Margaret Seymour

« Did my heart love till now? Forswear it, sight! For I ne'er saw true beauty till this night » TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM ♦ Margaret Seymour AGE ♦ Quinze ans DATE DE NAISSANCE ♦ 15 mai 1540 ORIGINE ♦ Anglaise. SITUATION FAMILIALE ♦ Elle est la fille de Anne et Edward Seymour. Elle est la cadette de quatre enfants, mais l'aînée de deux autres, ce qui lui fait six frères et soeurs en tout. MÉTIER ♦ Écrivaine. GROUPE ♦ La noblesse. CRÉDITS ♦ tumblr - @romeoandjulietfan.tumblr.com. LE JOUEUR PSEUDO ♦ spf. AGE ♦ 23. OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦ via bazzart. TON AVATAR ♦ hailee steinfeld. VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦ historique.

▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦ Je suis protestante, comme ma mère. Comme le reste de ma famille et comme beaucoup d'autres. Mais évidemment, je le cache, ne le crie pas sur tous les toits: pour ma propre sécurité. Pour celle de mes proches. Et je déteste ça, devoir me cacher. Devoir mentir. Pourtant j'ai appris à mes dépens que nos convictions et nos croyances, nous devions tous les garder pour nous...Du moins pendant les temps de crises. Je suis protestante, mais aux yeux du monde, je me fie à mon plus grand regret, à la religion de l'Etat.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA REINE D'ANGLETERRE? ♦ Comme pour tout souverain et pour toute personne en général, il y a du bon et du mauvais. La reine est un réel atout pour ma famille, parce qu'elle a le pouvoir de nous restituer nos titres, notre honneur, notre prestige. Mais à côté de cela, les protestants ne sont toujours pas à l'abri et c'est un point négatif. Je n'aime pas et ne voir pas d'un bon oeil ses agissements à ce niveau là, mais ne dit rien. Je n'en ai ni le droit, ni le pouvoir de toute manière: et puis ce serait trop dangereux: alors je couche tout ce que je pense d'elle sur papier. Le bon, comme le mauvais.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRESENCE DES ESPAGNOLS EN ANGLETERRE ET DU MARIAGE DE LA REINE ? ♦ Des catholiques de plus sur une terre de catholiques, quelle surprise... Je ne sais pas trop quoi penser de tout ça, ni même ce que ça présage pour l'avenir. Après tout, ils ne sont pas natifs d'ici et ont leurs coutumes, leurs manières de faire et de réagir: si bien que je ne me sent pas encore parfaitement à l'aise vis à vis d'eux. Mais je ne juge pas pour autant. Ils sont des alliés de notre Pays, alors pourquoi voir cela d'un mauvais oeil? Quant au mariage...La reine s'est unie et a donc confié ses sujet, son pays tout entier aux mains d'un homme. Choix avisé ou non, on le saura tôt ou tard.

▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦ Dieu sait que j'aimerai. J'aimerai, mais ce serait du suicide et je refuse de finir en martyr: mise à mort, brûlée vive pour une cause qui certes m'est chère, mais qui n'aboutira pas avant longtemps. Voir jamais. Avant, bien avant de ne serais-ce que penser à tout ça, j'ai d'autres choses en tête: ma famille et ce qui nous a été arraché. A commencé par mon père, ma soeur Anne et tout le reste. Notre honneur va nous être restitué, nos terre et nos titres aussi, certainement. Mais mon père ne reviendra pas à la vie. Ma soeur aura toujours été mariée à un homme à seulement treize ans et éloignée de durant des années. Notre sang bouillonne dans nos veines -du moins, dans les miennes-, et j'aspire à me venger de tout ceux qui nous ont fait souffrir. Qui nous ont sacrifié et pour quoi? Le pouvoir et le plaisir de nous voir déchus, traînés dans la boue. Dommage qu'ils s'en soient pris à la mauvaise famille.

‘Till death do us part

- 1550 -

Chère Anne,

Oh, très chère Anne, comme j'espère que tu te portes bien. Comme j'espère que tu gardes foi et courage. Que tu ne baisses pas les bras. Parce que tu sais que tu ne le dois pas: tu es forte, je le sais. Et puis cette situation ne durera pas pour toujours, sache le. Les choses changent, bougent plus vite qu'on ne veut bien le voir et d'ici peu tu seras de retour à la maison. Ici, tout le monde va bien...du moins, aussi bien que possible vu la situation, comme tu dois t'en douter. Je n'ose pourtant imaginer, devant mon pupitre, la plume à la main, ce que tu vis là où tu te trouves. Et j'ai peur. J'ai peur pour toi, sans arrêt: comme mère. Comme tout le reste de notre famille... Tu sais, je commence à écrire, -bien que ma plume soit encore hésitante-, et ça m'apaise. En ce moment, l'écriture est ma seule porte de sortie, ma seule échappatoire: tant que je suis vivante, que je respire et que je peux me servir d'une plume et d'un encrier, je continuerai.

La nuit est tombée depuis longtemps et la bougie qui m'éclaire ne va pas tarder à s'éteindre, signant là l'arrêt de cette lettre. Cette nuit, je rêverai certainement à nouveau que nous sommes ensembles, que nous courrons dans les couloirs et que nous faisons enrager notre nourrice. Je rêverai que l'épée de Damoclès dressée au dessus de nos têtes n'est qu'un horrible cauchemar et que notre vie est aussi parfaite qu'elle l'était il n'y a pas si longtemps.

Tout mon amour accompagne cette lettre, ainsi que mon soutien.
Je t'adore. Nous t'adorons tous.
Vivement ton retour.

Ta petite soeur,
Margaret.

Margaret souffle sur le papier, veillant à ce que l'encre sèche bien, avant de le plier délicatement. Elle l'enferme ensuite dans une enveloppe, qu'elle scelle et y inscrit le prénom de sa soeur aînée. Ensuite, elle se penche et saisi une boîte en bois où de délicates fleurs sont sculptées. Un cadeau de son père, pour ses dix ans. Margaret l'ouvre et y dépose l'enveloppe, où se trouve déjà des dizaines de lettres. Toutes adressées à Anne. C'est avec une boule au creux du ventre que tu te glisses sous les draps. Comme tous les soirs. Comme tous les jours. Quelque chose se prépare et malgré son jeune âge, elle sent que le vent va tourner. Et ses pires cauchemars devinrent réalité, un an plus tard.



- 1551 -

Chère Anne,

Père, Mère ont été conduits à la Tour aujourd'hui. Nous sommes tous avec Grand-Mère en ce moment et elle essaie de nous rassurer. De nous faire croire que tout va bien se passer, mais nous sommes loin d'être idiots. Tu nous verrais tous, agglutinés ici. Henry crie à la trahison et fulmine, maudit le monde entier. De loin, je le vois encore trépigner et trembler, angoissé. Jane elle, n'a pas dit un mot depuis des heures...Quant à moi, je ne sais pas quoi faire sauf t'écrire. Comme toujours. Pourtant, je pense à eux, coincés dans la Tour. Je me demande si Mère a peur...Bien sûr que non, c'est idiot. Rien n'effraie Mère. Surtout pas si Père est près d'elle, et inversement. Ils vont s'en sortir, d'une manière ou d'une autre.Oh, comme j'aimerai que tu sois ici, avec nous. Comme j'aimerai que nous traversions cette épreuve ensembles. Notre famille est encore unie, mais je me demande pour combien de temps, et ça me fait peur. Je crains les prochains jours, mois, années. Je crains pour ta vie, toi qui est coincée avec ton mari. Alors s'il te plait, fais attention à toi: qui sait de quoi ces gens sont capables. Les Dudley sont malfaisants, manipulateurs et inhumains: tu dois le savoir, n'est-ce pas? Je ne sais pas exactement quand nous aurons des nouvelles de Père et Mère, mais j'espère de tout coeur qu'elles seront bonnes. Car après tout, tout prend fin un jour: nous avons connu la gloire, le bonheur et la roue vient juste de tourner. Maintenant, il ne nous reste plus qu'à attendre qu'elle tourne à nouveau, en notre faveur cette fois. Et tout ceux qui nous auront fait du mal paierons, que ce soit du fait de nos parents, ou de dieu. Peu importe. Le vent tourne toujours, surtout pour ceux dont le coeur déborde de noirceur.

En ces heures sombres, je t'apporte, ma très chère Anne, mon soutien de ma propre prison dorée, où je suis enfermée pour ma propre sécurité.
Avec toute mon affection.
Ta petite soeur,
Margaret.

La jeune fille pose sa plume et ferme son encrier Avant qu'elle ne puisse plier la fragile feuille afin de la mettre dans l'enveloppe, elle remarque une tâche, sur sa signature. L'encre se met à baver et à couler légèrement, formant un petit cercle brillant à la lumière du soleil. Ses sourcils se froncent et elle porte ses doigts à sa joue, surprise de la trouver légèrement humide. Une boule s'est formée dans sa gorge, comme prête à exploser: voilà longtemps qu'elle n'avait pas eu cette sensation. Ses yeux se mettent à la piquer, à la brûler désagréablement et ses lèvres tremblent. Tout son corps tremble, alors que son coeur semble se gonfler dans sa poitrine. La tristesse et la peur l'étreint comme un étau et elle se force à prendre une profonde inspiration. Perdre ses parents est une chose horrible, affreuse et terrifiante. Mais les savoir en vie quelque part, enfermés et incertains de leurs propres destins, c'est encore pire. Pourtant, Margaret essaie de rester forte: pour ses frères et soeurs. Pour Jane, qui est plus jeune et qui a peur. Alors elle sèche les larmes qui viennent couler le long de ses joue pâlies par l'angoisse et se redresse, avant de se lever. Cette fois-ci, elle ne scelle pas la lettre, ne la met pas avec les autres. Pas tout de suite. Elle entend Jane l'appeler et la rejoint, les pieds semblant peser des tonnes. Leurs parents sont absents, mais eux sont encore ensembles, avec leur grand-mère. Pour l'instant, ils ne risquent rien, mais qui sait? Demain pourrait être encore pire qu'aujourd'hui.



- 1552 -

Chère Anne,

Père est mort. Il a été exécuté. C'était une décision sans appel, sans espoir de révocation. Une injustice totale, un sacrifice, un exemple fait pour montrer aux gens de quoi les Dudley sont capables. Nous n'avons pas revu Mère depuis des mois, et elle me manque, tout autant que toi, tu me manques. Jane n'arrête pas de la réclamer et le pire est surtout la nuit, quand elle cauchemarde. Mais grand-mère est là, heureusement. Elle poursuit notre éducation, tient à ce que nous soyons instruits et bien élevés: comme si père et mère avaient été là. Et ce n'est pas plus mal pour nous d'avoir quelqu'un sur qui compter, un adulte qui puisse nous rassurer et nous aimer. Aujourd'hui, nous avons perdu un membre de notre famille, l'un des plus importants: mais bientôt, il sera remplacé par un autre. Oui, mère est à nouveau enceinte. Du moins, elle n'était encore aux dernières nouvelles et j'espère qu'elle va bien. Qu'ils vont tous bien. Et si nous devons souffrir de la mort, il faut également savoir célébrer la vie, peut importe quand elle se manifeste. Mais j'ai tout de même le sentiment que tôt au tard, nous nous retrouverons. Je garde la foi malgré la peur qui me serre le coeur. Et tu sais, je continue d'écrire: j'ai même l'impression que je m'améliore. J'arrive maintenant à mieux comprendre ce que je ressent, ce que j'écris et parvient enfin à terminer les poèmes que je commence! Qui sait, peut-être ferais-je de l'écriture ma vocation, une fois que tout ceci sera terminé.

Ce n'est plus qu'une question de temps maintenant, Anne.

Dans l'attente de te retrouver et de former à nouveau une famille.
Endeuillée, mais heureuse d'être à nouveau soeur,
Je t'envoie toute mon affection et mon courage.

Margaret.

Margaret souffle, soupire. Le vide dans son coeur se creuse encore plus, mais elle n'arrive plus à verser une larme. Elle est trop en colère, trop frustrée. Trop rongée par la haine qui l'anime et qui fait bouillir son sang. Ses frères et soeurs sont peinés et la maison entière est endeuillée: pourtant Margaret voit plus loin que la mort de son père. Elle dépasse ça, ne pense qu'à une chose. La vengeance. Maintenant c'est son frère aîné qui est censé être le chef de famille, mais en l'absence de Anne, Margaret est, avec son frère Henry, l'une des plus âgée de la fratrie. Elle se doit de garder tête haute et de prendre soin de Jane. Alors elle se persuade que tout va bien aller malgré le fait que la mort ait frappé leur famille. Que bientôt, tout ce qu'ils ont perdu leur sera restitué, afin de rassurer les plus jeunes. Son frère, plus pessimiste qu'elle, s'entête à lui dire qu'elle est dans le déni, que leurs famille n'en est plus une et que nous ne vivrons plus longtemps: que si ils ont pu assassiner leur père, ils pourront en faire tout autant pour le reste des Seymour. Margaret, elle, ne voit pas les choses de cette manière. Parce que sa mère est encore en vie, elle: emprisonnée certes, mais en vie. Et c'est sans doute bien pire de la garder enfermée que de la tuer, mais ça, seuls ceux qui lui sont proches le savent. Margaret admire sa mère et l'observe, depuis toujours. Elle la connait et c'est l'une des femmes les plus fortes au monde. Si quelqu'un peut s'en sortir dans des heures aussi sombres, c'est bien elle. Voilà pourquoi Margaret garde la foi, également: Parce qu'elle sait qu'un jour sa mère reviendra et que son courroux sera à craindre.

- 1552 -

Chère Anne,

Et voilà, nous sommes à nouveau soeurs! Il y a deux jours, on nous a emmené deux petites filles: des jumelles. Mère n'a malheureusement pas pu quitter la Tour, mais les enfants oui, et elles ont été placée en sécurité avec nous. En même temps, nous avons eu des nouvelles et apparemment elle va bien, même si elle est très fatiguée. Elle est en vie et bien portante, c'est ce qui compte. Tu verrais Mary et Elizabeth! Elles sont si petites! Et leur peau est toute rose est fripée, c'est assez drôle: par contre, les pleurs ne m'avaient absolument pas manqués et le fait de retrouver tout ça me rappelle la maison. Ça me rappelle notre enfance, nos autres frères et soeurs. Comme cette époque me manque! Mais tu sais ce qu'on dit? Que les enfants sont synonyme d'espoirs. Peut-être notre temps va-t-il venir, bientôt.

Comme toujours, tu me manques.
J'ai hâte que tu rencontres Mary et Elizabeth!

Avec tout mon amour,
Margaret.

Alors qu'elle range sa lettre avec les autres, dans sa boîte qui va bientôt être pleine à craquer, Margaret sourit légèrement. Le premier depuis les mois. D'ici, elle entend les filles en train de gazouiller. Elles ne savent encore rien de la vie, ni qu'elles ont été propulsées dans un monde où il est difficile de vivre et d'évoluer. Margaret espère que ses soeurs vivront, qu'elles grandiront et qu'elles auront la chance de voir l'honneur de leur famille leur être restitué: sinon quelle mauvaise manière de démarrer dans la vie. La jeune fille soupire et passe une main sur son visage, dans ses cheveux qui lui arrivent maintenant au bas du dos. Avec le temps, sa foi n'a fait que se renforcer malgré les jours qui s'écoulaient et qui n'apportaient aucune bonnes nouvelles. Ce n'est pas le moment pour elle de perdre espoir. Pas alors qu'il y a deux vies toutes neuves en jeu.

Et Margaret a eu raison d'espérer, de prier, d'avoir la foi et confiance en l'avenir. Elle eut raison de croire que le vent tourne et que tôt ou tard, les choses redeviendraient comme avant: ou presque. Parce qu'un an plus tard, en 1553, sa mère fut libérée et libre de revenir auprès de sa famille. Margaret se souvient encore de l'émotion qu'elle a ressenti, de son coeur qui semblait être prêt à exploser et des larmes de joie qu'elle a versé. Passer deux ans sans elle a été dur, solitaire et elle n'ose imaginer ce que celle-ci a vécu, prisonnière dans la Tour. Mais sa mère est restée inchangée, elle ne lui a pas paru moins déterminée et forte: au contraire. Tout comme Margaret, elle semblait ragaillardie, vengeresse et prête à tout. Sa colère avant enflé, attendait au fond d'elle et ne demandait qu'à sortir. Margaret se demande d'ailleurs encore souvent qu'elle sera la vengeance de sa génitrice: parce qu'il ne faut pas la sous estimer, ni elle, ni le reste du clan Seymour. Ils ont été mis à terre mais ne pourront que mieux se relever et un jour, frapper à leur tour.

Aujourd'hui, Margaret est presque une adulte. Elle continue à écrire, comme elle se l'était promis pendant ses années d'exil social et a déjà composé pas mal d'ouvrages, de poèmes et d'histoires. Son imagination déborde d'idées, de sentiments et de passion. Elle a retrouvé sa soeur, celle qui lui a tant manqué: Anne. Elles et Jane partagent cet amour de l'écriture et en font leur profession. C'est avec délectation et plaisir malsain que Margaret a vu, parallèlement au retour d'Anne, l'emprisonnement de la famille Dudley. Leur chute. C'était à leur tour, et ça faisait un bien fou. Mais l'histoire est loin d'être terminée, même maintenant que Mary Tudor est au pouvoir. Surtout maintenant que Mary est au pouvoir. Celle-ci voue une haine pour les protestants qui dépasse l'entendement et Margaret craint cette femme aussi forte qu'imprévisible: et bien qu'elle soit soulagée de la savoir proche de sa mère, la jeune Seymour émet tout de même quelques réserves. Alors pour l'instant, Margaret se contente d'observer, de faire partie de la vie de la cour et elle attend. C'est ce qu'il y a de mieux à faire et puis, sa plume et son encrier ne sont jamais loin, juste au cas où...

Félicitation!

Ta fiche est vraiment superbe ma petite Margaret J'ai aimé ce que tu as fais du personnage, tu as bien repris les enjeux de la famille Seymour et également bien retranscris leur histoire Je te valide et je te réclame aussi un RP

Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à jouer avec nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien et de rp [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum.

Par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], tu peux aussi faire une demande de rang et d'habitations, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle surtout à l'époque

Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]!

Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et voilà le flood de ton groupe : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à Londres peut parfaitement commencer