[MISSION] Arthur Allen & Lucrèce Peterson ♣ " Sous les regards de nos saints. "

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 28/02/2012

Votre mission si vous l'acceptez...

Arthur Allen & Lucrèce Peterson
A l'abbaye de Westminster.
14 avril 1554

Depuis l'arrivée de Mary Tudor au pouvoir, l'abbaye de Westminster avait un nouveau visage, celui de renouveau catholique anglais. La reine s'en félicitait, la Vierge avait à nouveau sa place dans ce magnifique lieu de culte, tout comme les saints. L'abbaye se parait de couleurs et avec le futur mariage royal, quelques travaux avaient commencé pour qu'elle soit un lieu splendide, pour ce jour. L'abbaye était un lieu vivant, riches et pauvres se côtoyaient dans la prière. Les catholiques étaient fiers de retrouver leur lieu de culte, comme avant. Les protestants eux faisaient actes de présences, pour montrer à tous qu'ils étaient de bons catholiques. L'hérésie était toujours aussi présente en Angleterre et la condamnation, des hommes de la rébellion de Wyatt, avait aggravée la situation.
Lucrèce Peterson était une jeune femme très pieuse et en tant que catholique, elle ne pouvait pas, ne pas venir à l'abbaye de Westminster, qui était un symbole du retour du catholicisme en Angleterre. La belle rousse était venue ici pour prier, mais aussi se confesser auprès d'un prêtre. Cependant, quand la jeune femme s'installa au confessionnal, de l'autre côté, ce n'était pas un prêtre qui s'y trouvait, mais Arthur Allen, qui devait faire une transaction hautement importante, dans ce saint lieu.

Option 1 ♣ Arthur tente de sortir discrètement du confessionnal, tout en sachant que la jeune femme sait déjà qu'il se trouve quelqu'un face à elle.
Option 2 ♣ Le faux prêtre se dévoile avant la confession.
Option 3 ♣ Pour ne pas être dénoncé, Arthur décide de jouer les prêtres et prend la confession de Lucrèce.
Option 4 ♣ Rien ne se passe.

♦ Déroulement de la mission : Voilà votre mission, la mise en situation a été dite et vous avez maintenant plusieurs options qui s'offrent à vous. Attention, vous pouvez en prendre qu'une, donc vous devez ensemble vous mettre d'accord sur le moyen à utiliser.
Pour le moment vous êtes libre, mais un PNJ pourra venir à tout moment perturber votre jeu. Attention, votre mission commence dès maintenant !

Sous les regards de nos Saints.

Pv Arthur & Lucrèce

Lucrèce Peterson était une femme très pieuse, c'est pour cela qu'elle se retrouvait a l'abbaye de Westminster en cette belle journée. Depuis que l'abbaye avait retrouvée sa beauté religieuse, Lucrèce y allait a chaque que son mari fessait des affaires a Londres. La belle rousse préférait le calme d'une église au faste de la cour ou la manipulation régnait ce qu'elle laissait a son mari. Elle pria un long moment puis décida d'aller se confesser pour savoir si c’était mal de penser que son mari lui cachait un secret. Elle voulait savoir cela pour éviter les enfers. Elle arriva devant un confessionnal, elle entra simplement puis s'assit en disant

Bonjour mon père, je viens me confesser.

Elle attendit et pris son souffle, elle ne savait par ou commencer, peut être par le début. Elle vit bien qu'il y avait quelqu'un de l'autre coté, elle fit un signe de croix en espérant que le seigneur lui pardonnera ce péché.Elle devait parler de son mari et surtout si critiquer les hérétiques peuvent nous faire aller en enfer.Elle se racla la gorge en repensant a la rencontre de son mari avec cet hommme surement protestant qui avait fait changé d'avis son mari.

Voyez vous mon père, je suis pratiquement sure que mon mari me cache certaines affaires alors qu'il y a longtemps, il me disait tout ce qu'il allait faire. Je ne sais pas si il va voir une autre femme, alors que je lui ai apportée trois beaux enfants ou si a cause de cet homme que je soupçonne d’hérésie qui lui a fait changé d'avis sur la religion de Jésus.

Lucrèce avait dit cela avec ferveur mais elle avait peur, son mari et elle n'avait plus la complicité des premiers et Lucrèce devait obéissance a son mari mais elle avait peur qu'il se soit tourné chez les hérétiques. Ses enfants devaient rester de bon catholiques.C'est dans ses moments là, que sa grand-mère lui aurait conseiller quoi faire. Elle resterait forte quoi qu'il arrive.

Je voulais savoir si Dieu, nous enverrais si on méprisait les hérétiques ou si au contraire, ils nous récompense de notre loyauté ?

Elle avait toujours voulue posée cette question pour être sure d’être la plus pure et être accueilli au paradis, c'était une importance capitale, elle voulait avoir un comportement exemplaire et pour cela, elle ne devait en aucun cas pêcher.La religion catholique avait toujours été la pour elle, sa mère voulait qu'elle devienne une sœur mais son père voulait la marier, elle avait suivie l'avis de son père tout en restant la plus pieuse.

*Bon, ça commence à faire long. Où est il ? *

Dans le confessionnal, l’homme à la canne s’agitait. Son client était en retard, comme à son habitude. Enfin, son client... Plutôt son agent d’entretien. Il lui avait donné rendez vous ici, à ce faquin de Hans Rudolph pour discuter de l’opération d’apeurement qu’il souhaitait lancé face à Anne Stanhope. La cible était de taille, et il devait se préparer efficacement, en donnant les meilleures directives. Que faisait l’allemand ? Arthur l’ignorait, et ça avait le don de le mettre en colère. Comment osait-il le faire attendre ? Lui ? Son commanditaire préféré ? Le manque de politesse de cet homme le dépassait. Et puis, il n’aimait pas cet endroit. Trop confiné, Arthur commençait à étouffer. Coupé de lumière, il était agitté. Il n’arrivait pas à se concentrer. Trop de choses passer à son esprit en même temps. Le procès de Wyatt, la Shéridan, la Cavendish, le bateau, son fils… Tant d’élément qui troublez sa concentration. Mais la porte s’ouvrit enfin, soulageant pour un petit laps de temps Arthur, avant qu’il ne se rende compte qu’en face de lui se tenait une dame qu’il ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam. Elle s’asseyait, prennant le marchand pour le prêtre, ce qui n’était pas pour le rassurer.

*Si je tente de m’en aller, elle me posera des questions. Si je joue franc jeu, elle m’en posera aussi… Faut donc que je m’en débarrasse rapidement. Et puis, c’est toujours sympathique de connaître autrui à ses dépends !*
Prenant la voix la plus mielleuse qui soit, il répondit donc à la dame.

-Bonjour ma fille. Parlez sans crainte, le seigneur vous regarde.

L’âme perdu se mit donc à déblatérer ses problèmes. Le coup classique de la confiance perdu, de la foi perdu… Bref, quelque chose que Arthur Allen ne pouvait supporter. Mais ce sont les dernières paroles de la demoiselle qui firent tiquer le marchand.

-Je voulais savoir si Dieu, nous enverrais si on méprisait les hérétiques ou si au contraire, il nous récompense de notre loyauté ?

Un sourire apparut sur le visage d’Arhtur. Le même sourire qui apparaît lorsqu’une de ses idées malicieuses lui traverse l’esprit. Il tient alors à peu près ce discoure.

-Ma fille. Sachez que le mépris est le pire des péchés. Car celui qui méprise n’est qu’un orgueilleux, et un hypocrite. Notre seigneur Jésus Christ a-t-il méprisé quelques personne quelques soit sa religion ? Non, il a toujours raisonné ces derniers dans la paix et la douceur. La loyauté est un bien que le seigneur bénis. Le mépris est un péché. Vas ma fille, je vous accorde la paix du christ.

*Enfin finit… Bon, avec un peu de chance, elle va me laisser tranquille et me laisser partir… Pitié, qu’elle me laisse partir !*

Elle fus agréablement surprise de sa réponse pourtant on lui avait toujours dit de faire attention aux hérésies et ce prêtre lui dit tout le contraire de ce qu'on lui a toujours appris. Lucrèce Peterson a toujours été une femme très pieuse, trop pieuse d’après son mari mais ce n'était pas méchant. Mais ce prêtre semblait sur de lui, peut être, était ce un ancien protestant, ce devait être cela. Bizarrement il voulait qu'elle parte et la femme n'allait pas se laisser faire.

Mon père, si Jésus n'a jamais fait cela pourquoi tout le monde le demande ? Et puis mon mari ne veut plus baptiser notre dernier enfant, j'ai peur qu'il soit devenu un hérétique.

Non, elle voulait savoir cela pour être parfaite vis a vis de Dieu pour aller au paradis. Sa grand mère lui avait toujours dit qu'il fallait toujours demander a Dieu avant de faire un péché. Elle voulait aller au paradis pour rendre fière sa chère grand mère.

Mon père, est ce mal de médire sur mon mari si j'ai peu de preuves ou bien le très haut comprendrai mes doutes ?

C’était une question d'une importance capitale, elle voulait être sure de sa pureté pour aller au paradis. Son interlocuteur semblait nerveux et regardait la sortie comme s'il attendait qu'elle s'en aille. Mais Lucrèce était une femme pieuse qui voulait être sure de son acensions au paradis.Rien ne devait empêcher cela, son père l'avait obligée de se marier au lieu d'aller dans un couvent et on se demandait si ses enfants seraient comme elle ou plus comme leur père.

J'ai peur que mes enfants suivent leur père dans cette drôle de folie et je ne veux pas que mes enfants deviennent des hérétique. Surtout mon petit dernier qui n'est pas encore baptiser.

Elle respira calmement après avoir dit sa plus grande peur. Elle avait une peur bleue de ne plus avoir la situation en main ce qui l’empêcherait le paradis. Elle espérait que les questions du prêtre lui permette d'aller mieux pour qu'elle puisse partir rassurée.

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