Ton Titre
Laurent est né le 9 janvier 1528 dans une famille paysanne tout ce qu'il y a de plus normal, mais cela il n'en sait rien. En effet, sa naissance s'est passé avec beaucoup de difficulté et arrivé à près de deux ans il ne montrait toujours aucun signe qu'il marcherait un jour et parlait très peu. Ses parents ont donc fais le choix très courant de profiter d'un pèlerinage à Westminster pour le déposer à l'ombre de la nuit à l'abbaye éponyme. Naturellement le chapitre des chanoines le plus prestigieux d'Angleterre était très peu disposés à s'occuper d'un enfant, et le petit garçon fut envoyer à l'Abbaye de Glastonbury où comme le veut la tradition les moines l'élevèrent dans la religion. Il fut décidé que comme il fut déposé un 2 janvier, on lui donnerait le nom du saint du jour, Grégoire, quand à son prénom, l'abbé Whiting découvrit qu'il répondait au prénom de Laurent, sans savoir si c'était là son vrai prénom où si la consonance parlait simplement au petit garçon. Toujours est-il qu'il lui fallait bien un prénom.
Quelques semaine après son arrivé Laurent commença à dire ses premiers mots, à la grande joie des frères qui s'attachait à l'enfant, en particulier les frères lais, qui chargeaient des problèmes séculier, s'occupaient matériellement de l'enfant. Il apparu ensuite de façon évidente que l'enfant avait toute ses capacités intellectuelles et avait simplement eu un retard de langage.
L'enfant ne marcha toujours pas cependant ce qui inquiétait les frères, c'est seulement vers deux ans et demi qu'il fit ses premiers pas, puis à trois ans il marcha enfin, mais avec une boiterie d'épaule et une tendance à racler sa jambe gauche. Pour le deuxième soucis, les frères lais confectionnèrent un attèle, bien qu'elle entraînait des douleurs pour l'enfant, ce qui arrachait le coeur des moines, il fit des progrès jusqu'à l'âge de 6 ans, où les frères, voyant que la boiterie ne s'améliorèrent plus décidèrent de ne plus s'acharner et l'attèle fut retirée. Le jeune homme boitait donc encore légèrement, ce qui lui a interdit, et lui interdira toujours de courir.
Rien à dire sur la petite enfance de Laurent qui ne sorte des classiques, si ce n'est qu'il s'est très vite révélé très vif et qu'il en garde un bon souvenir. Il faut dire que même si l'enfance dans un monastère peut paraître pénible d'un premier abord, elle a sauvegardé l'enfant de tous les maux les plus courants du dehors comme la famine où les épidémies, Glastonbury étant un monastère très riche. Il apprit à lire et à écrire, l'anglais, le latin mais aussi le français, les moines projetant de l'envoyé à la Sorbonne en lui faisant bénéficié d'une bourse ecclésiastique puisqu'il avait impressionné dans le bon sens John Clerk, l'évêque de Bath qui voyait en lui un futur théologien mais surtout un dialecticien, ayant remarqué que l'enfant s'exprimait avec beaucoup de prestance et de pédagogie. Le procureur de la nation Allemande (qui contient la tribu des insulaires) de l'université de Paris avait donné son accord de principe pour lui réservé une place, ainsi il pourrait étudier à la Sorbonne.
Mais tout ne se passât pas comme prévu en 1539, à 11 ans, les frères décidèrent de faire quitter le monastère à Laurent, le roi Henry VIII venait de saisir tout les bien du monastères et pour sa sécurité il fut envoyé à Paris, chez maître Léonard de Sens (fictif), maître en dialectique qui devait s'en occupé jusqu'à ce qu'il soit en âge de devenir étudiant. C'est par une lettre à Paris qu'il appris la mort de l'abbé Richard Whiting, pendu pour avoir résisté au roi. Il sombra dans un profonde morosité pendant quelques mois, ayant perdu ce qui se rapprochait le plus d'une famille pour lui.
Léonard voyant le jeune homme s’apitoyer décida que le désoeuvrement n'était pas une bonne idée dans sa situation et décida de l'envoyé suivre les cours des maîtres, bien qu'il n'avait que 12 ans (nous sommes en 1540). Le jeune homme devint très vite le chouchou des étudiant, une sorte de mascotte, bien que Léonard n'était jamais loin pour surveillait que les adolescent ne l'entraîne pas dans leur débauche nocturne (et oui déjà à l'époque XD). Il fréquenta donc des gens de tous les horizons, ainsi à 15 ans il avait pour habitude de voir des anglais, des écossais, des irlandais, des allemands. Paradoxalement, les cours étant en latin et les nations très refermés sur elle-même, il ne rencontra que très peu de français et parlais bien mieux la langue de Luther que celle de Guillaume de Poitiers.
A 15 ans il devint officiellement étudiant, il passa sa licence extrêmement vite, en un an, au vu de tout l'avance qu'il avait et devint maître es art* (particulièrement en dialectique). Il aurait dû continuer sur un doctorat de théologie comme l'espérait ses maîtres, afin d'en faire une arme intellectuel contre les hérétiques mais c'était sans conter sa rencontre avec un jésuite du nom de José Sagnorole, qui sut le séduire, notamment par l'esprit de la contre-réforme qui commençais tout doucement à se mettre en place en ce temps là.
Laurent était donc face à un dilemme, en vérité il ne s'était jamais posé la question de ce qu'il allait devenir, un clerc bien sûr, mais de là à prendre les ordres, faire voeu de célibat, de pauvreté, c'est tout un ta de questions qu'il se posait et auquel il ne savait pas quoi répondre, qui plus est qu'il n'avait personne pour le conseiller à l'époque. En fait deux choix se posaient à lui, José lui proposait de devenir un théologien, d'abord diacre, puis prêtre, puis avec ses talents, évêque sûrement et pourquoi pas cardinal, Pape, un prince de l'Eglise. L'offre était alléchante mais il n'était pas sûr que ce soit ce qu'il voulait, il avait envie de découvrir le monde, lui qui avait toujours vécu dans une abbaye, un collège, jamais sortit de Paris depuis 7 ans. De l'autre côté José lui proposait de consacrer sa vie au autre, de rentrer dans l'armée du Christ pour soulager les nécessité et donner une direction à ceux qui en avait besoin, ramener les âmes égarés dans le giron de l'Eglise catholique. Non il ne savait pas quoi faire décidément.
Puis la solution s'imposa à lui comme la providence s'impose parfois par de mystérieux détails de la vie. Il relisait pour la énième fois ses auteurs classiques, quand il tomba sur une épitre du poète romain martial :
Voici, mon cher Martial, les éléments de la vie heureuse
une fortune acquise sans peine et par héritage
un champ qui rapporte
un foyer qui toujours brûle
point de procès
peu d'affaires
la tranquillité de l'esprit
un corps suffisamment vigoureux
une bonne santé
une simplicité bien entendue
des amis qui soient nos égaux
des relations agréables
une table sans faste
des nuits sans ivresse et libres d'inquiétude
un lit où il y ait place pour la joie et pour la pudeur
un sommeil qui abrège les ténèbres
se contenter d'être ce que l'on est, et ne rien désirer de plus
attendre son dernier jour sans crainte comme sans impatience.
Toute ces choses là, aucun Pape ne les avaient jamais eu. Ainsi fut fait son choix, en 1545, Laurent devint novice dans la compagnie de Jésus. Il ne savait pas encore quelle aventure s'ouvrait à lui, quel homme il allait rencontrer et à quel point cela allais le changer.
(je triche avec l'histoire ici, puisque les jésuites n'arrivent en Pologne que 15 ans plus tard mais zut
)
La division qu'avait intégré Laurent partit très rapidement pour la Pologne où l'hérésie protestante gagnait du terrain à grand pas, notamment parmi la noblesse. Il découvrit énormément de chose pendant le voyage, il apprit ce que c'était que la privation, devoir continuer à marcher quand une pluie torrentielle s'abat en route, rester sale pendant des jours, être logé dans des abris parfois rudimentaire. Il apprit aussi à connaître les petites gens et à les apprécier, il apprit à connaître leur foi, beaucoup plus terre à terre bien que les paysans et artisans comme il le constatait comprenaient bien mieux ce qu'il se passait qu'on ne pouvait le croire. Quand ils étaient en désaccord avec lui ils savaient lui citer des passages de la Bible qui leur semblait pertinent. Ce détail le choqua, il demanda un jour à un paysan saxon comment il connaissait tous ces termes. Il lui répondait "je ne sais peut-être pas lire mon père, mais j'écoute quand le curé parle". Ainsi il réalisa que 95% de la chrétienté était non pas ignare mais ne pouvait connaître ce que l'on voulait bien leur dire. A partir de cette étape de leur voyage il se fit un devoir de comprendre les méthodes de catéchisme et d'être attentif au besoins des communs qu'il croisait. Il se rendit vite compte que tous savait faire la part des choses et comprenait bien les contradictions qu'il soulevait entre le protestantisme et le catholicisme, mais cela dépendais de l'endroit. Parfois ils tombaient sur un village avec un curé très compétant et passaient leur chemin très rapidement. Une fois ils sont tombés sur un village de protestants où ils se rendirent très vite compte que l'ancien curé ne savait même pas expliquer ce que le libre-arbitre impliquait. Comment ces gens pouvaient-ils faire un choix en leur âme et conscience ?
Les Jésuites continuèrent donc leur chemin et arrivèrent en Pologne sur la fin de l'année 45, dans le duché de Prusse (les TEUTONS !!!!!!! Pardon). Ils s'installèrent à une vingtaines de kilomètres de Konigsberg et commencèrent à prêcher parmi la population. Si Laurent se révéla un missionnaire somme toute convenable c'est parmi les hommes d'Eglise qu'il faisait le plus de convertis car il savait démonter les argumentaires des Luthériens. Le jeune homme fut à l'époque très surpris de l'accueil qui fut d'ailleurs fait aux religieux. Le roi Sigismond de Pologne qui les avait fait demander était catholique, pourtant le duc de Prusse était protestant et la réforme était bien engagé dans cette région. Avec le temps il apprit que la situation était analogue un peu partout et que personne en Pologne n'y voyait pas une occasion de provoquer un conflit, peut-être parce que le royaume était déjà assez exsangue de multiples conflit sans en ajouter un de plus.
Laurent commençait à se tailler une certaine réputation en Prusse. A la moitié de l'année 1546 un cavalier du duc vint lui livrer une lettre. C'était une lettre d'Andreas Osiander qui venait l'inviter à un débat théologique sur la place central de Konigsberg en présence du duc de Prusse, de toute la noblesse locale et bien plus encore. Il demanda au messager le sujet du débat. Il lui fut répondu qu'Osiander était sûr de lui et qu'il pourrait choisir le sujet qui lui plairait. Laurent était quelques jours plus tard à Konigsberg et ouvrit le débat sur son sujet de prédilection qu'était la réfutation de la prédestination. Laurent semblait bien partit, pourtant Andreas l'envoya dans une impasse au moment où il lui fit remarquer que nier la prédestination c'est nier que l'homme soit un être de bien car il n'y a pas de justification possible (désolé pour les termes techniques mais en fait c'est absolument pas un problème pour la suite). L'impasse n'était pas que rhétorique, à ce moment Laurent ne savait plus quoi répondre parce que lui-même commençait à douter de ce qu'il enseignait. La nouvelle se rependant vite dans la campagne beaucoup cessèrent d'écouter ce que les jésuites prêchait et il fut reprocher à Laurent non pas d'avoir échouer, mais de n'avoir pas répondu là où sa réponse aurait dû être clair. Son supérieur avait bien compris qu'Osiander l'avait fait douter.
Finalement au milieu de l'année 1546 les jésuites décidèrent de repartir, mais juste avant leur départ, Laurent reçu une invitation du duc de Prusse a venir le voir à la cour. Son supérieur n'était pas favorable à le laisser voir un noble protestant, mais celui-ci aurait pu s'en plaindre au roi de Prusse, il laissa donc les choses se faire.
Un homme attendait Laurent dans la salle du trône de Konigsberg, on aurait dit un géant juché sur son trône, vêtu de noir et de blanc, large d'épaule, un visage carré mais doux avec des cheveux court et une barbe noir d'une propreté impeccable. Quelque chose de digne se dégageait du duc de Prusse. Laurent le considéra toutefois avec suspicion tout en s'inclinant :
- Votre grâce, vous m'avez fait appeler.
- Oui, jeune homme, je t'ai appeler. Sais-tu qui je suis.
- Et bien vous êtes le duc de Prusse et Magrave de Brandebourg.
- Effectivement mais j'ai peut-être mal formulé ma question. Sais-tu qui j’étais ?
Laurent releva doucement la tête, comme si il comprenait où le duc voulait en venir.
- Vous êtes Albert de Brandebourg, dernier maître de l'ordre des chevalier de sainte-Marie, les chevaliers teutoniques.
- Oui, et sais-tu pourquoi il n'y a plus d'ordre teutonique aujourd'hui ?
- Parce que Luther vous a dit que le monachisme était une mauvaise chose.
- Parce que Luther me l'a dit ? Il le regarda en levant un sourcil. Et toi tu es jésuite car le Pape te l'a demandais ?
- Non bien sûr, c'est un choix que vous avez fait parce que vous pensez que ce que dit Luther et juste mais il est...
- Je pense que ce que dit Luther est juste ? J'ai entendu tes sermons jeune homme, tu es intelligent et bien intentionné mais ton erreur est de croire qu'il suffit de dire la vérité pour que les gens se range de ton côté.
- En quoi est-ce une erreur que de dire la vérité ?
- Ce n'est pas une erreur, mais vois-tu, moi aussi je pense dire la vérité, Andreas aussi...... Luther aussi, le Pape aussi, enfin peut-être. Devant un homme de mauvaise foi il suffit de dire la vérité et le monde verra qu'il ne fait que s'empêtrer dans un mensonge, mais qu'en est-il quand deux avis différent s'opposent.
Laurent haussa le ton perdant son sang-froid
- Luther n'a pas d'avis, il ne prêche que la désunion...
- Vraiment. Le duc restait calme mais couvrait Laurent sans difficulté, ce qui l’impressionnait beaucoup. Alors dit moi en quoi ais-je fait une erreur en sécularisant l'ordre ?
- Vous avez rompu les voeux que vous avez fait devant Dieu, il n'y a pas de pire parjure.
- C'est vrai, mais si nous avons fais un voeu qui n'est pas souhaitable par Dieu ?
- Les voeux monastiques sont souhaitable, ils nous rapprochent de Dieu par la continence, la concentration, la prière.
- Et tout cela ne peux tu pas le faire sans voeux ?
- Si mais le voeux est un engagement qui...
- Nous valorise aux yeux de Dieu, nous amenant au-dessus de la masse des autres chrétiens méprisable ?
- Il ne sont pas méprisable, le mariage est un sacrement lui aussi.
- Un sacrement inférieur. Ne le nier pas, c'est ce que dit l'Eglise catholique ?
- Il n'est pas inférieur, mais il est évident qu'on le prend par défaut, parce qu'on ne peut se défaire du péché de chair, on reste donc dans l'état de péché.
- Alors pourquoi ne pas simplement vous retirer en ermite ?
- Un ermite n'a pas fait de voeu.
- Et alors ?
- Il n'a pas de contrainte, il peut revenir au siècle quand il le veux.
......
et la discutions continua longuement mais le fait est qu'en fin de compte, Laurent fut convaincu de la nécessité d'en finir avec les voeux, qu'il soit monacal ou pas. Le duc l'invita à rester à sa cour pendant un temps, il voulait protéger le jeune homme, estimant que son potentiel avait était caché par l'Eglise qui ne lui avait laissé d'autre voie que le sacerdoce. Il apprit à sa grande surprise les bases du métier des armes, constatant qu'en vérité sa boiterie ne le diminuait pas tant que ça, il apprit ensuite les coutumes locales et le duc lui confia l'argent suffisante pour acheter une prévôtés dans le duché. Laurent se faisait à l'idée de rester en Prusse, il était heureux, gagnant honnêtement sa vie à résoudre les problèmes judiciaire de sa circonscription, néanmoins le destin en jugea autrement.
C'est pendant l'année 1549 alors que Laurent avait 21 ans qu'un noble anglais vint en visite à Konigsberg et lui parla des révoltes qui avait secoué le pays l'année précédente. Bien qu'un mariage était en cour de négociation, le jeune homme en fut catastrophé et prit la lourde décision de repartir en Angleterre, espérant pouvoir faire quelque chose pour ramener la paix dans son pays. le duc Albert le compris très bien et il revendit sa charge de prévôt, partant ainsi avec un pécule respectable en Angleterre.
Laurent a ramené en Angleterre son épée, qu'il prend toujours soin de cacher, un gros pécules et quelques manuscrits byzantins qu'il a acheté afin de les traduire sur le chemin, espérant qu'un imprimeur londonien pourrait être intéressé, les manuscrits étant pour la plupart inédits dans les îles, voir en Occident. Il a privilégié des textes de poètes et d'historiens romains, il a aussi prit avec lui des traités de Jean Damascène mais il pense garder ceux-ci pour lui tant que la situation n'aura pas évolué.
Ces six dernières années en Angleterre sont assez flottantes. Il s'installa à Londres, dans des auberges sans jamais se fixer, cherchant à gagner sa vie tout en enseignant au gens ce qu'il avait appris, notamment l'entende cordiale qu'il avait constaté en Pologne entre toute les confession. Appelant qui veux bien l'entendre à la concorde autour du roi puis de la reine. Il multiplie les petits travaux, en tant qu'écrivain publique, où rendant des services par-ci par là, mais il sait qu'il a besoin d'un mécène si il veut faire résonner sa voix plus que tout. Il aimerait reprendre une charge de justicier pour lutter contre les abus commis dans les deux camps. Il a toujours ses traductions sous la mains qu'il pourrait faire éditer.
Récemment il a tenté le tout pour le tout en faisant imprimé et répandant dans tout Londres un avis aux "soi-disant défenseurs de la foi, tyrannicides et autres pseudo martyrs troublant la paix du royaume". Il espère que cette lettre lui permettra de trouver une personne influente prête à supporter ses idées. Il y clame que :
- le martyr n'est martyr que quand il est subit et chercher le martyr est un suicide est non pas un acte de foi, ainsi catholique et protestant qui provoquent le camp opposés d'un côté comme de l'autre ne tireront aucun bénéfice de leurs méfaits et exposent leur âmes à de grands châtiment après la mort.
- En s'appuyant sur des précédant historique notamment byzantins et romains, que si la reine Mary est arrivé au trône c'est que Dieu l'a voulu, car c'est lui qui préside à la providence, ainsi tous ceux qui lui jettent la pierre devrait premièrement s'examiner car Dieu punit les hommes de leurs péchaient par de telle voie, et les protestants d'Angleterre n'ont pas était exempt de péché ces derniers temps.
- Il y parle de son expérience en Pologne, montrant ainsi que catholique et protestant peuvent vivre en bonne entente et que le salut est une affaire personnel.
- Il rappelle que si le chrétien à le devoir de montrer la vérité du message évangélique, cela ne peut se faire par aucun moyen violent, au risque de mettre son âme en danger.
Il reste aujourd'hui a Laurent un bon tiers de son pécule de départ.
*pour info, les arts libéraux : grammaire, dialectique, rhétorique, arithmétique, géométrie, astronomie, musique