Ronny Stewart

« Une vie pour une vie, ma dette est payée » TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM ♦ Ronny Stewart. AGE ♦ 20 ans. DATE DE NAISSANCE ♦ 25 décembre. ORIGINE ♦ Anglaise. SITUATION FAMILIALE ♦ Orpheline. MÉTIER ♦ Voleuse. GROUPE ♦ Peuple. CRÉDITS ♦ Bazzart. LE JOUEUR PSEUDO ♦ Lyna. AGE ♦ 17 ans. OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦ Grace à Damien. TON AVATAR ♦ Ginnifer Goodwin. VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦ Fictif. VOULEZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ? ♦ Oui.

▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦ Ce que tu penses de la religion? De celle de ton pays? A vrai dire, tu t'en fiches totalement. Tu vis pour toi et les tiens, avec votre propre religion. Vos lois, vos libertés. Mais si tu devais choisir, et au vue des évènements passés, tu te dirais Protestante. Non pas parce que tu n'approuves pas le catholicisme, loin de là. Mais plutôt parce que tu es en désaccord totale avec la reine et ces méfaits.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA REINE D'ANGLETERRE? ♦ Tu es une voleuse, une profiteuse. Mais si il y a bien quelque chose que tu n'approuves pas, c'est le meurtre. Chose qui ne semble pas déranger la reine. Ainsi, tu pourrais dire haut et fort, et à qui voudrait bien l'entendre, que tu ne portes pas cette femme dans ton cœur. Tuer une famille simplement pour monter sur un trône est un acte d'horreur et d'orgueil.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRESENCE DES ESPAGNOLS EN ANGLETERRE ET DU MARIAGE DE LA REINE ? ♦ Le fait est que l'affection que tu portes à cette femme tend vers le chiffre zéro, et que, par conséquent, tu n'approuveras pas ses choix. Marié à un espagnol, là aussi par procuration, te semble presque idiot. Tu fais partie de ces femmes qui souhaitent connaitre l'amour et se marier avec leur prince charment. Chose qui reste très rare, quasi infaisable. Ce roi espagnol aurait pus aimer et combler une femme qui l'aimerait.

▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦ Prête? Toi? Ma pauvre Ronny? Et bien tout. Tu serais capable de voler aux riches pour donner aux pauvres. Peut - être même l'inverse si tu y vois ton compte. Tu pourrais à dénicher n'importe quoi qui te rapporterais un tant soit peu d'argent. A toi comme à ta famille. Après tout, il n'y a pas plus important pour toi que ces hommes qui t'ont élevé. Cela dit, tu es une voleuse, pas une assassin. Le meurtre reste banni de tes idéaux.

Soit qui tu veux être

Tu es née le jour le plus froid de cet hiver rugueux. La nature avait, depuis longtemps, revêtue son manteau blanc et ne comptait apparemment pas l'enlever tout de suite. Qu'importe, tu n'as pas baissé les bras et tu as poussé ton premier crie ce jour là. Le vingt cinq décembre au soir. Ta mère te tenait tendrement contre elle afin de te donner le sein tandis que ton père lui, te couvait des yeux. Ronny Elizabeth Eva Stewart. C'est le nom que tu portes et porteras le reste de ta vie, aussi belle sera t - elle. Tu remua tes petits pieds chatouillés du bout des doigts pas ta maman. Elle te sourit et demanda à ce que le jeune homme qui était apparut au coin de la porte s'approche. Il devait avoir huit ans, tout au plus et vous vous ressembliez déjà comme deux gouttes d'eaux. Une tignasse brune, de grands yeux verdoyants et un sourire à en faire fondre n'importe qui. Voilà, ils sont là, les membres de ta famille. Ces gens qui t'ont aimé avant même qu'ils n'apprennent ton existence. Ces gens qui t'ont désiré et langui durant neuf long mois. Tu as tout pour être heureuse ici, au près d'eux. Et tu le seras.

Les années ont passé. Tu es devenu, avec le temps, une magnifique et merveilleuse petite fille pleine de vie et de fougue. Tu suis ton grand - frère où qu'il aille et ensemble, vous êtes indomptable. Il te protège et tu le protèges. Il t'a promis de ne jamais t'abandonner. Jamais. Et tu le crois. Tu n'as que sept ans, comment pourrais tu imaginer un seul instant les obstacles que la vie t'as réservé?
C'était un jour comme les autres. Tu avais fini d'apprendre les leçons que maman te donnait avant le souper.Vous aviez beau habiter une petite maisonnée au creux des bois, cela n’empêchait pas votre mère de vous faire classe. Elle s’obligeait à vous inculquer les valeurs et l’éducation qu’elle avait elle-même reçu enfant. Vous apprendre à lire, écrire, et parler correctement était ses priorités. Du reste, elle te demandait de lui faire la lecture pour t’apprendre à t’exprimer décemment devant un auditoire, mais plus particulière pour enrichir ta culture générale. Alors, après avoir délaissé tes devoirs pour jouer avec ton frère, tu partis te cacher. C’était un nouveau jeu entre vous. Colin, ton ainé, avait récemment découvert les chiffres et n’arrêtait pas d’en parler. Tant et si bien qu’il en inventa son propre jeu. Fermant les yeux, comptant jusqu’à vingt, il devait patienter pour que tu puisses aller te cacher. Les vingt chiffres passés, il devait te chercher et une fois trouver, c’était à ton tour. Enfin, toujours est il que la voix de Colin résonnait dans ta tête, décomptant lentement, te pressant à te trouver une cachette parfaite. Moins d’une minute après, tu refermais la porte de la cave derrière toi et partais bien au fond de celle-ci, derrière plusieurs piles de bois que papa entassait ici pour l’hiver prochain. Tu te couvrais la bouche et te pinçais quelques fois le nez pour ne pas exploser de rire et ainsi indiquer ta présence. Les minutes passèrent. Et plus elles passaient, plus tu t’impatientais. Au bout de presque une demi heure et n’entendant plus aucun bruit à l’étage, tu décidas de te montrer. Persuadé d’avoir gagné, haut la main. Un immense sourire aux lèvres, tu pénétras dans le salon. Ton visage , ton corps tout entier se figea. Ils étaient là. Ton père, démembré, ta mère éviscéré, et ton grand frère, défiguré. Leur sang tapissait les murs et recouvrait le sol. Mais tu pouvais clairement reconnaitre les traces de pas des loups, là, entre leurs corps sans vie. Ces immondes bestiaux avaient assassiné ta famille. C’était nourri de leurs chaires et de leurs entrailles. En voulant sortir, tu glissas sur le sol frais et tombas lourdement sur le cadavre de Colin. Ta respiration se coupa, effrayé, ne reconnaissant même plus les traits de son faciès. Tu t’écartes brusquement du cadavre, pleurant à chaudes larmes, ne t’empêchant même pas de gémir tant la douleur de perdre ces êtres aimées étaient insupportables. Tu frottas ta robe, tes bras, tes cuisses, tes mains pour faire partie leurs sangs, mais ils restaient, imprégnés à ta peau.

Soudain, tu vis entrer chez toi une dizaine d’hommes, tous plus différents les uns que les autres. Ils semblaient tous choqué de la vision que cette situation leur offrait. Et tu continuais de pleurer, leur criant de s’en aller. Les suppliants. Cependant, un d’entre eux s’approcha de toi et te pris dans ses bras. Il te serra contre lui , cachant tes yeux de l’horreur de la scène pour t’emmener à l’extérieur. Tu entendis même dire à ses hommes d’enterrer les corps et de laver au possible le liquide rougeâtre. Mais toi, tu continuais de pleurer, sanglotant dans les bras de cet inconnu. Il te semblait être porter des heures avant qu’il ne prenne sa monture pour te conduire à un nouvel endroit. Là bas, ils avaient dressé un campement et t’y invitaient volontiers. Disons plutôt que tu n’as pas eux ton mot à dire. L’homme t’a donné un bain, lavant ton corps rougi et tes cheveux emmêlés. Il t’a habillé d’un pantalon qu’il avait coupé pour t’en faire un short et d’une vieille chemise qui te faisait presque une robe. Tu devais la lever pour ne pas t’entraver dedans. Mais tu ne disais rien. Tu restais près du feu crépitant, le regard perdu entre les flemmes tandis que tu écoutais la discussion animé de tes sauveurs.
Le lendemain, ils t’emmenèrent avec eux. Certains tentaient de te faire sourire, même un tant soit peu en te racontant quelques histoires. D’autres, jouaient d’un instrument que tu n’avais jamais vu, espérant te divertir. Mais, après une semaine, lorsque tu arrivais enfin à penser à autre chose, Claude, l’homme qui t’avait porté jusqu’au campement, vint te parler. Son air était sérieux et son visage impénétrable. Il tenait entre ses mains un couteau dont la lame brillait aux rayons du soleil.

« Il faut que tu sois un garçon. Que tu te comportes comme un garçon. Pour rester avec nous. Tu t’appellerais Ron. »
Adieu jolie petite fille. Adieu Ronny. Bonjour mignon petit garçon. Bonjour Ron.

Par la suite, il t’a coupé les cheveux et t’a offert de nouveau vêtement, cette fois à ta taille mais très masculin. Il t’a même offert le couteau avec lequel il t’avait coiffé. Dans les mois qui suivirent, ils t’apprirent à chasser, à te battre, et à voler. Tu étais réellement doué. La finesse de tes mains et ton regard pétillant étaient faits pour un tel métier, il n’y avait aucun doute la dessus. Tu en étais devenu la plus douée de cette nouvelle famille. Tous des frères, tous des pères. Tu as grandi, et tu as continué à te faire passer pour un homme. Tant et si bien que tu as oublié l’effet que cela faisait d’être une femme. Mais à vrai dire, tu t’en contre fiche. Tu as tout pour etre heureuse ici, auprès d’eux. Et tu le seras.

Félicitation!

Ton personnage a l'air bien sympathique ! J'ai hâte de voir ce qu'il va donner en rp !

Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à jouer avec nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien et de rp [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum.

Par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], tu peux aussi faire une demande de rang et d'habitations, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle surtout à l'époque

Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]!

Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à Londres peut parfaitement commencer