Sujet: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 17:38
Walter Manners
« une citation de la mort qui tue. »
TON PERSONNAGE
PRÉNOM & NOM Walter Manners. AGE 38 ans. DATE DE NAISSANCE 2 Janvier 1516. ORIGINE Anglais, sa famille a toujours vécu dans le Rutland. SITUATION FAMILIALE Fils aîné d’une famille de trois enfants, il a un frère et une sœur, Henry et Constance. On vient également tout juste de lui annoncer ses fiançailles avec la jeune Margaret Stuart par décision royale. Il doit maintenant rencontrer la princesse. MÉTIER Second comte de Rutland et treizième baron de Ros de Helmsley, et Maître Fauconnier de Mary Tudor. GROUPE Noblesse anglaise. CRÉDITS Mari-Jane et Tumblr.
LE JOUEUR
PSEUDO Merrypin. AGE 21 ans. OU AS-TU CONNU LE FORUM? Sur PRD grâce à votre topic de publicité. TON AVATAR Marc Warren. VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? Fictif bien que tiré d'une famille réelle, les Manners. VOULEZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ? Merci, je pense que le parrainage a été bien efficace en zone invités et que je peux voler de mes propres ailes maintenant
Audience devant la Reine.
▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? Ma famille a fait comme l’immense majorité de nos contemporains, elle a suivi les décisions de la couronne et je n’ai nulle intention de me conduire autrement. Protestant sous Henry VIII et Edward VI, notre reine Mary Tudor a rétabli le catholicisme et je n’ai pas à discuter ses décisions. Peu m’importe la manière dont je dois honorer mon Dieu, du moment que je reste dans la chrétienté et en accord avec la famille royale. Les … ont toujours été fidèles à la couronne, ce n’est pas moi qui changerai cette ligne de conduite qui nous vaut notre réputation auprès de la reine et de la cour.
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA REINE D'ANGLETERRE? Sa Majesté est une femme forte qui a la tête sur les épaules et sait où elle veut mener le pays. Je préfère la savoir sur le trône qu’une gamine inexpérimentée comme Jane Grey. Cette petite n’avait rien pour elle, elle aurait laissé ses conseillers et sa famille diriger le royaume, et l’Angleterre aurait couru à la catastrophe. Nous vivons des temps difficiles, et il nous fallait un vrai souverain. Ce souverain, c’est Mary Tudor.
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRESENCE DES ESPAGNOLS EN ANGLETERRE ET DU MARIAGE DE LA REINE ? Les Espagnols ? Un peuple qui ne me fait ni chaud ni froid, du moment qu'ils sont chez eux. Sur nos terres, j'ai plutôt tendance à m'en méfier. La reine a probablement raison d'épouse Philippe de Habsbourg, mais je ne peux pas m'empêcher de me défier de ses sujets qui se croient un peu trop chez eux depuis le mariage de Sa Majesté. Ils oublient qu'ils ne sont là qu'en invités par la bonne grâce de notre reine et de la Cour, et même si ce sont nos alliés aujourd'hui, il ne faudrait pas que demain ils se révèlent envahisseurs.
▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? Les intrigues de cour sont le lot de tout courtisan qui se respecte, surtout à une position aussi importante que la mienne. Le Maître Fauconnier est l'une des figures les plus proches du pouvoir, et même si je ne suis pas à la tête d'une armée ou de la Trésorerie royale, les faucons royaux sont des biens bien trop précieux pour les laisser entre les mains de n'importe qui. Recevoir cette charge des mains de la Reine est pour moi un immense honneur et une marque de confiance que je compte bien honorer, par quelque moyen que ce soit, et en quelque mission que la reine me demandera d'effectuer.
Dernière édition par Walter Manners le Jeu 22 Jan - 17:40, édité 1 fois
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Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 17:39
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-Walter ? Je te dérange ?
La voix de ma sœur me fit lever les yeux de la lettre que j’étais en train de lire. Assis à mon secrétaire dans le petit salon de notre appartement londonien, j’ignorais combien de temps s’était écoulé entre le moment où j’avais décacheté la missive, et celui où Constance était venue me tirer de mes pensées. Elle se tenait là, dans l’encadrement de la porte, ses longs cheveux roux élégamment remontés sur sa tête, ses yeux verts teints d’inquiétude me dévisageant avec souci. L’inquiétude était bien ce qui caractérisait le plus Constance. Elle était toujours soucieuse. Au sujet de nos parents, de la maison, de moi. En particulier depuis l’accident de notre frère Henry.
-Pas du tout. répondis-je en repliant la missive et en me levant, sans toutefois me départir de la lettre que je tenais toujours dans la main. Des nouvelles du palais, rien de plus. Qu’y a-t-il ? -Les serviteurs vont servir le dîner. Je venais simplement te prévenir. -J’arrive tout de suite.
Les sourcils de Constance se froncèrent imperceptiblement. Elle ne me connaissait que trop bien. J’avais toujours été un taiseux, difficile à déchiffrer, impassible. Mais depuis le temps, et avec le don d’observation qui la caractérisait, elle était capable de dire quand je lui mentais, ou lorsque j’avais quelque chose à l’esprit. Inutile de jouer la comédie face à elle. Non pas que je fus un grand acteur, mais j’étais connu pour ne pas être un homme des plus… démonstratifs. Et ça, Constance le savait bien, depuis qu’elle avait rejoint notre famille.
Constance n’était pas ma véritable sœur. Mes parents, William et Jane Manners, l’avaient adoptée dix ans après ma naissance et sept ans après celle d’Henry. Constance n’avait que quelques mois à l’époque, et était la fille de la femme de chambre de ma mère, Rose. Rose avait été la sœur de lait de ma mère, et toutes deux étaient inséparables depuis leur naissance. Lorsque Rose était tombée malade, mère avait juré de s’occuper de sa fille unique, le père étant mort peu après l’annonce de sa grossesse. Constance était venue au monde, avait perdu sa mère trois mois plus tard, et était entrée dans notre famille presque en même temps. Une naissance compliquée mais qui n’avait jamais été discuté par aucun d’entre nous. Mon père n’avait même pas essayé d’aller contre l’opinion de ma mère, qui était bien trop opiniâtre sur tout ce qui concernait sa chère Rose, et mon frère et moi nous contentions de regarder avec curiosité ce bébé gigotant qui venait élargir notre fratrie. Nous vivions alors dans notre domaine du Rutland, bien assez grand pour accueillir un enfant supplémentaire.
Nous grandîmes dans le calme et la fraîcheur du manoir familial. Mon père, comte de Rutland, était un homme bon, mais strict et réservé, deux traits de caractère que je partage et tiens certainement de lui. William Manners était un homme respecté qui n’aimait guère les plaisirs de la cour et leur préférait ceux de la campagne, notamment l’équitation et le dressage de faucons. Deux sports encore qu’il avait transmis à ses fils : Henry excellait sur un cheval, et moi, on me prédisait que je serais un jour l’un des meilleurs fauconniers du pays. Je n’avais que dix, onze ans, mais je prenais déjà ces prédictions très au sérieux. L’art de la fauconnerie n’était pas à prendre à la légère, et j’étais déjà bien sérieux pour mon âge : l’un dans l’autre, je m’appliquais tant et si bien que les parties de vénerie de notre comté furent bientôt sur la liste des expéditions les plus prisées du Royaume. J’ignore si l’on peut parler de vocation, mais certainement, mon père m’a poussé dans cette voie sitôt qu’il eut découvert que j’étais doué. Et il avait eu raison.
De notre fratrie j’étais l’aîné, et aussi le plus sérieux et le plus calme. Réservé, renfermé même seraient les mots appropriés. Henry était tout l’inverse, un garçon joyeux et plein de vie qui ne pensait qu’à s’amuser et apportait un peu de vie dans notre maison un peu austère. Constance, elle, était la sérénité et l’intelligence, la voix de la raison dans notre disputes fraternelles, et celle qui restait toujours un peu en retrait face à deux frères qui prenaient parfois trop de place. Adolescents, nous fûmes présentés à la cour, et j’eus l’honneur de rejoindre le service du duc de Gloucester pour faire mes premières armes. Les années qui suivirent s’écoulèrent très vite, alors que j’apprenais les codes de la cour et perfectionnait mon attitude de gentilhomme. La cour du roi Henry était une cour de faste et de luxe, et si les richesses m’indifféraient du moment que mes coffres n’étaient pas vides, j’aimais en revanche l’atmosphère qui y régnait. Les grands esprits, les loisirs, le savoir, le pouvoir. Le sentiment d’appartenir à l’élite. Ambitieux, je l’étais certainement. Pas démesurément, mais j’étais bien décidé à me faire ma place dans ce monde d’intrigues et de complots. Et c’était les faucons, mes bien chers faucons, qui allaient m’y aider. Le duc de Gloucester avait très vite remarqué mon talent avec ses bêtes, et m’avait nommé fauconnier alors que je venais d’atteindre l’âge de vingt-et-un ans. A l’âge de vingt-cinq ans, j’étais son maître fauconnier. Je revenais rarement dans le Rutland, ayant à Londres et dans le Gloucestershire tout ce qui suffisait à mon bonheur. Seuls me manquaient mon frère Henry, et ma chère Constance.
Henry était devenu soldat. Fervent partisan du roi et anti-écossais, il était très vite parti faire campagne contre James V et nous ne le voyons que peu, ma sœur et moi. Nos parents coulaient des jours tranquilles dans le château familial, s’inquiétant parfois de notre sort, rassurés par Constance qui savait trouver les mots pour les apaiser. Puis, en ce jour funeste de février 1545, il y a neuf ans, Henry eut son ‘accident’. C’était à la bataille d’Ancrum Moor, peu après l’incendie d’Edimbourg. Des écossais en mal de vengeance avaient réussi à prendre sa garnison à parti, et les avaient tous massacrés. Tous, sauf Henry, qui s’en était miraculeusement sorti vivant. Vivant, mais pas indemne. Lorsque nous reçûmes enfin de ses nouvelles, ce fut pour apprendre que les écossais lui avaient tellement rompu le dos à coups de bâtons qu’il ne pourrait sans doute plus jamais marcher. Et pour s’assurer qu’il ne les maudirait pas, ils lui avaient coupé la langue. Un juste retour de bâton pour eux, une tragédie pour notre famille.
Avec la bénédiction du duc de Gloucester, je revins immédiatement en Rutland pour être avec ma famille et accueillir Henry chez nous. Bouleversé par son expérience, il n’essayait même plus de communiquer avec nous, et il fallait que Mère et Constance le forcent à manger pour qu’il accepte de se nourrir. Il fallut attendre un an pour qu’il sorte de son apathie et accepte la triste condition qu’était devenu la sienne. Diminué, meurtri à vie, incapable de parler ou de se déplacer seul, mon frère n’était plus que la moitié d’un homme. Je n’avais jamais été homme prompt au ressentiment ni à la soif de vengeance. Mais durant les deux années qui suivirent la convalescence d’Henry, je confesse que j’aurais volontiers assassiné le premier écossais qui se serait trouvé sur ma route. Dieu merci, nous n’en croisions pas souvent dans le Rutland. Je m’occupais d’Henry comme je le pouvais, mon père étant malade j’étais le seul à être assez fort pour le déplacer, le porter dans son bain ou dans son lit, pendant que mère et Constance s’occupaient de tout le reste avec le soutien de nos domestiques, qui avaient toujours beaucoup aimé Henry. Il avait toujours été bon et généreux avec tous, le voir dans cet état avait bouleversé toute la maisonnée, et pas seulement la famille proche. Il ne pouvait plus monter à cheval, mais avec ses bras, pouvait encore s’en occuper, et c’est ainsi que j’essayais de lui faire reprendre goût à la vie. Parfois j’allais chevaucher avec lui sur notre cheval le plus solide, le maintenant sur la selle tout en tenant les rênes. Lentement, il s’était remis.
Lorsque je revins à la cour en 1548, beaucoup de choses avaient changé. Le roi Henry VIII était mort, et son fils Edward avait accédé au trône. Ma réputation m’ayant précédé, mes exploits avec les faucons n’ayant pas été oubliés, des amis me permirent de retrouver une place comme fauconnier dans la fauconnerie du roi. Je n’aurais jamais cru pouvoir monter plus haut, mais je m’appliquais à toujours satisfaire le roi et son gouvernement. Je pris soin de rester loin des conflits entre Somerset et Dudley, me contentant de suivre l’opinion du reste de la cour. J’en connaissais suffisamment les mécanismes pour savoir que les favoris tomberaient, l’un après l’autre, après s’être entre-déchirés pendant de longs mois d’une guerre interne. Le bourreau eut du travail pendant les années qui suivirent. J’échappais au désastre, tandis que tous ne pouvaient pas s’estimer aussi heureux. L’un et l’autre des clans avaient bien essayé de me convaincre de les rejoindre, songeant certainement que les forces du Rutland leur seraient un jour utiles pour renverser leur rival. Je m’esquivais à chaque fois. Je refusais de risquer mon comté, mes hommes, et ma position à la cour pour ces intrigues bien trop risquées. Et j’eus raison. Somerset fut exécuté. Puis le roi Edward finit par mourir lui aussi, pour voir Jane Grey lui succéder quelques jours, avant d’être renversée au profit de la reine Mary. La première souveraine solide que nous ayons eue depuis le déclin d’Henry. Je savais que c’était à elle que mon allégeance devait aller, vers elle que le vent tournerait. J’attendis encore, et Dudley tomba à son tour. La chaîne s’arrêtait enfin.
-Walter. Qu’est-ce que cette lettre ?
Résigné, je la tendis à Constance, qui la déchiffra en un rien de temps. Ses grands yeux verts s’écarquillèrent de surprise.
-… un mariage ? murmura-t-elle. -Oui. -… avec une Stuart ? -C’est une demande de la reine. Tu sais bien qu’une demande en pareilles circonstances équivaut à un ordre royal. -Une Stuart ! Walter, c’est la fille du monstre qui a privé Henry de ses jambes et de la parole ! s’écria-t-elle, furieuse. -Non, le roi James a mené une guerre tout comme le roi Henry menait la sienne. Il y a mille écossais qui ont subi le même sort qu’Henry. C’est tragique, mais c’est la réalité de la guerre. Ni cette jeune femme, ni aucun Stuart n’est directement responsable du sort de notre frère, et bien que je ne porte pas écossais dans mon cœur, si la reine me demande d’épouser une écossaise pour renforcer nos liens avec nos voisins, j’obéirai.
Constance se tut, son regard cherchant le mien. Lorsque j’avais été fait Maître Fauconnier de la reine quelques semaines après son couronnement, Henry m’avait écrit pour me demander de prendre notre sœur avec moi, à Londres. Elle dépérissait dans le Rutland à s’occuper de vieux parents et d’un frère diminué qui pouvait fort bien se débrouiller avec les domestiques. J’avais accepté, et Constance m’avait rejoint à la cour. Après tout, elle avait vingt-huit ans, et après un premier mariage qui s’était soldé par la mort de son époux sur le champ de bataille contre les écossais quelques années plus tard, elle ne s’était pas encore remariée. Et voilà que c’était moi, l’éternel célibataire qui ne s’était jamais embarrassé d’une épouse, qui allait apparemment me marier. Mieux valait tard que jamais, j’imagine. Je repris la lettre des mains de Constance, ignorant son regard chargé de reproches.
-Rien n’est encore fait, Constance. Mais si tel est le bon vouloir de la reine et que la famille de lady Margaret donne aussi son consentement, j’obéirai. -Même cette petite n’a pas son mot à dire dans cette histoire, alors ? souffla-t-elle, les larmes aux yeux. -Elle fera comme tout le monde. Ce qu’on lui dit de faire.
Constance baissa les yeux, consciente que j’avais raison. Et qu’un jour, bientôt certainement, ce serait à son tour d’être dans la position de Margaret Stuart.
-Il ne nous arrivera rien, n’est-ce pas ? Ces guerres, c’est terminé ? murmura-t-elle, et je devinais dans ses yeux le fantôme de l’homme qu’avait été notre frère. -Constance, aussi longtemps que je vivrais, il ne vous arrivera rien. Ni à toi, ni à Henry, ni à personne de notre famille. Nous avons toujours été à l’abri du danger, et je ferai en sorte que ça continue. Répondis-je, implacable, en la saisissant par le menton pour la forcer à me regarder dans les yeux. Elle savait. Elle savait que ce n’étaient pas des paroles en l’air et que je tiendrais parole, dussé-je y laisser ma morale et mes principes. J’étais peut-être un suiveur, un bon chien de la reine Mary. Mais si quelqu’un voulait prendre le pari, j’étais prêt à me transformer en lion et à les tailler en pièce. J’ignorais ce que ces fiançailles avec Margaret Stuart me réservaient, mais une chose était sûre : j’y étais préparé. J’étais préparé à tout.
Dernière édition par Walter Manners le Jeu 22 Jan - 22:17, édité 2 fois
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❝ William Cavendish ❞
♱ all we need is faith ⚔
♕ Métier : duc de Devonshire ♕ Age : 42 hivers, un âge bien avancé. ♕ Religion : catholique aux yeux de tous, mais a toujours eu un coeur protestant. ♕ L'avatar a été fait par : swan (avatar) / ASTRA (signature) (& BONNIE pour les icons) ♕ Mon nombre de messages est : 2192 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 5 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 26/02/2014 ♕ Mon pseudo web est : proserpina ♕ Mes autres visages : George Hastings
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 17:58
biienvenue parmi nous Walter !!! je ne connais pas ton avatar mais ça a l'air d'être un suuper choiix bon couraage pour ta fiche !!
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 18:23
Bienvenue officiellement très cher et bon courage pour ta fiche !
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 18:39
Merci beaucoup vous deux !
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 18:50
Sois officiellement le bienvenu sur TTB !
Si tu as la moindre question, surtout n'hésite pas à contacter l'une d'entre nous dans le staff.
Bon courage pour l'écriture de ta fiche.
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 18:51
ROCHEFORT !! Super choix d'avatar Bienvenue sur TTB, et bon courage pour ta fiche
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 19:18
Bienvenue officiellement sur TTB Walter Si tu as des questions surtout n'hésites pas Bon courage pour la rédaction de ta fiche
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 20:52
Bienvenue !! Bon courage pour ta fiche !!
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 20:53
Bienvenue ^^ bon courage pour ta fiche !
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 21:41
Bienvenue à toi joli monsieur
bon courage à toi et si besoin on est là
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 21:46
Bienvenue !
*bave*
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 21:56
Bienvenue à vous messire
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 22:18
Merci à vous tous ! Quelle surprise d'en voir qui connaissent et apprécie ce cher Rochefort, on reconnaît les amateurs de séries historiques
Et je pense bien avoir fini ma fiche !
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Jeu 22 Jan - 22:39
Bienvenue !!!
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Ven 23 Jan - 16:04
Félicitation!
Ta fiche roxxe du poney, Walter ! *o* Pas besoin de te demander de me réserver un lien, j'en ai déjà un !xD Faudra qu'on voit pour un rp et tout et tout !
Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à jouer avec nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien et de rp[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum.
Par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], tu peux aussi faire une demande de rang et d'habitations, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle surtout à l'époque
Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]!
Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
Maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à Londres peut parfaitement commencer
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Ven 23 Jan - 16:14
Merci beaucoup Margaret ! Et c'est parti pour l'aventuuuuure
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Ven 23 Jan - 16:34
Une des filles va venir te mettre ta couleur rapidement !
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❝ Thomas Howard ❞
La Noblesse Anglaise
♕ Métier : Duc de Norfolk & Comte de Surrey ♕ Age : 22 ans. ♕ Religion : Catholique, enfin pour l'instant. ♕ L'avatar a été fait par : Maquizz ♕ Mon nombre de messages est : 140 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 0 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 30/11/2014 ♕ Mon pseudo web est : Menthe. ♕ Mes autres visages : Mary Sidney
Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland. Ven 23 Jan - 16:46
Avec un siècle de retard, je tenais à te souhaiter la bienvenue ici de manière plus officielle . J'ai vraiment adoré ta fiche et diantre, j'ai hâte de voir ce que va devenir Walter en RP .
Bon choix d'avatar au passage . Le nom de l'acteur ne me dit pas grand chose et pourtant, je suis persuadée d'avoir croisé sa frimousse quelque part. Il va falloir que j'enquête .
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Sujet: Re: Walter Manners, Earl of Rutland.
Walter Manners, Earl of Rutland.
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