Sujet: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 13:36
Thomas Smith
« art, like religion, must always be free. »
TON PERSONNAGE
PRÉNOM & NOM ♦ il se fait appeler Thomas Smith - c'est banal, c'est commun et ça cache sa véritable identité. Son nom est en réalité Aaron Goldstein. AGE ♦ 22 hivers DATE DE NAISSANCE ♦ 10 février 1534. ORIGINE ♦ londonienne, mais sa religion fait qu'il n'est pas considéré pour autant comme un anglais. SITUATION FAMILIALE ♦ orphelin adopté, célibataire MÉTIER ♦ apprenti vitrailliste. GROUPE ♦ le peuple CRÉDITS ♦ Arté
LE JOUEUR
PSEUDO ♦ Emmy AGE ♦ 20 ans OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦ Écrire ici. TON AVATAR ♦ Tom Hughes VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦ fictif
Audience devant la Reine.
▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦ Thomas se moque bien des changements religieux du pays, le cette guerre absurde entre Catholiques et Protestants. Il modèlera son discours selon le sens du vent sans problème : le jeune homme s'implique peu dans les grandes discussions théologiques et se concentre essentiellement sur son art... Et sa survie. N'y voyez pas là le signe d'une quelconque manipulation ou d'un rejet du divin, il est très croyant, très pieux, mais forcément très discret. Né, baptisé et élevé selon les principes du Judaïsme, celui qui jadis s'appelait Aaron a choisi de courber l'échine et de murmurer, entre un Pater et deux Ave, ses prières en Hébreu. Quand il est certain que nul ne peut l'entendre.
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA REINE D'ANGLETERRE? ♦ (répondez en 5 lignes minimum)
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRESENCE DES ESPAGNOLS EN ANGLETERRE ET DU MARIAGE DE LA REINE ? ♦ Le jeune homme, nous l'avons dit, se mêle peu de politique, à la fois animé d'un manque d'intérêt immense pour la chose, mais aussi pour des questions de prudence. Il n'a jamais prononcé une parole en faveur ou en défaveur du mariage de la Souveraine. Pourtant, il n'en pense pas moins, et le sujet de l'Espagne est bien le seul à pouvoir crisper ce garçon d'ordinaire si placide. Thomas hait les Espagnols, il les abhorre, les déteste plus que n'importe qui sur Terre. Les figures d'Isabelle et Ferdinand hantaient ses cauchemars d'enfant : pour lui, les Espagnols portent de façon criante la souffrance du peuple Juif. Les voir en Angleterre ne lui plait guère.
▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦ Thomas est un homme de lumière. Il vit pour son art essentiellement et ne considère pas avoir d'autre foi, ni d'autre cause, que celle de cette vocation à laquelle il a déjà décidé de consacrer sa vie. Nul besoin d'ombre pour exercer l'humble métier de vitrailliste, n'est-ce pas ? Quant au problème religieux, il se pose un peu malgré lui en défaitiste : rien de ce qu'il pourra dire ou faire ne fera changer le triste sort des Juifs du Royaume, alors il baisse les bras avant même de les lever. Si aller à la messe chaque dimanche matin est le prix à payer pour vivre comme il le souhaite, il le fera. Le reste est entre lui et son Dieu.
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Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 13:36
Le faiseur de Lumière
Quiconque se pencherait sur le cas de Thomas Smith un peu en profondeur serait surpris : le fils adoptif du très respectable compagnon Edmund Smith n'est inscrit sur aucun des registres paroissiaux de la ville de Londres ! Sa naissance n'est enregistrée nulle part ! Par tous les Saints, cela signifierait-il que le garçon n'a jamais été baptisé ? Point, se gaussent ses parents, car le garçon était le fils d'un ami de Smith, un ami proche originaire du nord de l'Angleterre. Pauvre garçon, un accouchement douloureux a eu raison de sa mère, et les révoltes du nord matées par Henry-le-Huitième ont fait de lui un orphelin de père. Oh, pour cette histoire de baptême, il est certainement enregistré dans la paroisse d'York. A moins que ce ne soit Berwick ? Ou bien Lincoln ? Ou un quelconque village perdu au fin fond du Cumberland ? Las, qui irait s'en soucier de toute façon ! Il suffit généralement de prononcer le mot 'Nord' pour voir les braves londoniens un peu trop curieux détourner le regard, à supposer qu'ils soient justement trop curieux. En réalité, nul ne s'intéresse trop à lui, ce grand brun qui regarde toujours en l'air. Les Smith sont des gens vraiment honorables et vaillants, qui irait les soupçonner de quoi que ce soit de mauvais ? Personne ne les inquiète, nul ne pose de questions déplacées. Voilà qui soulage Edmund et sa chère Martha de tous leurs maux. Car ils savent tout aussi bien que leur presque fils ce qui pourrait arriver si l'histoire venait à se savoir, la véritable histoire, et préfèrent éviter de penser aux ravages qu'une personnalité un peu trop inquisitrice pourrait provoquer. Remuer la boue ne signifie jamais rien de bon...
Et pour cause, Thomas Smith n'est jamais né.
Aaron Goldstein, lui, a vu le jour un matin d'hiver 1534, très exactement au dix février de cette vingt-cinquième année du règne d'Henry VIII. Au sein d'une communauté qu'il n'est jamais parvenue à effacer de sa mémoire - si tant est qu'il ait été désireux de le faire un jour, ce qui est loin d'être avéré. Aaron était le premier enfant de ses parents qui espéraient une nombreuse famille mais en furent pour leurs frais : la jeune mère eut de telles difficultés à extirper le nourrisson hors de ses entrailles que Dieu voulut que jamais plus elle ne puisse enfanter. Les grossesses suivantes furent nombreuses, les fausses couches également. Le garçonnet passait beaucoup de temps auprès de sa mère et ses tantes, il aimait leur douceur, leurs attentions, et ces gâteaux supposés représenter les oreilles de Haman l'Agaggite qu'elles préparaient pour la fête de Pourim. Il voyait moins souvent son père, toujours affairé auprès de tel ou tel patient, mais il attendait avec une certaine impatience le jour où il serait jugé assez mature pour le suivre dans ses déplacements et apprendre, comme le voulait la tradition familiale, la profession de médecin. Car le père d'Aaron, Samuel Goldstein, était médecin - comme l'avait été son grand-père, son arrière-grand-père, et sans doute nombre d'hommes de sa lignée. Après sa bar-mitzvah, disait le chef de famille, il pourrait le suivre. En attendant, c'était à Rebecca, sa mère, de s'occuper de son éducation. De cela, le jeune Aaron ne se plaignait guère - nous l'avons dit, il aimait beaucoup sa mère. Il la trouvait belle, en dépit de cette lassitude qu'elle ressentait à porter des enfants sans jamais pouvoir les mettre au monde, cette lassitude qui d'après les mauvaises langues commençait à se lire sur son visage pourtant juvénile encore. Mais Aaron n'écoutait pas les mauvaises langues, lui ne voyait chez sa mère que les immenses yeux noirs, les cheveux brun chaud et le sourire toujours tendre. Cela le peinait de voir son état se détériorer année après année, et cela le peinait plus encore de voir son père s'échiner à trouver un remède pour soulager la santé d'une femme qu'il aimait plus que tout. Le petit Aaron faisait, en attendant, la fierté de ses deux parents. Il était vif et calme à la fois, plutôt tranquille, savait se montrer obéissant avec son père et respectueux des anciens de la communauté. Sa mère s'amusait des problèmes quotidiens que ses soeurs pouvaient connaître avec leurs turbulentes progénitures et disait que Dieu avait voulu qu'elle n'ait qu'un fils, mais que dans Sa bonté, il lui avait donné un fils sans défaut. Bien sûr, il était loin d'être parfait, mais c'était un enfant facile à vivre qui ne lui donnait pas trop de fil à retordre, ce qui en soit était une bonne chose car elle était incapable de refuser quoi que ce soit à son fils chéri. Samuel, son père, se montrait enchanté de l'heureux caractère du garçon, mais moins idéaliste : il avait bien un défaut qui lui faisait plus peur que les autres, la curiosité. La curiosité non maîtrisée signifiait un grand malheur, or Aaron semblait bien mal contenir ses velléités aventurières. Qu'y avait-t-il derrière les murs du ghetto ? Pourquoi n'y allaient-ils jamais ? Ceux de derrière ne voulaient pas d'eux, pourquoi donc ? N'était-ce pas eux qui se coupaient ainsi du monde ? Pourquoi ne pouvait-on pas s'y rendre, juste une fois ? Pourquoi les gens ne les aimaient pas ? Une fois, juste une, il avait réussi à grimper sur ce fameux mur qui coupait son quartier du reste de Londres, et il avait vu de haut quelques scénettes du quotidien des londoniens considérés comme tels. Son père avait été fou de rage, autant que mortifié par l'inquiétude et les questions pressantes de son fils. Ce dernier avait assisté à la sorti d'un bien-né d'une boutique et se demandait pourquoi tout le monde alentour lui avait cédé le pas. Parce-qu'il était noble ? Qu'était-ce qu'un noble ? Quelqu'un qui avait accompli de grandes actions ? Non, plutôt quelqu'un dont les ancêtres avaient accompli de grandes actions - certains avaient même fondé l'Angleterre disait son père. Comment pouvaient-ils dont savoir ce qu'avaient fait leurs ancêtres ? Parce-que, répondait le rabbin, ces gens-là avaient des arbres généalogiques, des cimetières, et parce-que leur voix comptais plus que celle des autres. Ce qui laissait en émoi le petit Aaron : eux pouvaient donc retracer la lignée de leurs pères jusqu'à l'acte de naissance du Royaume. Et lui ? Pourquoi n'avait-il pas d'arbre généalogique, lui ? En grandissant, sa réflexion sur le sujet s'affûtait, voire se teintait d'amertume : sur quels chemins entre Jérusalem et Constantinople, entre Séville et Budapest, s'étaient perdus ses ancêtres ? D'expulsions en spoliations et de spoliations en expulsions, sur les routes de France et de Navarre, quelque part entre Moscou et Londres, entre Paris et Vienne, entre Kiev et Erevan, qui savait ce qu'étaient devenus ces hommes et ses femmes dont il était aujourd'hui le descendant, enterrés à la va-vite entre deux errances ? La question ne le hantait pas vraiment, mais il se la posait souvent, et la réponse à la fois tragique et évidente lui serrait le coeur. Parallèlement à ces interminables interrogations, l'instruction se poursuivait. La vie suivait son cours, dans ce quartier ceinturé de murs, coupé du monde, si proche et si loin de la capitale anglaise qui s'agitait tout autour. Une ville dans la ville, une communauté fermée où chacun se connaissait, que le jeune garçon voyait un peu comme une immense famille élargie. Les autres enfants étaient les frères et soeurs qu'ils n'avaient pas. Lorsque son père n'était pas là pour répondre à ses questions, il allait voir le rabbin. Si sa mère était malade, il allait chez l'une de ses tantes. En attendant sa bar-mitzvah, qui aurait lieu à son treizième anniversaire, il partageait son temps entre chez lui et l'école, dont l'unique salle était attenante à la synagogue. Le rabbin, un homme d'âge mur qu'Aaron considérait avec une admiration non feinte et un respect profond, leur faisait cours chaque matin de la semaine, sauf le samedi. La vie chez eux était réglée comme du papier à musique, et la bar-mitzvah faisait office de rite initiatique. Filles et garçons recevaient le même enseignement jusqu'aux douze ans de la fille, jusqu'aux treize ans du garçon. Ensuite, les filles apprenaient avec leur mère ce qui relevait de la gestion domestique, les garçons suivaient leur père et apprenaient leur métier pour ensuite prendre la relève et l'exercer à leur tour, jusqu'au jour où ils auraient des fils en âge d'apprendre et où ils transmettraient leur savoir. Le premier enseignement était laissé au rabbin, qui leur apprenait à lire et à écrire, à réfléchir sur les textes du Talmud et de la Torah, parfois quelques rudiments de calcul, mais c'était chose plutôt rare : mieux valait, disait-il, laisser les chiffres aux enfants des prêteurs et la science médicale aux enfants des médecins. Lui, homme de Dieu, devait surtout apprendre à ses protégés à développer leur capacité à penser, à réfléchir et à comprendre le monde autour d'eux. Le jeune Aaron, en réalité, était fasciné par la sagesse de l'homme, et bientôt préféra le questionner, lui, plutôt que son propre père. Il s'ouvrit un jour sur le sujet qui le perturbait tant, les éternelles errances de son peuple, son isolement, sa capacité à toujours vivre en marge d'une société qu'ils semblaient toujours rejeter. Ou était-ce la société alentour qui les rejetait ? Il était très attentif aux leçons d'Histoire, les figures de Louis IX de France, le roi que les chrétiens disait Saint, de son petit-fils Philippe le Bel, celles plus récentes des Rois très Catholiques d'Espagne, Isabelle et Ferdinand, et tous ces Empereurs Ottomans qui depuis des siècles n'avaient de cesse que d'exiler, encore et encore, un peuple sans terre, ces figures-là le hantaient. Et le rabbin disait en souriant que l'exil n'avait au fond pas d'importance, car ce qu'ils avaient de plus précieux, ils l'emmenaient systématiquement avec eux. Qu'avaient-ils donc de si précieux ? Leur histoire, leur savoir, répondait l'homme, les seules choses qui ne se perdraient jamais et que nul ne pourrait leur prendre.
En somme, la vie s'annonçait plutôt douce pour Aaron.
Elle le fut jusqu'à sa onzième année.
Comme tous les ghettos de toutes les grandes villes d'Europe, celui de Londres était, nous l'avons dit, un lieu clos. Un lieu où chacun savait tout sur l'autre, où chacun connaissait l'autre, et où tout finissait toujours par se transmettre. L'hiver 1545 ne resta pas dans les mémoires collectives comme un hiver plus meurtrier que les autres, mais la communauté Juive, elle, le considéra comme tel : une fièvre finalement assez semblable aux épidémies de suette qui s'était jadis propagées dans tout le royaume se répandit dans les rues du quartier comme une trainée de poudre, et en quelques semaines, la maladie fit des ravages. Lieu clos oblige, aucune famille ne fut épargnée. Samuel Goldstein, médecin consciencieux, chercha bien un remède à ce mal qui décimait avec une telle ardeur tout le monde autour d'eux, mais en vain, et à trop chercher, il s'exposa au danger, exposa sa femme, son fils. Aaron rentrait de chez sa tante lorsque il découvrit, en ouvrant la porte, les corps sans vie de son père et sa mère. On peut aisément imaginer quelles émotions, quels chocs successifs, furent ressentis par cet être si sensible qui ne comprit pas pourquoi Dieu avait brutalement enlevé ainsi les deux personnes qu'il chérissait le plus au monde. Sa tante voulut le ramener chez elle, il se dégagea de son emprise. Le rabbin voulut le prendre sous son aile, il partit à reculons, avant de détaller à toutes jambes, à peine conscient, sans savoir où il allait ni ce qu'il faisait. Le jeune garçon ne songeait qu'à fuir, fuir ce tombeau à ciel ouvert, fuir ces lieux maudits, ces murs de pierre, entre lesquels ses parents étaient morts. A onze ans, il n'avait pas encore une pleine conscience de ses actes, même si d'ordinaire il se montrait posé et calme, toute modération s'était envolée à l'instant où il avait réalisé que jamais plus il ne retrouverait son père et sa mère. Dans un moment de tel égarement, il commit dès lors l'irréparable, aveuglé par les larmes, le chagrin et sa course folle, il parvint à passer par les égouts de la ville et en ressortit de l'autre côté du mur. A l'extérieur du ghetto.
Il est des gestes stupides qui changent une vie, des actes inconsidérés qui font basculer un destin, c'est précisément ce qui arriva ce jour-là. Aaron errait comme une âme en peine dans les rues d'un Londres qu'il ne connaissait pas, son chagrin momentanément oublié tant il restait sans voix : ils étaient là, ces chrétiens de l'extérieur ! Et il ne se sentait pas différent d'eux tous - ils avaient un nez, une bouche et deux yeux, à l'exception peut-être de cet alcoolique borgne à l'air goguenard posté devant une taverne d'où s'échappait une musique entrainante, les garçonnets du même âge étaient habillés comme lui et rien ne laissait croire qu'ils n'étaient pas du même monde. L'accoutrement des femmes, peut-être, était différent. Et il fut éberlué au passage de prêtres. Une dame aux yeux noirs passa devant lui, lui sourit. Elle tenait un bébé dans ses bras et le garçon détourna les yeux, sentant les larmes remonter à ses yeux. Il poursuivit sa route, s'éloignant un peu plus à chaque minute de l'univers d'où il venait. Il marcha longtemps, sans but et sans contrainte, et avec le recul il réalisa qu'il avait eu bien de la chance, car un garçon de onze ans seul dans les rues mal famées d'une si grande ville pouvait facilement faire de mauvaises rencontres.
Dernière édition par Thomas Smith le Mer 21 Sep - 16:09, édité 13 fois
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 14:05
Welcomeeeee!!!
Tom Hughes
Bon courage pour ta fiche!
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 14:40
Ohh j'adore le métier de ton personnage ** Bienvenue sur TTB Si tu as des questions surtout n'hésite pas à venir me voir Bon courage pour la rédaction de ta fiche
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❝ George Hastings ❞
♱ knowledge is power ♱
♕ Métier : évêque d'Oxfordshire et frère cadet du comte d'Hundington ♕ Age : 48 ans, je ne me fais pas tout jeune ♕ Religion : catholique, mais il n'est pas un puriste. Il reste tolérant à l'égard des protestants. ♕ L'avatar a été fait par : fassylover (ava) & astra (signa) & frimelda (icons) ♕ Mon nombre de messages est : 1084 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 11 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 12/10/2014 ♕ Mon pseudo web est : proserpina ♕ Mes autres visages : William Cavendish
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 15:19
oh quel perso original bienvenue par ici et bon courage pour ta fiche
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❝ Evelyn M. Hawkins ❞
Le Peuple Anglais
♕ Métier : Gérante de l'établissement de plaisir : Le Red Lantern ♕ Age : 30 ans ♕ Religion : catholiques ♕ L'avatar a été fait par : fassylover ♕ Mon nombre de messages est : 200 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 5 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 14/08/2016 ♕ Mon pseudo web est : Serindë ♕ Mes autres visages : James O. Wakefield
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 16:24
hey salut bienvenue parmi nous toi
Si tu as des question hésites pas !!!
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❝ Mary A. De LaCroix ❞
Dame de cœur
♕ Métier : Duchesse de Lyon, Baronne de Bridgestone-Prescott et fondatrice-directrice/gérante de la Cross School, pensionnat pour jeunes filles défavorisées ♕ Age : 27 ans ♕ Religion : catholique tolérante. La religion n'est pas ce qu'il y a de plus important. ♕ L'avatar a été fait par : avatar:proserpina/ Signature:FRIMELDA./ Bannière: Mari-Jane ♕ Mon nombre de messages est : 812 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 44 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 12/03/2013 ♕ Mon pseudo web est : ReineSoleil, Naomi, Lucrezia ♕ Mes autres visages : la nourrice - gouvernante des Cavendish //en pause//
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 16:34
Original ton perso! J'ai hâte d'en lire l'histoire
Bienvenue parmi nous!
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❝ Théodore Wolmar ❞
the protestant wolf ✞
♕ Métier : Père Clinton Ashby. En réalité, érudit allemand autrefois professeur, notamment à l'université de Tübingen. ♕ Age : 30 ans ♕ Religion : Protestant luthérien, se faisant passer pour un prêtre catholique ♕ L'avatar a été fait par : Lilday ♕ Mon nombre de messages est : 420 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 39 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 10/08/2016 ♕ Mon pseudo web est : BloodyWonder ♕ Mes autres visages : Arthur Wayne & Lavinia Tyburn
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 16:43
Bienvenue sur TTB ! Un homme, du peuple, et une religion qui change un peu de ce qu'on a ici, que demander de plus ? Ton perso a l'air super ! J'ai hâte de lire ta fiche N'hésite pas à venir vers moi ou un autre membre du staff en cas de questions
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 17:28
au risque de plussoyer mes VDD, ton perso est superbement prometteur et quel avatar ! hâte d'en lire davantage, bon courage pour ta fiche !
et en passant, bienvenue parmi nous !
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 17:58
Eh bien quel accueil, merci beaucoup ! Du coup, j'espère ne pas tomber à côté et vous décevoir Aucun souci je ferais signe à qui de droit dès que j'ai un problème, en attendant j'ai vos annexes sous la main Merci encore pour vos messages, et à très vite !
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❝ Rosalie Woodley ❞
De Rosea Westmorland
♕ Métier : Servante de Lavinia Tyburn ♕ Age : 21 hiver ♕ Religion : Catholique, mais je suis tolérente ♕ L'avatar a été fait par : Vent_nocturne ♕ Mon nombre de messages est : 174 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 39 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 22/08/2016 ♕ Mon pseudo web est : Elynore ♕ Mes autres visages : La Duchesse Andalouse & La Comtesse de Lennox
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mar 20 Sep - 21:48
Ohhhh oki j'ai changé de compte exprès et alors
Un apprenti vitrailliste et la fille d'un maître verrier je veux un liennnnnnnnnnnnnnnnnnnn
Sinon bienvenue icii mon cherrrrrrrrrr
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❝ Katherine Grey ❞
La Famille Royale
♕ Métier : Lady Katherine Grey, potentielle héritière de la couronne d'Angleterre ♕ Age : 17 années ♕ Religion : Protestante ♕ L'avatar a été fait par : zuz, tumblr & .TITANIUMWAY ♕ Mon nombre de messages est : 563 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 45 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 05/10/2013 ♕ Mon pseudo web est : Eris
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Mer 21 Sep - 11:03
Bienvenue !
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❝ Invité ❞
Invité
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Lun 26 Sep - 19:55
Je te souhaite la bienvenue ! Super présentation !!
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❝ Arthur Wayne ❞
ㄨ the sword in the darkness
♕ Métier : Soldat de la garde royale, second du capitaine John Herbert. ♕ Age : 26 ans ♕ Religion : Catholique ♕ L'avatar a été fait par : Poison Ivy ♕ Mon nombre de messages est : 982 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 88 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 27/06/2013 ♕ Mon pseudo web est : BloodyWonder ♕ Mes autres visages : Lavinia Tyburn & Théodore Wolmar
Sujet: Re: THOMAS « LE FAISEUR DE LUMIÈRE » Dim 2 Oct - 11:12