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Nous nous situons aux alentours de mai 1558. Il fait de plus en plus chaud les gens prennent plaisir à sortir dans les jardins.
Si vous souhaitez jouer un étranger, privilégiez les Espagnols et les Ecossais. N'hésitez pas à regarder les PV et scénarii en priorité. |
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| ❝ Invité ❞ | Sujet: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 16:18 | | | Anne Stafford « la douceur d'une femme est le bienfait que nous a permis Dieu. » | TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM ♦ Anne Stafford. AGE ♦ Dix-Neuf Ans. DATE DE NAISSANCE ♦ Six Juillet Quinze Cent Trente-Quatre. ORIGINE ♦ Anglaise. SITUATION FAMILIALE ♦ Célibataire ; elle est la fille de Sir William Stafford, et de feu Mary Boleyn, de la maison Howard. De part sa mère, elle est la demi-soeur de Catherine et Henry Carey. MÉTIER ♦ Roturière, elle aspire à une vie de cour en tant que Dame de Compagnie. GROUPE ♦ Le Peuple. CRÉDITS ♦ Tumblr & Maquizz. LE JOUEUR PSEUDO ♦ Rose. AGE ♦ Vingt-Quatre Ans. OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦ Via PRD, mais qui ne le connait pas ? TON AVATAR ♦ Holliday Grainger. VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦ Historique, me semble-t-il. |
Audience devant la Reine. ▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦ Je suis catholique, bien sûr ! Je célèbre la messe selon les rites dits "des Temps Anciens", je reconnais sa Sainteté le Pape Jules III à la tête de l’Église de Dieux, je garde précieusement sur moi la Croix sur laquelle se sacrifia notre Seigneur Jesus Christ. Et bien entendu, je suis la religion, en fidèle sujette que je suis. (C'est parfaitement bien récité, n'est-ce pas ?) On pourrait s'étonner de mon allégeance religieuse, lorsque l'on sait que ma mère était Mary Boleyn, et que ma tante n'est nulle autre que la défunte Reine Anne Boleyn qui fit souffler le vent de la réforme sur l'Angleterre. L'on pourrait me croire encline à l'hérésie dont certains murmurent qu'elle est pratiquée par ma cousine, Elizabeth Tudor. Mais je suis catholique (Je suis surtout loin d'être sotte : si je veux entrer à la Cour, où la mode est résolument au catholicisme, alors je suis catholique). ▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA REINE D'ANGLETERRE? ♦ Je pense que la Reine d'Angleterre est la Reine d'Angleterre. Et je ne pense rien de plus. D'ailleurs, personne ne doit rien penser de la Reine, car la pensée même qu'elle ne puisse pas être Reine ou même le suggérer, est synonyme de trahison. Et si je veux entrer à la Cour, une accusation est la dernière chose dont j'ai besoin. (Elle a humilié ma cousine, jeté sa propre sœur à la Tour. Quel est ce monstre sans cœur qui cherche à se débarrasser de son propre sang ? Tout ça pour quoi ? Être le pouvoir incontesté ? ) Et puis il y a quelque chose de merveilleusement grisant à penser qu'après avoir tant cherché à placer un fils sur le trône, ce soit une femme qui ait repris l'héritage du Roi Edward. Un bel exemple pour toutes les femmes du pays ! Aucune anglaise n'a réussi l'exploit de s'approprier ce qu'elle pense lui est dû. (En retenant tout de même qu'elle est à moitié espagnole.) ▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRÉSENCE DES ESPAGNOLS EN ANGLETERRE ET DU MARIAGE DE LA REINE ? ♦ Une femme doit se marier. Il n'y a pas d'autres choix, que ferait-elle sans un mari ? Et puis les mariages sont toujours l'occasion de porter de belle toilettes, de danser toute une nuit durant, et se faire remarquer par quelque gentilhomme bienveillant et fortuné. Même la Reine ne peut pas s'y soustraire, et lorsque l'on connait ses origines, il n'y a rien d'étonnant à ce qu'elle ait choisi un époux espagnol. (Il aurait mieux valut qu'elle choisisse un anglais, ne fusse pour ne pas rompre radicalement avec les traditions. Bientôt, on pourrait l'accuser de faire régner les espagnols, les Habsbourg plus précisément, en ruinant la dynastie Tudor.) En revanche, les espagnols sont connus pour être très stricts, on dit qu'ils ne sourient jamais, ne savent pas s'amuser, et voient en chaque chose un péché ou une expression satanique. Leur mode est au corset bien ficelé, aux cols hauts et aux coiffes sérieuses. C'est un peu triste pour une Cour que l'on dit la plus fastueuse et brillante d'Europe. (Tant mieux ! Peut-être qu'à faire mourir d'ennui son entourage, Mary finira par lasser.) ▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦ La seule cause pour laquelle je me bats tous les jours, c'est d'entrer à la Cour. Non pas que je ne sois pas heureuse auprès de mon père, ou plutôt de ma sœur puisqu'à présent, c'est d'avantage Catherine qui s'occupe de moi - ou moi qui m'occupe de ses enfants - mais je rêve de la Cour. Après tout, avant d'être bannie et rejetée, ma mère Mary était et descendait d'une longue lignée de courtisans prestigieux, les Howard. Ce devait être fabuleux que d'évoluer dans un tourbillon de jolies robes et de coiffes dans des palais plus majestueux les uns que les autres, jouer ou danser avec de nobles gentilshommes, et même avec le Roi lui-même. Être la dame de compagnie d'une Reine, et même sa propre sœur ! (Anne Boleyn était Reine d'Angleterre, quand bien même Mary Tudor tente d'en effacer le visage de la mémoire historique). Je veux vivre cette vie, goûter au faste, chanter et danser comme l'a fait ma mère, comme l'a fait ma sœur Catherine. (Et je veux aussi y voir ma cousine Elizabeth. Elle est de sang royal, elle a sa place à la Cour. Encore plus que moi).
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| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 16:21 | | | A Journey To Court ▬ Mémoires d'une Jeune Roturière ♦ Je suis née par une étouffante nuit d'été, alors qu'un orage brûlant brisait un ciel sans étoiles d'éclairs menaçants, et que s’abattait sur le Staffordshire une pluie lourde qui emplie l'air de l'odeur de foin mouillé. Alors que depuis l'étable, un cri de bête perçait ça et là le tumulte de la nature déchainée, les cris de ma mère m'enfantant résonnaient depuis le lit aux draps trempés de sueur, à la fois de douleur sous la mise au monde, mais aussi de bonheur à l'idée que son amour, interdit et châtié, avait donné un fruit. Pourtant, rien n'avait été moins certain que ma naissance : chassée par sa famille, confrontée à la rude vie de jeune propriétaire terrien, cette grossesse n'avait rien de comparable avec les deux premières. Mais malgré sa condition, malgré son train de vie, j'ai la prétention de penser que Mary Stafford était en ce moment bien plus heureuse que Mary Boleyn.
Sa prestigieuse famille, apparentée aux illustres Howard de part ma grand-mère, Lady Elizabeth, jouait alors la partie politique la plus inédite et la plus dangereuse que l'Angleterre ait jamais connue. En l'espace de quelques années, elle avait soigneusement tissé une toile solide autour du trône, paradant successivement leurs filles devant le Roi Henry VIII. Au détriment de Katherine d'Aragon, la belle princesse espagnole venue épouser le prince Arthur Tudor, et ayant elle aussi longuement bataillé pour que sa main soit unie à celle d'Henry à la mort tragique de l'héritier, mon grand-oncle Thomas Howard, Duc de Norfolk, avait pour projet de remédier à l'infertilité constante du couple royal, en donnant au Roi la femme qui lui donnerait le fils que la Reine n'était pas en état de mettre au monde, malgré la naissance d'une princesse Mary Tudor. Ma mère, Mary Boleyn, fut sa première favorite, et si ma demi-sœur Catherine n'en parle jamais, et que mon demi-frère Henry a toujours été des plus distants, je suis intimement convaincue qu'ils sont de sang royal. Officieusement nés de William Carey, alors époux de la favorite royale, ils passèrent leur enfance à Hever, la demeure familiale des Boleyn, et ma mère ne pouvait les voir que l'été, alors que la Cour voyageait d'un palais à l'autre. Le prix à payer lorsque l'on connait les faveurs royales, sans doute. On aurait pu penser qu'en tant que maîtresse, ma mère eut été la plus assidue des courtisanes. Mais lassée de devoir jouer les femmes insouciante, tout en cocufiant un époux qui finit par succomber aux douleurs de la suette, et en laissant à la bonne grâce de quelque inconnu grassement payé ses enfants, Mary Boleyn était malheureuse.
Pouvait-on alors lui jeter la pierre pour avoir épouser, dans un secret qui ne trahissait que trop de véritables sentiments, un homme qui la voyait pour ce qu'elle était, belle et généreuse, et non pas comme un pion sur l’échiquier familial ? William Stafford, mon père, n'était peut-être qu'un simple homme de main du Duc de Norfolk, mais il l'aimait et lui promettait un avenir de douceur, autour de ses enfants, et dans une campagne que Mary avait appris à aimer. Il avait acheté Chebsay, sa large ferme et ses dépendances, avec toutes les économies accumulées durant des années de loyaux services domestiques. On aurait pu croire qu'être la femme d'un homme n'ayant de bien ni pas intrigue, ni par héritage, eut été une retraite méritée pour une femme qui avant tant sacrifié pour les ambitions politiques des autres. Pourtant, bien plus encore qu'une simple femme Howard, Mary n'était tout simplement pas libre d'aimer. Sa sœur, ma tante Anne, d'abord maîtresse du Roi comme le fut Mary avant elle, était passé de son lit à son trône, supplantant Katherine d'Aragon et devenant Reine consort d'une Angleterre qu'elle souhaitait réformée, jusque dans ses traditions religieuses. A ce titre, les Boleyn devenaient le pendant féminin de la famille royale : dans ces conditions, il était exclu que Mary épouse un roturier, quand bien même il eut été fait chevalier par Sa Majesté lui-même en souvenir d'un amour de jeunesse. Pour m'éviter le nom de bâtarde, et plus tard protéger mon petit-frère Edward, légitimer leur union devant Dieu n'était que chose naturelle. Alors, Mary fut bannie de la Cour, et c'est ainsi que commença mon existence champêtre et modeste.
Je ne garde que peu de souvenirs de ma tendre enfance ; d'un an seulement mon cadet, Edward n'était jamais loin de moi, et j'entends encore son rire clairet me poursuivre à travers les prairies, le long des ruisseaux, et même parfois autour de la table alors que mes parents réclamaient ordre et calme, sans pouvoir pour autant cacher leur amusement. Si la mémoire me fait quelque peu défaut, il me semble que le bonheur familial ressemble à cela. Si l'on compte aussi le fait que Catherine et Henry partageaient souvent de longs séjours à nos côtés, nous étions sans doute ce qui ressemble le plus à une famille unie. Et là où plus d'un cherchaient le bonheur dans des fêtes somptueuses, entourés de grands noms et grandes fortunes, la vie à Chebsay avait de cela que dans sa simplicité, elle a sans doute contribué à m'imprégner de ce qui est essentiel.
Pourtant, c'est bien notre vie qui changea, un matin de mai 1536, alors que la lame acérée du bourreau trancha d'un coup sec et froid le cou de ma tante, Sa Majesté la Reine Anne Boleyn. De cette force de la nature, dont j'avais hérité le prénom, je n'avais jamais vu le visage, ni humé le parfum de cette élégance pour laquelle elle était tant admirée, envoutante. Je n'en connaissais que les récits que m'en faisait ma mère, qui malgré un mélange de tristesse mélancolique et de colère refoulée, en parlait avec un amour et une douceur comme n'en connaissent que de forts liens fraternels. Ces histoires, je les réclamais sans cesse, cherchant à jamais à m’enivrer de la légende de cette femme, noble de sang, royale par mariage et que l'on avait décidé, brusquement, d'abattre sur fond de sordide trahison doublée d'adultères en tout genre. Je n'avais que deux ans, mais je me souviens encore de l'horreur ternissant de pâleur le visage à l'accoutumé si resplendissant de ma mère, tandis que de ses doigts tremblants glissait la missive annonçant la disparition non seulement de sa sœur, mais également de son frère George. Disparition qui, si elle nous déchirait, nous plaçait de façon surprenante à la tête du domaine et des terres de Rochford, données à mon oncle George alors en pleine ascension au même titre que sa sœur. Ce nouveau bonheur était tel, qu'il nous permit à moi et à mon frère Edward d'être éduqués convenablement, d'apprendre à lire et à écrire, ainsi que les rudiments de connaissances que tout enfant d'Angleterre devrait pouvoir avoir.
Le destin avait voulu que la mort d'Anne Boleyn fasse renaitre de ses cendres Mary ; mais que ne fut le prix à payer. Si les disparitions tragiques, un rien monstrueuses des nôtres laissaient à jamais d'indélébiles traces vermeil dans nos cœur, que ne fut le désarroi de tous d'apprendre qu'Anne, dans sa chute, entrainait du même coup sa petite et unique fille, Elizabeth. Affublée du sobriquet de bâtarde - une dénomination à laquelle j'avais eu la chance extrême d'échapper par le courage de parents s'aimant tendrement - la jadis choyée princesse qu'elle était se voyait réduite à vivre une vie de rien, dans sa demeure de Hatfield House. Je n'oublierai jamais la première fois que je l'ai vue : avec ses longues boucles de feu, ses beaux yeux de jet qui lançaient éclairs et appels de détresse mêlée, ma royale cousine n'avait d'illégitime que les injures dont on voulait bien la parer afin de plaire au nouveau vent qui soufflait sur la cour de Sa Majesté de père. Nous sommes sensiblement du même âge, alors forcément, de liens forts nous unirent rapidement. J'aimais à penser que si Kittie était cette grande-sœur omniprésente, chaleureuse et réconfortante comme on aime à penser les grandes-sœurs, Lizzie était cette jumelle éloignée de moi par quelque mauvais sort, enfermée dans une prison de verre dont il fallait petit à petit la libérer par petits jets d'amour dispensés à chacune de nos rares, mais néanmoins habiles visites. J'aime à penser qu'à force de constance, l'union de notre famille si peu commune eut raison de la cruauté avec laquelle on cherchait à la punir des supposés crimes de sa mère et de son oncle, et que c'est un peu grâce à nous que le Roi a trouvé la bonté de la rappeler auprès de lui à la Cour.
La Cour. Je n'y suis allée que deux fois, toujours en l'honneur de mes liens si particuliers avec la princesse Elizabeth, avec laquelle j'avais pris pour habitude de correspondre par de longues lettres. J'ai toujours été fascinée par ce monde hors du temps, hors de toutes ces réalités qui j'avais côtoyées. Que devait-ce être que d'y évoluer année après année, dans une succession de fêtes et d'amusements en tout genre ? Un conte de fées, auquel je me mis à rêver à mesure que je grandissais, oubliant parfois trop vite que la Cour et ses magnificences, la Cour et ses intrigues, pouvaient donner autant de plaisir que causer de malheurs et de morts.
Ma mère mourut l'été de mes neuf ans, et deux ans plus tard suivait mon petit frère Edward. Jusqu'alors, je me souciais peu de l'avenir, évoluant entre ma famille et mes rêveries de petite fille sans cesse dirigées vers les fastes glorieux de la royauté. Je ne m'étais jamais demandé ce que cela signifiait que de grandir, de vivre une vie bien remplie, et finalement s'éteindre, au bon moment. Pour moi, tout était éternel, et si par malheur, la douleur venait frapper à notre porte, elle amènerait avec elle son lot de douceur pour l’apaiser. La disparition des deux êtres qui m'étaient les plus chers me firent grandir plus vite que je ne l'aurais souhaité et depuis, sous une apparence toute de gaieté, les larmes du souvenir de mon enfance me bercent la nuit. Il n'y avait guère que mon père William pour deviner ma farce, et c'est peut-être par impuissance à me consoler, tremblant lui-même encore de la mort de son épouse tant aimée, qu'il confia mon éducation à ma demi-sœur Catherine. Toujours présente, Kittie avait ce quelque chose de particulier qu'elle avait quelque peu emprunté le chemin jadis emprunté ma notre mère Mary, ayant accompagné notre tante Anne jusqu'à la Tour, et avoir été demoiselle d'honneur de la Reine Anne de Clèves avant sa répudiation, et celle de Katherine Howard avant son exécution. Cette grande-sœur, à présent mariée et mère de bientôt cinq enfants, semblait être la parfaite tutrice. C'est donc auprès d'elle que je passais mon adolescence, transférant l'amour fraternel que j'avais eu pour mon pauvre Edward sur mes petits neveux et nièces, et l'amour filial que j'avais nourris pour ma belle Mary sur ma demi-sœur.
Aujourd'hui, ma vie à Rotherfiled Greys suit son court. Toujours aussi souriante, et dite d'une douceur rare, j'évolue au sein de ma belle et charmante famille. La seule ombre de ce tableau idyllique, est la pensée que quelque part, Elizabeth souffre. Non contente d'avoir été enfermée par sa demi-sœur Mary comme une vulgaire criminelle, ma cousine a du cessé tout contact épistolaire avec moi. J'espère avoir de ses nouvelles, mais chaque jour que le Seigneur fait ne m'en rapproche hélas pas. Je dis Seigneur, au sens catholique du terme car aujourd'hui, la mode est au catholicisme, et aux robes bien centrées qui montent jusqu'au cou. Rien de très plaisant, mais il faut que je m'y fasse vite. Comme à chaque fois, ma vie est rythmée par la douleur et le bonheur fulgurant : et tandis que je tremble pour ma chère cousine, une missive vient d'arriver. Une misse m'appelant au service de Lady Margaret Douglas, la propre cousine de la Reine Mary. Je dois lui servir de demoiselle d'honneur à la prochaine rentrée de la Cour. Moi ! Quelle joie infinie. Mon rêve est en phase de se réaliser : et je compte bien, dans la joie et l’allégresse de faire enfin partie de ce monde, parvenir à renouer avec Lizzie et, peut-être, commencer un long et pénible périple vers sa reconnaissance publique et sa restauration dans ses droits.
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| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 17:09 | | | Bienvenue demoiselle Anne |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 17:50 | | | Bienvenue sur le forum avec ce super personnage Hâte de voir la suite de ta fiche |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 17:54 | | | Ohh ! Welcome miss |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 17:56 | | | Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche ! |
| | | ❝ Antanasya L. Cavendish ❞ Admin ❧ « Duchesse de vos coeurs. » ♕ Métier : Duchesse ♕ Age : 30 ans ♕ Religion : Protestante ♕ L'avatar a été fait par : fassophy ♕ Mon nombre de messages est : 2572 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 0 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 06/10/2012 ♕ Mon pseudo web est : Mari-Jane ♕ Mes autres visages : Elizabeth - Constance - Edward
| Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 18:04 | | | La plus belle C'est mon Elizabeth qui va être heureuse de te voir Si tu as des questions surtout n'hésites pas à venir me voir Bon courage pour la rédaction de ta fiche |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 18:29 | | | |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 19:13 | | | Ma belle demi-soeur ! J'ai tellement hâte de pouvoir RP avec toi ! Courage pour ta fiche |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 20:59 | | | Bienvenue ici bon courage pour la fiche =) |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Jeu 13 Aoû - 21:21 | | | Bienvenue |
| | | ❝ Elena d'Altafuente ❞ La mélancolie s'appelle Andalousie ♕ Métier : Duchesse de Malaga y del Infantido et Dame de compagnie de la reine Mary Tudor ♕ Age : 29 ans ♕ Religion : Catholique ♕ L'avatar a été fait par : Indi, Poison, M-J, castamere rains ♕ Mon nombre de messages est : 419 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 30 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 19/04/2015 ♕ Mon pseudo web est : Elynore ♕ Mes autres visages : Rosalie Woodley || Margaret Douglas
| Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Ven 14 Aoû - 15:02 | | | Bienvenue Anne Les Anne envahirons TTB YEAHHHHHHHHHHHH |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Ven 14 Aoû - 17:29 | | | |
| | | ❝ Thomas Howard ❞ La Noblesse Anglaise ♕ Métier : Duc de Norfolk & Comte de Surrey ♕ Age : 22 ans. ♕ Religion : Catholique, enfin pour l'instant. ♕ L'avatar a été fait par : Maquizz ♕ Mon nombre de messages est : 140 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 0 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 30/11/2014 ♕ Mon pseudo web est : Menthe. ♕ Mes autres visages : Mary Sidney | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Ven 14 Aoû - 19:26 | | | Ah non, je refuse, nous autres Howard n'avons pas de liens familiaux avec des roturiers ! Comment ça Mary Boleyn ? *La joueuse donne un grand coup de coude à Thomas* Bienvenue sur TTB avec ce superbe personnage ! Je n'ai pas encore d'idée, mais je compte bien me creuser les méninges pour trouver un lien qui dépotte entre nos deux Howard (oui, oui, même si Thomas risque de me faire la tête ). Bon courage pour le reste de ta fiche ! J'ai déjà beaucoup aimé le début, hâte de lire la suite ! |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Ven 14 Aoû - 20:56 | | | Merci à tous une fois de plus pour votre accueil Spéciale casse-dédit à ma sista Catherine ( ), et à mon horrible cousin Thomas (MPote moi, qu'on discute ) |
| | | ❝ Invité ❞ | | | | ❝ Invité ❞ | | | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Sam 15 Aoû - 22:39 | | | |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Dim 16 Aoû - 10:04 | | | Bienvenue sur TTB Anne Très bon choix de personnage, au plaisir de te croiser en RP |
| | | ❝ Elizabeth Tudor ❞ Admin ♛ « Princesse et bâtarde d'Angleterre. » ♕ Métier : Princesse d'Angleterre ♕ Age : 25 ans ♕ Religion : Celle que me dictera ma souveraine. ♕ L'avatar a été fait par : fassophy ♕ Mon nombre de messages est : 3524 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 11 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 11/09/2012 ♕ Mon pseudo web est : Mari-Jane ♕ Mes autres visages : Antanasya Cavendish - Constance Bennet - Edward Seymour
| Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Lun 17 Aoû - 21:59 | | | Félicitation! Ta fiche est vraiment superbe J'adore l'insouciance de la jolie Anne et en plus on sent quelques petits changements chez elle Par contre fais attention, la demoiselle a maintenant 20 ans comme nous sommes en mars 1555
Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à jouer avec nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien et de rp [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum.
Par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], tu peux aussi faire une demande de rang et d'habitations, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle surtout à l'époque
Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]!
Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et tu pourras aussi retrouver le flood de ton groupe [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
Maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à Londres peut parfaitement commencer |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Lun 17 Aoû - 22:13 | | | |
| | | ❝ Invité ❞ | | | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Mar 18 Aoû - 16:22 | | | Bravo pour ta validation |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter Mer 19 Aoû - 13:49 | | | biienvenue par ici !! contente de voir ce magnifique perso pris ! félicitation |
| | | ❝ Contenu sponsorisé ❞ | Sujet: Re: ANNE ۞ the other boleyn girl's other daughter | | | |
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