Dominic Keenegan

« une citation de la mort qui tue. » TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM ♦ Dominic Keenegan AGE  ♦ 34 ans DATE DE NAISSANCE ♦ 7 mars 1519 ORIGINE ♦ Anglais SITUATION FAMILIALE ♦ Veuf MÉTIER ♦ Garde royale GROUPE ♦ garde royale CRÉDITS ♦ pumbate LE JOUEUR PSEUDO ♦  Rose AGE ♦  22 ans OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦   ça fait un moment que j'y suis TON AVATAR ♦  Josh Dallas VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦  fictif

▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦ Je suis protestant, comme l'était ma mère. Je suis né peu après les premières vague de protestantisme, ma mère y a adhéré rapidement et j'ai suivi le mouvement. Je n'aurais pas pu faire autrement, et c'était important pour moi aussi de croire en quelque chose, d'avoir la même religion qu'elle. Elle a eu raison de croire ce qu'on lui disait. Je suis du même avis qu'eux. J'auras préféré qu'il n'y ai pas de changement évidement. Je me sens en danger maintenant et je met mon fils en danger par la même occasion. Tout cela m'inquiète. Si la reine continue sur sa lancé elle nous tuera tous.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA REINE D'ANGLETERRE? ♦ (Je ne devrais sans doute pas dire cela, mais je ne suis pas très fier de notre reine. Je sais que je dois la servir, mais ça me déplaît fortement de le faire pour elle. Je n'ai jamais été franchement d'accord avec toutes ses actions et ce n'est pas aujourd'hui que cela va changer. J'aimais mieux Henri VIII. Je n'étais pas forcément d'accord avec tout ce qu'il faisait, mais le pays n'allait pas trop mal, avec ces nouveaux problèmes de religion à présent c'est très différent et je regrette parfois le bon vieux temps. )

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRESENCE DES ESPAGNOLS EN ANGLETERRE ET DU MARIAGE DE LA REINE ? ♦ (Ce n'est à mon sens pas une bonne chose. Encore une de plus je dois dire. Je n'ai rien contre les Espagnols tant qu'ils ne nous envahissent pas, mais leur présence ici me dérange. Je ne vois pas tout ça d'un bon oeil. Cela ne présage rien de bon. Quand au mariage, elle aurait pu choisir quelqu'un d'autre. C'est bien qu'elle se marie, à son âge il était tant pour tout vous dire, mais il n'en reste pas moins que je ne suis pas certain que tout ce tapage soit nécessaire. C'est cela dit encore du travail en plus pour nous. )

▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦ (Oui évidement, je n'aurais pas peur d'agir pour ma foi et pour mes convictions. Il faut se battre pour ce que l'on croit non? Je ne sais cependant pas si j'irais jusqu'à établir des complots, je serais fou de mettre la vie de mon fils en danger de cette manière. Ma famille est plus importante que mes convictions. Peut-être que je pourrais faire plus de chose, si je n'avais pas mon fils, mais il est trop important pour moi pour que je m'engage délibérément dans une lutte. Mais je continue de croire qu'il faut se battre pour que l'on puisse avoir le droit d'exercer notre religion. )

You're the only one that I loved

Je suis né à Londres, dans une modeste maison. Mon père faisait déjà parti de la garde royale, ma mère tenait une boutique de linge. Il y avait ma tante qui vivait avec mes parents depuis la mort de son mari. Mes parents ont toujours été adorables avec moi, ils me faisaient tout découvrir. Je me souviens que je passais du temps avec ma mère à ranger le linge, à accueillir les clients. J'étais assis sur le comptoir et je les écoutais discuter, je jouais avec des jouets en bois que m'avait offert mon père. J'étais fasciné par mon père et je l'imaginais durant ses mission, je l'imaginais combattant toute sorte de créatures. J'avais beaucoup d'imagination quand j'étais enfant. On vivait tranquillement et nous n'avions pas tellement de problèmes. Ma tante m'apprenait à lire et à écrire, pendant que ma mère travaillait à la boutique et mon père allait et venait à ses gardes. On était très uni. Ma mère soupçonnait déjà mon père d'adultère, elle le voyait revenir tard et il s'éloignait de nous. J'étais sans doute trop jeune pour le comprendre. Pourtant ils sont restés ensemble très longtemps. Ma mère savait, mais elle ne voulait sans doute pas que je grandisse sans avoir un père, elle ne voulait sans doute pas que notre famille soit dans la honte à cause de lui alors elle mentait et disait que tout allait bien, mais je voyais que ça n'allait pas. J'avais beau être petit, je n'en étais pas moins intelligent. Je lui disais qu'on pouvait s'en aller, que ce n'était pas grave si on se retrouvait à deux, enfin à trois avec ma tante, mais elle ne voulait pas qu'il s'en aille. Ils sont donc restés mari et femme tout ce temps, tout ce temps pendant lequel il lui mentait. J'ai bien essayé de comprendre ce qui se passait, bien entendu je ne voulais pas que ma mère souffre. J'ai suivi mon père un soir et j'ai compris ce qui se passait. Il voyait une autre femme. Comment pouvait-il être infidèle? Je n'ai jamais compris ça et je ne comprendrais jamais. Il m'a aperçut et j'ai eu peur qu'il ne me punisse, même si je savais qu'il n'était pas comme ça. J'ai couru jusqu'à la maison, affolé de pouvoir imaginer mon père avec une autre femme. Je comprenais pourquoi il avait tant de mal à la regarder en face et pourquoi ça la faisait tant souffrir. Mon père m'a rattrapé, mais il n'a pas été violent comme je le pensais. Il a essayé de m'expliquer. Il m'a dit alors qu'il aimait deux femmes, ma mère et cette autre personne avec qui je l'avais vu, que c'était des choses qui arrivaient et qu'il ne voulait faire de mal ni à l'une ni à l'autre. J'ai eu du mal à le croire et je lui en ai beaucoup voulu. Je lui en ai voulu parce qu'il ne savait pas aimer ma mère, que ce n'était visiblement pas assez pour lui.


Cette séparation à été plutôt bien acceptée par ma mère. C'était une nouvelle femme en quelque sorte. Elle était plus joyeuse et plus à l'écoute. Elle se fichait de ce qu'on racontait à son sujet, de ce qu'on pouvait dire de nous. Elle se sentait plus libre et j'aimais la voir comme ça. Je ne voyais plus mon père, je ne voulais plus rien entendre ni attendre de lui. Il m'avait déçu, mais je rêvais quand même d'avoir le même métier. J'ai toujours été fasciné par les hommes de la garde, par la chevalerie et tout ce qui pouvait avoir un rapport avec l'armée royale. Je m'imaginais très bien porter l'épée pour la reine. J'étais loin de me douter que j'aurais ce que je voulais et que ça serait compliqué de servir une reine d'Angleterre qui n'a pas la même religion que vous. Quand j'étais enfant, je n'attachais pas tant d'importance à la croyance, ma mère me racontait des histoires bien sur, elle me racontait tout ce qu'on lui avait dit à elle quand elle était enfant. Elle était protestante et je le suis devenu, encore plus aujourd'hui avec tout ce que la reine fait. Je suis convaincu que notre religion vaut mieux que le catholicisme. J'ai donc grandit dans les principes protestants. J'aidais encore ma mère à la boutique, ma tante nous préparait à manger le soir et s'occupait de vendre notre linge au marché. Je l'accompagnais parfois et c'est là-bas que j'ai rencontré mon amie d'enfance qui était destiné à devenir ma femme et la mère de mon fils. On avait treize ans quand on s'est connu sur la place du marché. Elle vendait des poules avec son père et sa mère. On s'est revu le lendemain et on s'est lié rapidement d'amitié. Elle rêvait de partir d'ici, de voyager et d'explorer l'Angleterre et le monde. Elle rêvait d'aventure. Je rêvais avec elle. Toute notre jeunesse nous l'avons passé ensemble. On marchait des heures durant près de la tamise ou dans les champs. On était tellement toujours ensemble que nos deux familles s'étaient mise d'accord pour nous marié, ils ne voulaient que notre bonheur. On s'est marié quand on a eu dix-huit ans. Je venais alors d'entrer officiellement dans la garde royale et de finir ma formation. J'étais encore jeune et je voulais prouver que j'étais un vrai homme. Que je n'étais plus un enfant. On a vécu douze ans ensemble. Douze longue et belles années. Rien ne me faisait peur, que se soit les batailles qu'il pouvait y avoir ou les changements dans le gouvernements, tant que j'étais avec elle tout allait bien. J'étais le plus heureux du monde quand j'ai su que j'allais avoir un enfant.



On attendait tous les deux ce moment si spéciale, celui d'être parent. C'était ce qui nous manquait. Ma mère venait de nous quitter et ma tante l'avait suivie. Elles sont toutes les deux mortes à quelques semaines d’intervalles. On se retrouvait tout seul. Ma femme gardait la boutique de linge, elle voulait continuer le travail que faisait ma mère, elle savait que ça comptait pour moi. Elle a travaillé jusqu'au bout. Elle était douée pour commercer. Elle avait un charisme qui en aurait fait tomber plus d'un et j'ai souvent eu du mal à croire que c'était moi qu'elle avait choisi. J'étais très heureux avec elle. On attendait ce bébé impatiemment. Je n'étais pas là lorsqu'elle a accouché. Je n'ai rien vu de ce qui s'est passé. J'ai tout manqué et je n'ai pas pu dire au-revoir à ma femme. Quand je suis rentré, le docteur était là et il avait une expression triste et j'ai su qu'il s'était passé quelque chose. J'entendais des cris de nourrisson dans la chambre. J'ai vu un femme, sans doute une dame de chambre m'apporter l'enfant. J'ai souris en voyant qu'il était envelopper dans un drap en laine pour avoir chaud, nous étions en hiver. J'ai demandé si je pouvais aller voir mon épouse et tout le monde s'est tu. Comme s'ils n'arrivaient pas à me dire ce qu'elle était partie. Je suis entré dans la chambre et j'ai compris qu'elle était morte. Je me souviens avoir pleurer pendant des heures et que les femmes de chambre sont resté dans la pièce à côté pour surveillé le bébé. Je n'avais pas honte de pleurer, j'aimais ma femme plus que tout au monde et je venais de la perdre sans avoir eu l'occasion de lui venir en aide. Je me sentais coupable de l'avoir laissé toute seule. J'ai pensé que je ne pouvais pas continuer à vivre sans elle et puis l'enfant à pleuré et instinctivement j'ai été le chercher. Je l'ai pris dans mes bras et j'ai essayé de le calmer. C'était tout ce qui me restait de ma femme. Je l'ai appelé William parce qu'on avait toujours voulu ce prénom pour un garçon et si l'enfant avait été une fille elle se serait appelée Astrid. On avait pensé à tout, mais certainement pas au fait que je puisse me retrouver seul.

Les premiers mois ont étés très difficiles. J'étais perdu sans ma femme et j'avais toujours peur de ne pas savoir m'en sortir avec un bébé. J'ai eu de l'aide d'une sœur de ma femme qui s'est occupé pendant un temps de mon enfant. Elle m'apprenait ce qu'il fallait savoir et puis j'ai pris confiance en moi et j'ai commencé à m'occuper seul de l'enfant. Je travaillais beaucoup et ne pouvais pas toujours être là pour lui alors c'est une nourrice qui m'a aidé ensuite et qui le gardait, qui s'occupait de lui, mais dès que je rentrais je prenais la relève et c'était dur de devoir repartir travailler en le laissant là. J'avais toujours peur qu'il arrive quelque chose. Encore aujourd'hui, il a beau avoir maintenant cinq ans, j'ai toujours peur qu'il ne tienne pas lorsque l'hiver vient, qu'il soit trop fragile ou qu'il se passe quelque chose en mon absence et qu'on s'en prenne à lui. J'essaie de lui offre tout ce qu'il veut, j'essaie de le rendre heureux autant que je peux. J'essaie de l'éloigner le plus possible de toute ces histoires de croyances. Je veux qu'il croit en ce qu'il veut, pas en ce qu'on lui soumet. Il grandit vite, trop vite pour être honnête. Il n'a beau avoir que cinq ans il m'étonne toujours parce qu'il comprend bien mieux certaines chose que nous. Je suis très fier de lui et je crois qu'il l'est aussi de moi. A la mort de ma femme j'ai donné la boutique à sa famille. Je n'en avais plus l'utilité et même si j'aurais aimé la garder c'était trop de charge pour moi et trop de souvenirs. Je préférais qu'elle reste dans la famille quand même alors je l'ai donné à sa sœur qui m'a tant aidé. Aujourd'hui tout se passe plutôt bien, même si j'ai toujours un vide à combler au fond de mon cœur. Ma femme me manque et je me sens seul parfois, mais quand je vois mon fils tout va d'un coup beaucoup mieux. Je crains pour notre vie tranquille depuis quelques temps et ne cesse de m'inquiéter de ces changements de religions. J'aimerais tellement savoir ou tout cela nous mènera, mais comme on dit, qui vivra verra.

Félicitation!

(Et voilà, tu es validé Si tu veux, tu peux venir foire ou banquet. Amuses toi bien )

Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à jouer avec nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien et de rp (ICI), comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum.

Par (LA), tu peux aussi faire une demande de rang et d'habitations, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle surtout à l'époque

Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par (LA)!

Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration (ICI)

Maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à Londres peut parfaitement commencer