que ce charisme m'aura été bien utile.
1547 marqua la fin de mon calvaire : en janvier mourrait le roi Henry, laissant le trône à son fils de neuf ans, et la protection du royaume à son (ancien ?) beau-frère. Comprenez : Edward Seymour. Et c'est là que commence mon acte de subversion n°2, infiniment plus choquant pour mon père que le premier. A peine Henry VIII mit en terre, j'attaquais mon père en justice devant le Lord Protecteur. Le procès fut long. Coûteux, aussi. Difficile. Un vrai bras de fer, car ni mon père ni moi n'en démordions. La Cour se gaussait de voir une telle guerre éclater ouvertement entre père et fils. Mais grâce au soutien d'Edward et à mes agissements passés, qui avaient fini par porter leurs fruits même après la trahison d'Owen, j'ai obtenu, au terme d'un combat sans beaucoup de pitié ( ne dit-on pas que les pires histoires sont les histoires de famille ?), gain de cause. Ma victoire était signée, mon héritage me revenait.
Sauf qu'entre mon père et moi, les choses ne se tassèrent pas pour autant. Il faut reconnaître que je n'avais pas fait grand-chose pour aller dans ce sens. Au contraire, même.
Vous vous souvenez de Lyra, la fillette que mon père avait ramené du nord ? C'est ma femme, à présent. Oui, une bourgeoise. J'ai fait là une belle mésalliance, et, pire que tout, un mariage d'amour. Dans les dents, Père ! Celle-là, il ne s'y attendait pas, j'en ris encore en me souvenant de sa tête, quand je le lui ai dit. Le mauvais point, c'est que j'ai pas mal perdu l'estime de ma mère, mais à la limite, peu m'importe : j'aime Lyra, et elle m'aime en retour, c'est là tout ce qui compte. L'avis de mes parents ? Depuis quand est-ce qu'il m'intéresse ? Entre-temps, j'ai permis à Lyra de chanter devant les grands de ce monde, Seymour en particulier. Elle a gagné en notoriété comme sa voix a gagné en puissance et en beauté, ce qui ne me rends pas peu fier, je le confesse.
A la Cour, la vie continuait à battre son plein, au rythme des fréquentes maladies du jeune roi. Lorsque Thomas Seymour, le jeune frère d'Edward, fut exécuté pour haute trahison, je mis une certaine distance entre Edward et moi. Notre amitié m'avait été fort utile, mais la chute d'un frère entraine souvent celle de l'autre, et je ne préférais pas voir ma position, durement récupérée, m'échapper. Aussi pris-je le parti de m'éloigner. Quand, trois ans plus tard, Edward fut à son tour exécuté, il n'y avait presque plus de contact entre nous. Et vu la tournure que prenaient les évènements, je n'avais pas mal fait mon affaire. Son remplaçant, Dudley, me plut assez vite : même foi protestante, même ambition. Restait à ne pas trop m'impliquer dans ses complots, sécurité oblige, et je conservais mes biens. Affaire rondement menée, j'étais à nouveau dans les petits papiers du Lord Protecteur.
A l'approche de la mort d'Edward VI, cependant, nous étions face à un problème : sa succession, incarnée par la personne de Mary Tudor. Profondément papiste, nous pouvions tirer un trait sur les réformes en faveur des protestants, et sur nos têtes, accessoirement. Il nous fallait trouver une solution. Sa soeur Elizabeth ? Je ne pouvais me le permettre au vu de mon avis sur sa mère. La solution vint d'Henry Grey, en la personne de sa fille aînée, Jane, qui avait fort opportunément épousé l'un des fils Dudley en avril. C'est vers elle que je me tournais, et avec son père et beau-père, avec les autres protestants de la Cour, nous avons pris en charge le testament du roi. Mary spoliée, Jane couronnée, tout rentrait finalement dans l'ordre. Comme quoi les complots et manigances de Cour résolvent bien des problèmes.
Et en dépit de mes parents, une fois mon héritage repris, la fille Grey sur le trône et Lyra secrètement a mon bras, j'ai été le plus heureux des hommes. Mais le bonheur ne dure pas, je puis l'affirmer.
Dix jours. Jane aura régné moins d'un mois. En digne fille d'Henry VIII, Mary Tudor ne mit guère de temps à lever une armée de fervents catholiques et à marcher sur Londres pour reprendre le trône qu'elle estimait être le sien. Jane, son père, son mari ? A la Tour. Ses beaux-frères ? A la Tour aussi. Son beau-père Dudley ? A la potence. Mary Tudor a une façon plutôt franche de régler les choses, c'est le moins qu'on puisse dire. Je ne dois ma propre survie qu'au fait que mon nom n'était pas trop impliqué dans l'affaire - prudence est mère de sûreté - et, une fois n'est pas coutume, à mon père. Pour une fois qu'il sert à quelque chose, je me dois de le mentionner ! Lui qui tourne et retourne sa veste sans arrêt s'est hâté de s'agenouiller aux pieds de la Tudor, et me voilà trésorier de la Couronne.
Pour moi, la situation aurait pu être pire, je l’affirme. Sauf qu'il y avait Lyra.
Elle devait donner un spectacle dans un théâtre de Londres, ce soir là, sous son nom de scène, la Grande Octavie. Elle tenait le rôle principal. J'étais fier d'elle, comme toujours, comme à chacune de ses représentations, sauf que voilà, j'étais en retard à cause de ces affaires d’État qui ébranlaient le royaume. Alors quand je me suis engagé dans la rue du théâtre et que j'ai vu toute cette foule en sortir dans la plus grande panique, et avec une odeur de fumée qui envahissait tout l'espace, j'ai filé à l'intérieur. Ou était Lyra ? Lui était-il arrivé malheur ? Non, Dieu merci : elle gisait, inconsciente, mais bien en vie. Je crois que jamais je n'ai été aussi soulagé... Jusqu'au moment où elle a repris connaissance et où elle a ouvert la bouche. Sa voix s'était envolée. Brisée, détruite. Terminée. Elle qui avait enchanté les foules, moi le premier, parlait à présent comme un homme, et ne pouvait plus chanter.
Si il lui a fallu du temps pour se remettre, je crois bien que moi, je ne m'en suis toujours pas remis.
Dernière édition par Pryam Whiterleaf le Sam 14 Déc - 22:04, édité 6 fois
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❝ Constance B. Wayne ❞
LA FILLE DU BOURREAU ♌ le petit oiseau des rues.
♕ Métier : Ancienne serveuse au Flying Dutchman et désormais mère au foyer ♕ Age : 29 ans ♕ Religion : Catholique ♕ L'avatar a été fait par : 400 Lux ♕ Mon nombre de messages est : 1622 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 3 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 14/04/2013 ♕ Mon pseudo web est : Mari-Jane ♕ Mes autres visages : Antanasya, Elizabeth, Edward
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Mer 4 Déc - 19:19
Re-Bienvenue Bon courage pour la rédaction de ta fiche
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Mer 4 Déc - 19:27
Merci, Constance ! [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Mer 4 Déc - 19:31
Re-bienvenue!
C'est Lyra qui va être contente! (Ou pas...)
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Mer 4 Déc - 19:41
Merci, Jasper ! Mais si qu'elle va être contente, ma chère épouse ! Pas vrai, Lyra, que tu es contente ? Gaffe à la réponse ! XD
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Mer 4 Déc - 19:54
Oh, un bel homme ! ( ANEURIN AUGHRUGHEURGHREO *_* ) Bienvenu monsieur, je vous laisse l'adresse du RedLantern, juste au cas où l'envie vous prend...
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Jeu 5 Déc - 1:02
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN mais ... JE SUIS RA-VIE !!!!!!! Et Lyra avec d'ailleurs siiiiiiiiiii ! Elle fait la danse de la joie ! (Elle l'aime son mari ) D'ailleurs Lyra dégage Mary Ann du milieu ! Vas baver ailleurs ma grande !
Je te bénis, je te bâtis un temple en chocolat ou de ce que tu voudras quand tu veux Thémis ! You made my day ! Moi qui commençais à désespérer qu'il soit un jour pris !
Du coup si tu as la moindre question sur le personnage, ou concernant leur lien, surtout n'hésite pas à venir me voir !
Rebienvenue sur TTB ! Amuse toi bien avec Pryam !
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❝ Katherine Grey ❞
La Famille Royale
♕ Métier : Lady Katherine Grey, potentielle héritière de la couronne d'Angleterre ♕ Age : 17 années ♕ Religion : Protestante ♕ L'avatar a été fait par : zuz, tumblr & .TITANIUMWAY ♕ Mon nombre de messages est : 563 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 45 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 05/10/2013 ♕ Mon pseudo web est : Eris
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Jeu 5 Déc - 14:30
Re-bienvenue !!! Super choix de perso et puis avec Aneurin *arrêtedebaversinonellevasefairetaperparLyra*
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❝ Elizabeth Tudor ❞
Admin ♛ « Princesse et bâtarde d'Angleterre. »
♕ Métier : Princesse d'Angleterre ♕ Age : 25 ans ♕ Religion : Celle que me dictera ma souveraine. ♕ L'avatar a été fait par : fassophy ♕ Mon nombre de messages est : 3524 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 11 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 11/09/2012 ♕ Mon pseudo web est : Mari-Jane ♕ Mes autres visages : Antanasya Cavendish - Constance Bennet - Edward Seymour
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Jeu 5 Déc - 16:22
Lyra soit partageuse un peu
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Jeu 5 Déc - 18:19
Waou, quel accueil ! Mais navré de vous décevoir mesdames, Pryam reste avec sa Lyra ! Et ne bavez pas trop, sinon j'autorise ma chère épouse à vous sauter dessus ! XD Quoique ça reste flatteur...
LYRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA merci à toi d'avoir crée un perso aussi génial ! D'ailleurs si tu vois le moindre couac dans ma fiche, n'hésites pas à me le faire savoir ! Perso, ça m'arrange qu'il n'ait pas encore été pris ^^
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Jeu 5 Déc - 20:18
Ouhaa ! Je sens que ce personnage va donner !! En tout cas re-bienvenue et bon courage pour ta fiche !! Malheureusement, je doute de pouvoir t'adopter
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Jeu 5 Déc - 20:58
Re-bienvenue pupille adorée sous un nouveau visage ! Et quel visage ! Tu vas faire des jalouses, Lyra (comment ça, je suis dedans aussi ? )
Pryam va dépoter !
Bonne chance pour le reste de ta fiche
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Jeu 5 Déc - 21:32
Héhé, mais c'est qu'il en a, des admiratrices, ce brave Pryam ! Lyra va devoir faire gaffe ! XD Merci beaucoup, tutrice préférée ! Et Anne... Et si c'était moi qui t'adoptait ?
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Ven 6 Déc - 12:09
Re Bienvenue !!!
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Ven 6 Déc - 12:11
Bienvenue o/
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Ven 6 Déc - 14:02
Rebienvenue, bon courage pour ta nouvelle fiche
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Ven 6 Déc - 18:31
re ** bon courage ma douce (a)
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Sam 7 Déc - 11:52
Merci beaucoup ! Je finis ma fiche ce week-end, promis !
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Sam 7 Déc - 12:04
Prends ton temps
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Sam 7 Déc - 14:38
Mon petit Thomas a-t-il le droit de devenir gay ?
*sors, puis revient calmé* Re-Bienvenue & Bon courage pour l'écriture de ta fichounette.
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Sam 7 Déc - 19:27
Quoi, même les hommes s'y mettent ? Me voilà harcelé de toutes parts ! En tout cas, merci bien !
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Dim 8 Déc - 0:33
Attention les gens, Lyra est dans la garde et a appris à se battre maintenant ! Je suis pas partageuse non mais !
C'est mon mien ! La bagouse le dit ! Osez donc passer sur mon corps ! Je vais vraiment faire peur à force. Non mais la joueuse peut pas vous en vouloir d'avoir très bon goût !
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Dim 8 Déc - 16:17
Haaaaan !!! Oh ouiiii ! Adopte-moi !!!! *o*
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC Lun 9 Déc - 18:56
Wééééééééééééééé ma femme c'est une warrior, les amis ! Gaffe à vos fesses !
*va se chercher un cornet de pop-corn pour regarder le spectacle de Lyra poutrer des gens*
Tu vois, Anne, on arrivera bien à un compromis ! Lyra, je t'annonce dès à présent que nous avons une fille !
... Et j'en profite pour préciser que ma fiche avance !
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Sujet: Re: Pryam ou le portrait de l'ambition :: UC