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Nous nous situons aux alentours de mai 1558. Il fait de plus en plus chaud les gens prennent plaisir à sortir dans les jardins.
Si vous souhaitez jouer un étranger, privilégiez les Espagnols et les Ecossais. N'hésitez pas à regarder les PV et scénarii en priorité. |
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| ❝ Invité ❞ | Sujet: Il était un petit navire... [PV Arthur Allen] Dim 1 Déc - 14:47 | | | Gracieusement, j'arpente les couloirs de Whitehall en compagnie d'une de mes dames de compagnies. Celles-ci discutent au sujet d'un jeune noble qui vient d'arriver à la couture. De ce que je comprends, il serait admirablement bien fait. Je me retiens de soupirer de manière bien peu élégante. De toutes façons, le plus bel homme présent à la Cour est mon mari, je ne vais pas être jalouse pour un freluquet présent ici que pour trouver une demoiselle avec une grosse dot pour pouvoir batifoler sans risque!
En parlant de mari, celui-ci est en grande conversation auprès de la Reine afin de bénéficier de son appui pour pouvoir rester ambassadeur à la mort de mon oncle et éviter que la belle-famille de mon frère hérite du poste. Si nous nous attirons les faveurs de la Reine, il y aura plus de chance que nous restions ici. Bien sûr, nous prions Dieu chaque jour afin qu'il lui laisse exercer sa pastorale le plus possible.
Sur ces joyeuses pensées, je réajuste discrètement ma robe afin de me protéger contre le froid de ce mois de janvier. D'ailleurs, cette robe est un cadeau de mon mari lors de son dernier passage à Londres. Et j'avoue qu'il a su exactement bien choisir. J'avoue que je suis particulièrement admirative des teintes bleues de la robe qui rappelle de manière discrète le blason de l'archevêché. De plus, grâce à ses manches amples ornées de dentelles, je reconnais ne pas trop souffrir du froid, d'autant plus que mon décolleté sur ma gorge n'est pas trop prononcé.
En arpentant les couloirs, j'aperçois au loin Arthur Allen, l'homme qui nous a permis d'arriver en Angleterre, mon mari et moi, en organisant notre voyage. D'un regard, j'ordonne à mes compagnes de se mettre en retrait. De toutes évidences, il doit être venu pour parler affaire et non concernant un jeune homme venant d'arriver à la cour.
Comme il le sied, je le salue d'un léger signe de la tête alors qu'il me fait fasse.
-Bien le Bonjour, Monsieur Allen, dis-je simplement.
Je n'en dirais pas plus, après tout, ce peut être une rencontre fortuite! |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: Il était un petit navire... [PV Arthur Allen] Dim 1 Déc - 21:38 | | | C’était une belle journée pour Arthur Allen. Il faisait beau, les oiseaux chantait, les clients étaient nombreux et il avait rendez vous à la cour. Bref, tout allez pour le meilleur du monde. Le marchand était en train de réfléchir aux prochains accords commerciaux qu’il pourrait effectué quand il entra dans les couloires de Whitehall. Il commençait à voir apparaître les premiers nobles et courtisans, se pressant d’aller voir la reine pour lui demander des faveurs.
*Allez y petits seigneurs… allez chercher le faveurs de la reine mère comme des chiens demandant leurs gamelle. Pff…*
Continuant à avancer avec l’aide de sa canne, il se moquait intérieurement des manières de chacun quand il se trouva face à un groupe de nobles dames qui pinaillez et discuter des mondanités de la cour.
*Je me demande qui est le pire, les nobles, ou leurs femmes ?*
Mais l’une d’elle se détacha du groupe et s’avança vers lui. Elle semblait le connaître, et ce visage était familier au marchand.
*Voyons…. Elle s’appelle comment celle la… Adélaïde ? …non non… Clara ? encore moins.. ; Voyons, c’est pourtant pas compliqué !*
-Bien le Bonjour, Monsieur Allen
Faisant faussement le surpris, Arthur répondit.
-Oh ! Bien le bonjour euh.. Isabelle ! *Pourvu que ce soit celle là* Comment allez vous aujourd’hui ? Et que faites vous ici dans ce château ?
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| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: Il était un petit navire... [PV Arthur Allen] Dim 8 Déc - 15:52 | | | Je fronce les sourcils en l'entendant me saluer de manière aussi cavalière. Cependant, je me dois de rester aussi courtoise. Après tout, il est indigne de mon rang et de mon illustre oncle que de m'emporter face à un tel froluquet du peuple.
Il ose m'interroger sur la présence dans ce lieu. Il est vraiment mal élevé et sans gène. Je hais ces gens du peuple qui ose se prendre pour nos égaux parce qu'ils ont fait fortune grâce à des actions plus ou moins malhonnêtes tout en bafouant les principes de Jésus Christ notre sauveur. Comme le veut mon éducation, je reste le plus courtoise possible tout en essayant de lui rappeler qu'il se doit de se comporter de manière bien plus galante avec les Grandes de ce monde:
-Mon mari, le duc de Trêves, est en audience privée avec Sa Majesté la Reine d'Angleterre.
Je ne peux m'empêcher d'appuyer légèrement la fin de ma phrase afin de bien lui faire comprendre que je fréquente les plus hautes instances de ce monde. Il croit vraiment que la Nuit tous les chats sont gris au point de permettre à tous d'avoir le privilège de fréquenter en privée la Reine pour des affaires?
-Quant à ma présence ici, j'ai bien peur que vous ne deviez pas compter sur un départ prochain de ma part pour renflouer les caisses de votre commerce. Car je suppose que c'est pour ça que vous êtes ici?
Discrètement, je commence à le guider un peu à l'écart de la foule, sans pour autant quitter le champ de vue de mes compagnes. Il serait des plus fâcheux que des commérages circulent sur ma personne pour l'intérêt de mon oncle! |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: Il était un petit navire... [PV Arthur Allen] Jeu 17 Avr - 18:11 | | | Un léger sourire vint sur le visage d’Arthur. Le sourire de défi qui lui était si particulier. Un sourire de joueur, car c’est ce qu’il est au fond. Il sourit à la française et s’inclina en riant face à elle.
- Je vois que vous avez les bons mots pour mettre les personnes de mon espèce de mon rang en péril Madame la duchesse de Trêve. Vous avez relevé mon défi et vous êtes comporté telle une véritable dame de cour. Peu de femme aurai réagi ainsi et m’aurait ignoré. Veuillez donc agréer à mes excuses les plus profondes pour ces insultes.
Il releva la tête dévoilant de nouveau un sourire sur son visage.
- Quant à l’argent, vous vous trompez, ou pas. Mais ce n’est pas à vous que je viens en réclamer. Il s’agit plus à d’autres seigneurs. Vous ne savez pas combien de personne me demande des navires ! Certain pour des voyages, d’autres pour des diner, d'autres pour leur lubies, d’autres pour des guerres. Or, certaines de ces personnes ont oublié le paiement de mes navires, et cela fait plusieurs années que j'attend, ce qui est fort embêtant pour mon commerce.C'est une question de justice voyez vous. Mais ne vous en faites pas. Je connais l’honnêteté des gens du saint empire tel que vous, et je suis sûr que vous rembourserez ce qui vous est dût. Tenez, pour me faire pardonner Madame la duchesse, je décide d’annuler votre dette envers ma compagnie, en gage de notre amitié madame la duchesse. Auriez vous un papier et une plume pour que j’officialise ceci ? J’avouerai ne pas m’être encombré de tels objets pour venir jusqu’ici.
N’attendant pas la réponse qui ne devait pas tarder, Arthur enchaina, comme à son habitude.
- J’avouerai n’être jamais allé à Trêve… Ni même à l’intérieur du saint empire romain germanique. Pourtant, on m’en dit tellement de bien, et que la ville de Vienne est ravissante. De trêve pourtant je ne sais rien… Pourriez vous, madame la duchesse, m’en faire une description par hasard ? Une bonne action pour un vieillard tel que moi…
La discutions devait continuer. Il devait faire en sorte que l’impérial reste dans ses contacts. Il en avait besoin. On lui avait toujours appris : Plus de relation il aurai, mieux il s’en porterai. Et puis, une duchesse d’empire proche de Vienne pourrait l’aider. Si il arrivait à remettre la duchesse de son coté, il pourrait essayer d’implanter une partie de son commerce en Italie dans certains des territoires Habsbourg, ce serait à envisager.
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| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: Il était un petit navire... [PV Arthur Allen] Lun 21 Avr - 13:38 | | | A mes mots, mon interlocuteur commence à esquisser un sourire.
-Je vois que vous avez les bons mots pour mettre les personnes de mon espèce de mon rang en péril Madame la duchesse de Trêve. Vous avez relevé mon défi et vous êtes comporté telle une véritable dame de cour. Peu de femme aurai réagi ainsi et m’aurait ignoré. Veuillez donc agréer à mes excuses les plus profondes pour ces insultes.
Ces paroles ont le don de m'insupporter. De quel droit se permet-il de traiter les gens de mon rang ainsi? Ne craint-il donc pas de fâcher sa souveraine si jamais je venais à rapporter à sa Majesté l'Empereur que les sujets d'Angleterre sont des plus impolis?
D'un sourire de façade, j'incline la tête dans sa direction afin de lui faire croire qu'il est tout pardonné. Mais il n'en est rien au vu des mots glaçants que je lui assène:
-Alors tâchez de vous souvenir, Monsieur Allen, que je ne suis point l'un de vos compagnons de beuverie ou une fille de petite vertue que vous devez fréquenter à vos heures perdues si vous tenez à ce que je fasse à nouveau appel à vous pour un voyage futur!
Toutefois, il continue son babillage. Je me retiens d'arquer un sourcil lorsque j'entends qu'à la Cour d'Angleterre, des nobles courent après l'argent. Il pourrait peut-être des plus avantageux de connaître quelques noms pour une faveur future? J'essaye de demeurer impassible lorsque mon interlocuteur m'annonce vouloir retirer tous les frais que nous lui devons. Cette générosité soudaine me fait tiquer. Après tout, les sommes engagés ne sont point négligeables. Il doit surement attendre une faveur de ma part pour faire un tel don. Je suis sur le point de refuser mais une pensée cynique m'en empêche. Ce n'est pas tous les jours qu'une telle offre se propose alors, pourquoi la décliner?
Je retiens une grimace d'exaspération lorsque je l'entends me demander une plume et du papier. Croit-il vraiment que nous ayons toutes une plume et du papier cachée dans nos dentelles pour satisfaire ces désirs?
Il ne me laisse pas répondre, comble de l'impolitesse. Néanmoins, je me retiens de sourire. Il a après tout dit devant témoins d'annuler les dettes de mon mari et moi-même à son égard. Monsieur Allen risque d'avoir du mal à revenir sur sa parole s'il le voulait.
- J’avouerai n’être jamais allé à Trêves… Ni même à l’intérieur du Saint Empire Romain Germanique. Pourtant, on m’en dit tellement de bien, et que la ville de Vienne est ravissante. De trêve pourtant je ne sais rien… Pourriez vous, madame la duchesse, m’en faire une description par hasard ? Une bonne action pour un vieillard tel que moi…
La vieillisse n'est-elle pas censée rendre les gens plus sages à l'instar du devin Tirésias et non impertinent comme Monsieur Allen? Toutefois, je me dois de répondre.
-Vienne resplendit effectivement de beauté depuis l'avènement de Sa Majesté l'Empereur. Néanmoins, j'ai guère eu l'occasion de m'y rendre. Quant à Trêves, sa beauté n'a rien à envier à Londres.
Ma description est assez concise, je dois l'avouer. Cela est du au fait que je ne tiens guère à favoriser un homme aussi abjecte que lui qui se croit supérieur à moi sous le prétexte fallacieux d'une traversée maritime! |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: Il était un petit navire... [PV Arthur Allen] Mar 22 Avr - 18:03 | | | Les paroles énergiques de l’Allemande firent rapidement comprendre que la duchesse essayée de se débattre. Elle était donc têtue, et loin d’être stupide. Il redoubla donc d’ardeur et continua donc à parler. Il avait peut-être un endroit où frapper. Il eut, toute fois, un petit sourire à l’évocation de Trêve.
*Si Trêve ressemble à cette ville crottée, alors ce doit être…*
- Une ville magnifiquement belle je présume. Vu l’attrait que vous portez pour Londres elle ne peut être qu’ainsi ! Au moins, ce n’est pas comme certaines villes françaises dépravées comme Paris ! Une vraie puanteur ! Je n’ai plus osé m’approcher de cette ville à moins de deux kilomètres tellement cette endroit été sale et malfamé.
*Frapper l’ennemi commun m’aidera peut-être…*
- Je préfère de loin ces terres sauvages du nouveau monde ! N’êtes vous jamais allait observé ces terres ? Ce sont de magnifiques paysages ! Des territoires vierges, des mines remplis d’or, et des autochtones extrêmement... Intéressants ! Je vous avouerai qu’avoir eu la chance de faire ce voyage et de prendre part au transport de ces belles marchandises a été pour moi une consécration. Mais je suppose que votre noblesse vous a permit de voir surement plus beau et plus bénéfique actions dans votre vie. J’aurai aimé avoir une origine telle que la votre voyez vous, mais comme le dit le très glorieux Dante dans son purgatoire : La vertu qui veut ne peut pas tout. Et je crois que malgré avoir voulut gagner votre amitié, pour l’admiration que je porte à vos yeux, vous refusiez cette dernière. Je peut le comprendre et m’en excuse de nouveau.
Il s’inclina devant la duchesse.
- Maintenant, je m’excuse Duchesse, mais je me dois de vous laisser, je dois rencontrer notre sainte majesté Mary et ensuite partir pour une réunion auprès de mes amis marchands et banquiers de la capital pour planifier le transport de leurs marchandises auprès des Provinces Unies et de la France, vu qu’ils sont les seuls à accepter mes navires, et les marchandises de mes collègues à mon grand désarroi. Je vous souhaite une bonne journée madame.
Il se mit alors en marche, peut-être allait il être rappelé ? Susciter la curiosité pouvait surement marcher.
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| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: Il était un petit navire... [PV Arthur Allen] Lun 28 Avr - 13:42 | | | Je me retiens de froncer les sourcils au sourire de mon interlocuteur lorsque j'évoque la beauté similaire de Londres et de Trèves.
- Une ville magnifiquement belle je présume. Vu l’attrait que vous portez pour Londres elle ne peut être qu’ainsi ! Au moins, ce n’est pas comme certaines villes françaises dépravées comme Paris ! Une vraie puanteur ! Je n’ai plus osé m’approcher de cette ville à moins de deux kilomètres tellement cette endroit été sale et malfamé.
Je demeure impassible à l'évocation de Paris, capitale de ces Valois qui tourmentent tant mon suzerain. Il est vrai que cette ville peut causer bien des tracas à son souverain en cas de jacquerie mais une des choses qu'on ne peut guère reproché à Paris est bien sa culture si riche qui rayonne dans l'Europe grâce à ces prélats si instruit de la parole du Seigneur. A mon sens, il n'y a guère que Cologne qui peut rivaliser avec Paris. Non, en réalité, Cologne est supérieur à Paris puisque ces révérends prélats sont plus fermes que ces français envers les hérétiques.
-Je demeure là où Sa Majesté l'Empereur Charles, cinquième du nom, a besoin de l'humble servante que je suis et c'est ma fierté que de rendre mes devoirs envers mon suzerain le plus admirablement qu'il soit.
Si mes paroles étaient entendus par mon oncle l'archevêque, celui-ci dirait que je pèche par orgueil. Toutefois pour moi, c'est véritablement une source d'honneur que de servir le plus admirablement possible mon souverain à l'inverse de cet homme qui oublie les devoirs les plus élémentaires de son rang envers le mien.
Je demeure silencieuse alors qu'il évoque les contrées du Nouveau Monde. Contrairement à beaucoup de personnes, se rendre dans le Nouveau Monde est bien l'une des choses qui n'attire pas ma curiosité. Se rendre dans un pays en proie aux pires péchés voulu par Dieu ne enthousiasme guère. Je préférais davantage me rendre à Rome pour prier dans la chapelle peinte par l'artiste Michel-Ange. Je ne cache pas un sourire satisfait lorsque je l'entends énoncer le fait que je lui refuse mon amitié. Croyait-il réellement qu'une fois ses excuses faites pour son odieux comportement j'allais lui accorder mon pardon? Que je sache, les Brandebourg n'ont guère besoin de lui pour faire pérenniser leur rang d'électeur pour l'élection du prochain empereur. De plus, il existe également d'autres armateurs qui sont ravis d'organiser la traversée du retour d'Albert et de moi-même.
Je vois Monsieur Allen s'incliner devant moi comme pour faire signe qu'il va prendre congé.
-Maintenant, je m’excuse Duchesse, mais je me dois de vous laisser, je dois rencontrer notre sainte majesté Mary et ensuite partir pour une réunion auprès de mes amis marchands et banquiers de la capital pour planifier le transport de leurs marchandises auprès des Provinces Unies et de la France, vu qu’ils sont les seuls à accepter mes navires, et les marchandises de mes collègues à mon grand désarroi. Je vous souhaite une bonne journée madame.
Je hausse la tête avec un sourire qui se veut aimable afin de lui rendre son salut tandis que je me fais la remarque de demander à Albert si Monsieur Allen a réellement des connaissances si connu dans le milieu banquier londonien.
-Bonne journée à vous aussi Monsieur Allen, je vous souhaite prospérité dans vos affaires à venir.
Je le vois s'éloigner, tandis qu'à ce signal, mes compagnes se rassemblent à nouveau autour de moi. Mon expression se fait alors plus aimable à leur égard. Tandis que leur bruit de commérage m'entoure, je me détourne afin de pouvoir discuter avec Helen, une jeune fille à marier que je pourrais qualifiée d'amie.
-Helen? Demande-je de manière à ce qu'Arthur Allen entende ou à défaut de l'homme, les personnes environnantes. Je vous serais grès de contacter Mr Fugger afin de lui rappeler de verser sans délai la somme que nous, mon mari et moi-même, devons à Monsieur Allen.
-Bien Madame. Déclare humblement Helen en s'inclinant légèrement.
Finalement, je préfère ne pas accepter sa proposition. En effet, bien qu'il me semble que je craigne pas un endettement, qu'il vaut mieux l'être auprès de la famille Fugger, gérant également nos intérêts en plus de ceux de l'empereur, qu'auprès d'un tel homme si peu respectueux des convenances! |
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