Mary-Jane Mortimer

« Once more we sail with a northerly gale through the ice and wind and rain. » TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM ♦ Mary-Jane Mortimer AGE ♦ 25 ans DATE DE NAISSANCE ♦ 8 août 1529 ORIGINE ♦ Anglaise SITUATION FAMILIALE ♦ Célibataire, vit à bord du navire de son père en tant que second. MÉTIER ♦ Commerçante de couverture, en vérité pirate. GROUPE ♦ Le peuple CRÉDITS ♦ Écrire ici. LE JOUEUR PSEUDO ♦ Petit filou tube AGE ♦ 25 OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦ partenariat TON AVATAR ♦ Clara Paget VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦ Fictif

▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦ Tout ce qui est réel pour Mary-Jane est ce qu'en tant que personne libre elle choisi de croire ou non. Elle n'a jamais été faite pour les codes tracés et dictés par une société qui n'est en rien sans défauts et tristement corrompue. Si la religion a souvent montré des failles, de son avis, ce n'est pas un pur hasard. Mary-Jane déteste qu'on lui indique une voie à suivre sans lui demander son propre avis, sans lui donner l'opportunité de réfléchir d'elle même à ce que croit son coeur ou non. Si Mary-Jane s'est longtemps présentée sur les bancs de l'église c'était par pure obligation mais en réalité, elle ne faisait qu'acte de présence, répétant par automatisme chaque prière sans y croire. Une fois dehors, elle prenait le temps d'observer le monde, d'appréhender la nature sous toutes ses formes. La forêt au départ, avait été sa véritable église, là où elle pouvait pressentir chaque force; le vent, la terre, la pluie, le soleil, l'orage, puis enfin la mer. Sa rencontre avec cet élément fut surement aussi émouvant que de rencontrer un prophète. Les vagues déferlantes déchainées furent un véritable déclic pour elle. Elle croit en ces dieux, ces esprits qui façonnent le monde et qui vous font sentir infime et ridicule face à l'immensité du monde, une religion considérée comme païenne qu'elle garde sous silence puisque sa foi ne regarde qu'elle.

Quand aux changements de religions, ils ne sont qu'un argument en plus pour elle de ne pas vouloir suivre leur doctrine. Les personnes indécises ne l'intéressent pas, la foi ne doit pas être changée selon les humeurs, selon les couleurs de bannières, elle doit être personnelle.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA REINE D'ANGLETERRE? ♦
Le pouvoir central d'un peuple n'a ni nom ni visage ni trône. Mary-Jane s'est toujours gardé de révéler le fond de ses pensées, vivant longtemps dans l'ignorance même du nom du monarque. Elle ne s'est jamais sentie concernée et a toujours trouvé cela injuste et stupide qu'une personne décide pour tout un pays alors que celle-ci n'en a que moins de 10% de connaissance. Désormais qu'elle ne vit plus dans le moule de la société, elle ne prête allégence qu'à son père, son pays est le Blacklantern, là où tout le monde se connait et se respecte en tant qu'humain.

Mary-jane contribue désormais à soutirer l'argent de la couronne par de bons vieux actes de piraterie.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRESENCE DES ESPAGNOLS EN ANGLETERRE ET DU MARIAGE DE LA REINE ? ♦
Ah~ les Espagnols, parlons en d'eux aussi. Si au départ ces derniers avaient été leurs principales cibles, depuis l'arrivée de Mary Tudor à la couronne les choses sont bien différentes. La tête de son père a été mise à prix à cause d'elle, désormais Mary-Jane double ses assaults envers eux par pure provocation, qu'ils soient en Angleterre lui facilite donc la tâche. Ce nouveau chapitre dans l'histoire leur promet donc bien plus d'aventures, de richesses et de pillages puisqu'en plus des espagnols, les anglais vont aussi devenir cibles.

▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦
Vivre comme un pirate n'est pas vraiment se battre pour une cause, Mary-Jane ne pense pas devoir défendre ses principes; elle vit, elle est libre de ses agissements et ne rend de comptes qu'aux personnes qui en valent la peine. Les actes de piraterie en eux même; les vols, les abordages de navires marchands appartenant à la couronne peuvent eux, être considérés comme une bataille qu'ils livrent sans fin, un moyen de contester un régime qui ne leur convient pas dans une société où ils ne trouvent pas leur place. Mary-Jane y contribue également mais elle est bien plus égoïste. Pourtant il lui arrive d'aider des personnes en difficulté face à des soldats ou de défendre ceux dans le besoin, alors elle agit en conséquence. Dans le cas où elle croise un garde qui ne lui cherche pas des ennuis il ne se passera absolument rien.

A plus petite échelle, si on atteint à sa liberté - ce en quoi elle croit réellement - Mary-Jane se montre impitoyable et sanglante. Elle se bat jusqu'à tuer son adversaire sans la moindre hésitation. Personne ne doit se mettre en travers de son chemin.

A merry life and a short one.

Les plus belles histoires d’amour sont souvent les plus éphémères, elle commença cependant comme celles que l’on ne lit que dans les contes : Une jeune fille à la chevelure flamboyante, s’était éprise d’un homme sans foi ni loi croisé sur le port. A ce moment là le feu de ses yeux ne brûlait que pour cet homme dont le charisme dépassait bien plus celui de ces nobliaux. Fille de bonne famille, l’union était tout à fait impensable, néanmoins elle ne pouvait refreiner son désir pour lui lorsqu’il vint enfin lui parler et la séduire. Pour elle il n’y avait rien de plus amusant que ce piquant que cela ajoutait à leur relation d’être amoureuse d’un pirate tout en sachant qu’elle serait déshéritée si on l’attrapait. Ils s’étaient consommés, consumés, dans une passion des plus ardentes et avec la plus grande discrétion possible. Les meilleurs souvenirs de sa vie résideraient dans les rires qu’elle étouffait à chaque fois qu’il grimpait jusqu’à sa fenêtre, les regards langoureux glissés discrètement lorsqu’elle le croisait et jusqu’aux récits de sa vie qu’il lui racontait sur l’oreiller.

Cela dura quelques mois seulement, par l’absence de son amant parti au large lorsqu’elle se rendit compte qu’elle était enceinte. Plus rien n’avait d’importance à ce stade là, Lucie souhaita protéger son enfant, son honneur plus que tout. Puisqu’elle était d’une grande beauté, il n’avait pas été difficile pour elle de se trouver bon mari parmi ses prétendants. Le mariage annoncé, Lucie fit en sorte que tout coïncide afin que lorsqu’elle annonça sa grossesse, personne n’en soit surpris. Son époux et ami proche de longue date avait été mis au courant de sa situation et avait accepté le ventre arrondi de sa femme comme s’il s’agissait là de son œuvre dans un besoin de la protéger. Il jura à Lucie de l’élever comme s’il s’agissait de sa propre fille à condition qu’elle ne revoie jamais ce pirate. Un accord de mariage comme il en existait beaucoup, mais qui en couverture ne laissait rien soupçonner.

La naissance de Mary-Jane fut donc très attendue et bénie par le ciel. Un bouton de rose voyait le jour, adorable fillette née avec un couteau entre les dents. Lucie était à ce moment là loin de s’imaginer que Mary-Jane tiendrait plus de son père que d’elle. Déjà bambin elle était le genre capricieuse et exigeante. Enfant, Mary-Jane était un véritable garçon manqué et revenait de ses sorties jeux couverte de boue de la tête aux pieds. Elle se bagarrait souvent et n’était pas très appréciée des autres enfants de part son caractère légèrement hors normes et peu convenable pour une fillette. La couture, la musique, la cuisine, les bonnes manières tout cela ne l’intéressait pas. Mary-Jane aimait grimper aux arbres, courir après les lapins et jeter des projectiles sur les voisins.

Lucie révéla la vérité à sa fille lorsqu’elle fut en âge de comprendre, lui dévoilant l’identité de son père par les quelques brides de souvenirs qu’elle avait de ce capitaine pirate : Jack Mortimer. Un moment de choc pour Mary-Jane qui avait toujours cru que l’homme partageant la vie de sa mère était son vrai père. Il n’avait jamais été dans l’objectif de Lucie de mentir à sa fille toute sa vie, puisqu’elle finirait sans doute par se poser elle-même des questions au vu de sa manière d’être. Tout était alors devenu plus clair pour la jeune fille qui s’était demandé si elle n’avait pas été adoptée à cause de ce gros contraste qu’elle était en comparaison avec sa famille. Mary-Jane accepta la nouvelle après quelques jours où elle eu besoin de prendre du recul, mais très vite les images d’un homme domptant l’océan lui vinrent en tête. Elle qui avait toujours eu soif d’aventures, la réponse était juste là, à bourgeonner dans son esprit et se fixa très vite comme objectif d’aller un jour retrouver son père et vivre la grande aventure loin des dictats. Libérée de ce secret, Mary-Jane se montra bien plus confiante, elle frappait sans retenue les garçons qui se moquaient d’elle ou la provoquaient, n’ayant plus peur de s’attirer les foudres de quiconque ou même de déchirer ses jolies robes.

Mary-Jane avait toujours beaucoup fait parler d’elle mais elle dépassa souvent les bornes à partir de cette époque là. Lors d’une messe notamment, elle s’était levée et avait enjambée les fidèles en pleine prière pour aller se battre avec un garçon qui lui tirait la langue. Cela poussa ses parents à aller vivre ailleurs afin de se faire oublier et pour éviter d’être mal vu par l’église. Il n’avait jamais été question de recadrer Mary-Jane, l’amour de Lucie pour sa fille avait toujours été plus fort que les ragots. « Peux importe ce que tu fais je t’aimerais toujours Mary-Jane » C’est ce qu’elle lui répétait souvent, et arrivés à leur nouvelle demeure, la fillette découvrit un grand domaine, surplombé d’une forêt ; de l’espace pour qu’elle puisse se dépenser et extérioriser ce trop plein d’énergie. On l’autorisa même à porter des vêtements de garçon afin que ses sorties dehors soient plus sécurisées. Car Mary-Jane grimpait aux arbres, s’entrainait à se battre et ils s’étaient vite rendus compte que les robes l’entravaient et la mettait plus en danger qu’autre chose en limitant ses mouvements. Une nouvelle vie commençait ici, et plus elle grandissait plus elle prenait gout à ce semblant de liberté.

Un tragique incendie tua son père, plongeant les deux survivantes dans un chagrin loin d’être démesuré puisque leur famille était complètement fausse et bâtie sur des mensonges. Lucie emmena sa fille vivre dans une maisonnette coquette quelques kilomètres plus loin après avoir passé la période de deuil. Elles vivaient toutes les deux, Lucie se sentait alors plus libre d’encourager sa fille à faire ce qu’elle voulait. Elles vivaient en paix ici mais Mary-Jane continuait à rêver de cette vie sur les mers. Elle allait souvent galoper sur sa monture à travers les collines pour atteindre celle depuis laquelle on voyait l’étendue bleutée au loin lorsque le temps était assez dégagé. La mer, l’océan, elle entendait son appel en fermant les yeux, distillant les notes iodées confondues dans les bourrasques. Jamais cette envie d’aller au-delà de ces terres sans fin ne s’était tarie. Alors Lucie s’était attendue à ce jour où sa fille lui demanderait la permission pour aller rejoindre son père et malgré toute l’inquiétude qui l’accompagnait elle ne voyait pas d’autre solution que de laisser sa fille y aller à condition qu’elle revienne la voir dès qu’elle le pourrait. Une promesse liée l’une dans l’autre, Mary-Jane quitta le domicile pour partir à l’aventure.

Elle se rendit sur le port avec peu d’affaires si ce n’était ses sabres et autres vivres le temps qu’elle trouve la trace du Blacklantern. Sur le chemin, elle se coupa les cheveux courts afin de pouvoir se faire passer pour un homme lorsqu’elle atteindrait le port et ne pas s’attirer les regards. Mary-Jane erra ainsi quelques semaines, elle vola son pain et trainait les tavernes à la recherche de pirates. Un soir le nom le navire lui vint aux oreilles, Mary-Jane se présenta comme étant James, jeune orphelin fils de menuisier en quête d’aventures et cherchant un but à sa vie qui était prêt à s’engager sur un navire.
Bien sur la main d’œuvre n’a pas besoin d’être de bonne qualité, la meilleure école de piraterie se fait sur le pont. Mary-Jane s’était bien évidemment attendue à ce que ses débuts soient difficiles, on lui confia les tâches ingrates qu’elle faisait sans rechigner pour pouvoir s’adapter sans problème. Mary-Jane, ou plutôt James à ce moment là passait le plus clair de son temps à briquer le pont et à retendre les cordages quand le capitaine en donnait l’ordre. Ce capitaine qui était son père, elle l’observait discrètement, apprenait à le connaitre sans même lui parler. Il y avait tellement d’hommes à bord du navire qu’il ne pouvait pas prendre le temps de discuter avec tout le monde, James était de ces matelots dont il ne savait certainement pas le nom.

Lorsqu’arrivait les moments où ils allaient aborder les navires pour les piller, il se fit bien vite remarquer pour son aisance aux armes, son agilité mais aussi parce qu’il en avait pas mal dans le crâne. On notera alors sans doute ce jour là où l’ennemi prenait l’avantage bien que la bataille se livrait sur leur pont et que par leurs canons, leur bâtiment était immobilisé. James avait alors eu l’idée de grimper au mat, profiter du vent de bâbord pour déployer entièrement la grand’ voile pour que le vent s’y engouffre et faire pencher la frégate de sorte que majorité des ennemis se retrouvent à l’eau, surpris. James avait cette qualité d’être discret, de part son petit gabarit mais parce qu’il savait se faire oublier lorsqu’il le fallait. Suite à cela, félicité de bien de ses compagnons, James prit courage pour aller avouer son lourd secret au capitaine. Mary-Jane s’était révélée dans l’intimité, d’abord parce qu’elle souhaitait avoir la réaction de son père avant de pouvoir le dire aux autres. La rencontre officielle fut étrange et loin d’être le genre de retrouvailles débordantes d’aveux et de gestes d’affection, ce fut très froid et très désagréable aux premiers abords. Mary-Jane n’en avait pas attendu moins, déjà heureuse qu’il ne la fasse pas tuer et qu’il l’accepte comme sa fille tout en pouvant travailler sur le navire et c’était tout ce qui lui importait pour le moment. Une belle récompense pour ses efforts, Mary-Jane sorti de la cabine du capitaine le cœur bien plus léger et se débarrassa de son identité d’homme pour devenir enfin ce qu’elle avait toujours voulu être.

En raison de nombreuses superstitions, Mary-Jane eu très vite moins la cote que James, certains ne se gênèrent donc pas pour lui lancer de désagréables remarques. Ils semblaient toutefois oublier qu’il s’agissait de la même personne et les remballait aussi sec, usant parfois de violence. Un couteau sous la gorge très vite, ça aide à faire la part des choses et tous ceux qu’elle menaça se réduisirent au silence. Il lui fallut user des coudes pour s’imposer sous cette nouvelle identité, Mary-Jane persistait dans une envie de rester à bord mais aussi pour faire ses preuves auprès de son père. La nouvelle se répandit d’ailleurs assez vite sur le navire et finalement on s’était fait à l‘idée que Mary-Jane, la fille de Jack Mortimer était à bord du navire et bossait comme tous les autres matelots. Elle gravit les échelons à force de persévérance et parce qu’elle fournissait un travail efficace, un moussaillon modèle et qui n’avait pas peur de mettre les mains dans la crasse. On avait même fini par apprécier ce petit côté décalé, Mary-Jane avait vu sa seconde intégration finalement réussie jusqu’à ce qu’elle puisse accéder au poste de second.

C’était un rêve devenu réalité, après ce moment là elle goutait enfin à la sensation d’être libre. Mary-Jane en tant que quartier-maitre épaulait son père et lui suivait quoi qu’il décide. Il leur arrivait de ne pas être d’accord sur certaines choses, sans doute le conflit intergénérationnel qui voulait que sa fille ait une vision plus moderne et plus culottée. Quoi qu’il en soit elle avait beau rouspéter, de toute façon ça ne changeait rien, elle se pliait finalement aux ordres du capitaine et jusque là les choses ont toujours bien marché.

Les années passèrent, toujours à l’affut de couleurs espagnoles à l’horizon et de cargos attendant d’être éventré, Mary-Jane et Jack virent un brin de complicité se faire sans que cela ne soit très familial. La vérité était que cela était beaucoup trop gênant pour l'admettre mais certaines mimiques, certaines manières de penser mériteraient souvent un "ça c'est la digne fille de son père". Elle ne regrettait pas ses choix et ne l’avait jamais trahi, il était son capitaine, son mentor, il l'avait aidée à s'améliorer et lui avait enseigné la navigation afin qu'elle puisse un jour reprendre le flambeau. Mais le temps où ils coulaient les espagnols sans crainte vint à s'essoufler. Les choses changèrent pour leurs affaires lorsqu’arrive le moment où Marie Tudor arriva à la succession de l’Angleterre. Les accords faits qui les avaient mis au rang de corsaires pour la couronne fut annulé et la tête de Jack mise à prix. Cela changea bien des choses pour Mary-Jane qui désormais se voyait comme pirate à part entière, prise de colère, Mary-Jane ne fait désormais plus la différence entre les bannière, un cargo à vider est un cargo a vider.

"Yo Ho, haul together, hoist the colours high. Heave Ho, Theives and Beggars, never Shall We Die."

Félicitation!

Coucou Ta fiche est superbe Mary-Jane, tu as bien compris le personnage, ses enjeux et je sens que tu vas jouer MJ à merveille Je n'ai pas grand chose à dire, à part n'oublie pas de mettre le crédit de ton avatar dans la fiche

Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à jouer avec nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien et de rp [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum.

Par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], tu peux aussi faire une demande de rang et d'habitations, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle surtout à l'époque

Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]!

Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et voilà le sujet de ton groupe [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].

Maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à Londres peut parfaitement commencer