James Stuart

" « Vaincre n’est rien, il faut profiter du succès. » " TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM ♦ James STUART AGE ♦ 22 ans DATE DE NAISSANCE ♦ 1531 ORIGINE ♦ Vient d'Ecosse SITUATION FAMILIALE ♦ N'est pas encore marié MÉTIER ♦ 1er Compte de Moray ainsi que Prieur de St Andrews GROUPE ♦ Les Ecossais. CRÉDITS ♦ Tumblr & cie LE JOUEUR PSEUDO ♦ V AGE ♦ 18 étés OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦ Site de forums TON AVATAR ♦ Henry Cavill VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦ Historique VOULEZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ? ♦ Nop.

▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦
Dites-vous que sous mes attitudes de bon vieux catholique, se cache une tout autre réalité. Il ne faut jamais se fier aux apparences. Ne soyez pas étonné d'apprendre que je suis protestant. Regardez dans les coins les plus mystérieux de mes propriétés et vous ne pourrez qu'en être convaincu. Je doute que Martin Luther puisse vous faire encore douter.
Quand je pense qu'à l'état de jeune bambin insouciant et influençable l'on tenta de m'inscrire au fer rouge ces diableries de règles catholiques ! J'en viendrais à tuer ce foutre diable de professeur s'il n'était pas déjà six pieds sous terre.
J'étais envieux de l'Angleterre. Les réformes religieuses instaurées par le fil d'Henry VIII me persuadaient que le protestantisme nous projetait vers un avenir meilleur. J'étais jeune, mais j'étais déjà certain qu'un jour je devrais faire de même en Écosse. Malheureusement, je ne me doutais pas qu'un torrent de boue viendrait stopper net cette avancée majeure. La mort du roi. Le couronnement d'une protestante qui n'aurait jamais les épaules assez solides. L'arrivée de cette bougresse de Mary. La fin qu'une Angleterre protestante pour le retour à l’archaïque catholicisme. Je tombais de haut, emprunt à une colère incontrôlable que je j'apaisais à la chasse. J'en venais à vouloir tuer cette femme à mains nues pour avoir ainsi réduit au silence cette presque révolution.
Désormais ne me reste-t-il qu'à chercher le soutien de Protestants prêts à tout pour voir l'un des leur sur un trône. Je vois l'amertume des Protestants anglais devenir un véritable atout à mon accession au trône d’Écosse. Mon heure viendra. Je le sais.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA NOUVELLE REINE D'ANGLETERRE? ♦
Dire d'elle qu'elle est vieille, laide et sénile ne serait pas assez fort pour exprimer toute la haine que je lui voue. Elle est la poule de ces religieux miteux et trop gâteux qui ont su trouver en elle une femme assez niaise pour les suivre. Le règne de cette femme n’apportera au peuple Anglais qu'une raison de plus pour se rebeller. Elle finira comme l'ont bien souvent été les reines de ce pays. La tête roulant sur le sol.
Espérons que ce jour-là une autre tête bien accrocher à son buste prendra les rênes de ce pays que je veux allier au mien. Une tête protestante avec laquelle je pourrais m'associer en vue de propager cette religion qui sera la nôtre.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE JANE GREY? ♦
Pauvre Jane. Jeune fille insouciante qui n’eut une couronne sur la tête que neuf jours. Il est impardonnable qu'une reine puisse ainsi perdre son royaume. Tout porte à croire qu'en c'est temps de guerre, n'importe qui pourrait poser ses fesses sur le trône d'Angleterre. À commencer par cette gueuse de Mary. Toujours est-il que le temps de Jane est passé. L'on n'a la chance d'être une tête couronnée qu'une seule foi. En plus d'en profiter il faut savoir se rendre à l'évidence que l'on n'est pas fait pour cela. Jane s'est retrouvée là maladroitement sous les dires d'un jeune roi qui n'avait pas toute sa tête. Certes, elle est protestante, mais elle n'a rien d'une battante. J'en attends plus de cette Elizabeth que le peuple protestant veut porter sur le trône. Une Tudor devrait savoir tenir tête à cette usurpatrice de catholique.

▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦
Agir dans l'ombre est comme une seconde nature. Il faut savoir jouer des apparences et prendre le visage que l'on veut que vous ayez. Je suis très doué dans cet exercice. Ma présence à la cour d’Écosse n'est fait que de faux-semblant. Il me faut gagner le cœur des nobles de ce pays tout en veillant à ce que cette régente n'ait rien à me reprocher. Oui, je veux prendre la place de sa fille. J'ai tout d'un roi. J'ai été élevé tel le dauphin d’Écosse et je compte bien faire valoir mes droits au moment le plus opportun. Je compte provoquer une vague protestante dans le pays qui me portera tel un navire jusqu'au trône. Je suis le digne héritier du roi Jacques. Mon titre de premier compte de Moray le prouve. Mes médisances contre Marie de Guise la conduiront à perdre la régence du pays. Je suis celui qui amènera le protestantisme à son apogée en plus d'allier l’Écosse à l'Angleterre. Je suis prêt à tout.

Tranches de vie

Le jour de sa naissance, je me souviens qu'il faisait beau. C'était en mai et les roses du jardin venaient d'éclore. Il y avait un doux parfum que le roi avait souligné comme étant un bon présage. Je crois que c'était la première foi que je voyais un aussi grand sourire sur le visage d'un monarque. Cet enfant était le fruit d'une union illégitime, mais l'on voyait bien dans ses yeux que le tout jeune Stuart, tout bâtard qu'il soit, était son fils. Je me souviens même l'avoir regardé prendre l'enfant dans ses bras pour lui faire regarder par la fenêtre avant de lui dire que tout ce qu'il voyait là serait à lui. Et le roi n'avait pas menti puisque le jeune maître devait devenir compte de Moray.




Des gens heureux que se couple là. À les voir l'on oubliait que l'un était le roi d'Écosse et que l'autre était sa maîtresse. Ici, ils étaient un vrai couple marié s'occupant de leur fils. Le jeune James était traité comme le dauphin d'Écosse et il faut dire que le roi s'occupait de lui avec attention. Le petit-maître avait déjà un avenir tout tracé. J'entendais même dire que le roi voulait faire de Margaret sa femme légitime et ainsi faire de l'enfant son héritier au trône. Un fier roi que l'on aurait eu là. Le jeune garçon tout gamin qu'il était savait déjà ce qu'il voulait. Je l'entends encore jouer dans le jardin à la guerre. Il commençait toujours par grimper sur le banc avant d'encourager ses soldats imaginaires et de les lancer à la bataille. Il se mettait à courir bâton en main en direction de l'épouvantail qu'il martyrisait. Il revenait toujours victorieux les bras en l'air réclamant fièrement victuailles pour sa victoire. Il s'arrangeait toujours pour bouter les ennemis en dehors du royaume juste avant la collation de l'après-midi.



Le jour où la petite Jane est partie, qu'elle catastrophe ça a été. Je me revois encore maintenir le petit James dans mes bras pour éviter le pire. Il criait que personne n'avait le droit de les séparer et qu'il se vengerait. De vrai frère et sœur. Toujours là l'un pour l'autre malgré leur jeune âge. Jane était la princesse et James le prince héritier. Les jours qui ont suivi le départ de la petite, tous les soirs, il venait me donner l'ordre de sceller son cheval pour le lendemain matin. Il disait sans cesse qu'on lui avait enlevé sa princesse et qu'il irait lui-même la chercher. Le roi a du, lui-même, intervenir. Ce jour-là James l'attendait de pied ferme. Il était resté plusieurs heures sur le parvis de la maison et dès qu'il a vu son père, il a bombé le torse, lever la tête et a eu un regard comme jamais auparavant. Le parfait équilibre entre colère, fierté et déni. D'entrée, il a exposé ses revendications. Le roi son père en a été tout étonné et au final, après une longue discussion il se sont serré la main et le jeune maître à proposer à sa majesté de rentrer pour se reposer. Un gamin de 5-6 ans venait de négocier avec le roi. En y réfléchissant, c'est sûrement James qui a fait précipité le retour de Jane à la cour.

Ben, Palefrenier

Cette histoire n'a pas été simple pour tout le monde. À commencer par le petit James. Le pauvre enfant à vécu comme une véritable trahison que son père épouse une Française. Il était jeune, mais pas idiot. Il me posa une quantité de questions sur la succession et il a vite compris qu'il ne serait pas le descendant direct au trône. Ce jour-là, il m'a demandé de l'aider à écrire une longue lettre au roi pour le féliciter de son mariage. Il lui disait qu'il comprenait ses choix et qu'il savait que le roi d'Écosse devait pensé avant tout au bien-être de son royaume. Lorsqu'il l'a écrit au propre, je lui ai connu un regard à la foi mélancolique et blasé, hormis au moment où il écrivait à propos de sa très chère Jane. Il écrivit également une lettre à sa mère dans laquelle il disait à qu'elle point il compatissait à sa douleur tout en lui demandant de ne pas haïr le roi. En fin d'après-midi, il m'a remis les lettres avant de dire tout haut qu'enfin, il irait à la cour. Désormais, disait-il, je dois me montrer digne des futures terres que je vais diriger, moi, comte de Moray.

Alphonse, professeur.

Ici cher membre, vous allez devoir nous raconter votre histoire, nous désirons tout savoir de vous, de votre naissance jusqu'à aujourd'hui. Prenez garde aux évènements historiques que vous évoquerez, si vous avez des doutes consulté les annexes ou Wikipédia. La rédaction de l'histoire pourra être de la forme que vous désirez, RP, journal intime … La seule exigence que nous réclamons, c'est que tout cela soit fait en un minimum de 45 lignes. (texte à effacer)

Fiche Hors Délai.

Coucou

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