friendship never dies ⚔ john&william

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 26/02/2014

John & William ♦ friendship never dies

Un beau jour du mois de juillet, le soleil était bien au rendez-vous. Il faisait chaud, et je voyais souvent les enfants jouer dans notre grand domaine. Je souriais. En effet, ma seule priorité dans ma vie est bien de les voir heureux et en bonne santé. Je me bats tous les jours pour montrer ma fidélité à la reine qui est en fait fausse. Je ne souhaite qu'une chose, que la situation soit bien vite rétablie, et que nous les protestants puissent vivre tranquillement sans que l'on puisse avoir peur pour nos têtes. Ça avait commencé avec la révolte de Wyatt il y a bien longtemps, où je ne devais dire aucun mot, mais approuver les actions de la reine de notre pays. Je dois dire qu'heureusement que mon père avait prévu le coup en m'enseignant l'art de la manipulation. Tout le monde croit maintenant que la famille Cavendish est très proche de la reine en lui jurant fidélité, ce qui n'était pas le cas bien sûr. J'avais peur pour mes enfants, mais surtout pour ma femme Antanasya, qui voudrait une chose, crier sur tous les toits qu'elle est protestante. Je craignais pour sa sécurité, et qu'elle fasse une erreur. Déjà elle m'avait appris qu'on avait tenté de l'assassiné, mais un garde était là pour la protéger. Il y avait plus de peur que de mal, dieu merci. On a gravement payé le garde et je lui en suis très reconnaissant. Je ne saurais quoi faire sans Antanasya. C’est vrai, on dit toujours que derrière tout grand homme, il y a une femme. Antanasya est une femme forte je le reconnais, et je suis fier d’être son mari.

Pendant notre séjour à Londres à l’occasion du mariage de notre Reine avec Philippe, je me promenais dans les rues de la ville. Tranquillement, je continuais à découvrir, comme à mon habitude, les environs. Il y faisait quand même bon vivre, mais j’avoue préférer le duché du Devonshire qui est bien plus grand. Je me demande si ce train de vie va être toujours le même. Je me souviens de mon enfance, notamment de John, avec qui je suis très proche. Je peux toujours compter sur lui, comme il peut compter sur moi. C’est un avantage puisqu’il fait partie de la garde rapprochée de la Reine, ce qui n’est pas rien. Même si je ne pouvais pas jouer de ma relation amicale avec lui, c’était quand même pas négligeable et ça me permettait de ne pas avoir de regards suspects envers moi. Arrivant au coeur de la ville, je sentais les différentes odeurs, allant de la boulangerie à la poissonnerie. Londres vivait, en plus d’être excité à l’idée que la reine allait se marier. Pour ma part, j’avais vu de meilleurs jours que celui-ci, mais je devrais montrer que j’étais tout aussi joyeux qu’est la Cour. Je faisais en effet partie de ceux qui ne sont pas favorables à ce mariage, mais ce qui se passe se passe, et on ne peut techniquement rien faire. Maintenant j’espère qu’une chose, c’est qu’elle n’ait pas d’héritier qui continuera à nous persécuter, nous obligeant à vivre dans la cachette. J’entrais donc dans une taverne, comme à mon habitude, pour boire un petit coup. Il y avait pas mal de monde ce jour-là, spécialement en ce moment, étant donné que quasiment l’Europe entière s’est déplacée en vue de cet évènement. L’humeur était à la fête, moi j’avais surtout la tête ailleurs. Me faufilant pour trouver une place où s’assoir, je reconnu John. « Bien le bonjour mon cher ami ! Quel joie de te retrouver parmi tous ces gens » lui dis-je alors en souriant. J’étais bien heureux de le retrouver, en ces temps en voilà un ami sur qui compter. « Comment vas-tu ? » continuais-je tout en m’asseyant à côté de lui. Puis vint la serveuse qui voulait nous demander ce qu’on voulait prendre. « Comme lui s’il vous plaît » lui répondis-je alors simplement. Elle s’en est allé juste après et revint dans la minute. Je lui payais sans difficulté alors ma boisson, prêt à la déguster. « Cette taverne fait toujours de bonne choses tu ne trouves pas ? » racontais-je à John ensuite.

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William et John

Ce mois de Juillet a été très mouvementé pour ma part. Il a fallu assurer les préparatifs du mariage de la reine Mary et Philippe. La chose n'avait pas été des plus facile, d'autant plus que de nombreuses tensions naissante se sont sentit au cœur de Londres les semaines précédentes. Il avait donc fallu également soutenir au maximum la sécurité de la reine et sa cour.

Voila trois jours qu'a eu lieu l'union sacré. Il n'y avait pas eu de graves complications, quelques désagréments par ci par là rien de plus. Cependant, lors du banquet organisé le soir même, un duc avait proposé un duel entre le meilleur combattant de chacun des deux régents. La reine, pour ma plus grande fierté, m'avait choisit. Tandis que le roi, lui, avait choisit un certain Gomez, comte espagnol. Le combat avait finit par dégénéré. En effet, nos niveaux au combat étaient quasiment identique. Un mouvement fourbe avait réussi à nous départager. J'avais perdu et avais été assez gravement blessé a l'avant bras droit, aujourd'hui bandé. Depuis, j'avoue n'avoir pas été très agréable. Ma fierté et mon honneur n'avaient pas été atteint mais j'avais été tellement en colère. Cette colère venait du faites que, si ce maudit espagnol avait voulu atteindre la reine, il aurait pût le faire. Et je n'aurais pas pût m'interposer. C'était grave, et très peu de personne avait compris mon point de vue.

Je suis assis tranquillement au comptoir d'une taverne afin de me changer les idées mais, seul, ce n'est pas facile. En toute discrétion, je suis vêtu d'une tenu simple. Une chemise blanche, une veste noir aux reflets bleutés et un pantalon noir. Mes cheveux blonds et un léger duvet bien dessiné encadrent mon visage. Mon regard est figé sur mon verre plein, je le fais tourné doucement entre mes doigts. Mon esprit est ailleurs quand subitement, une voix attire mon attention. Je tourne la tête et voit mon grand ami, William. Je souris alors, ravie, en me redressant un peu et me tournant sur ma chaise pour me retrouver face à lui.

William. Ca fait longtemps!

Tandis qu'il me tend la main, contrairement mon habitude je lui présente ma main gauche. Mon bras droit est en effet trop douloureux et j'évite autant que possible de le bouger. Nous entamons donc une poignet de main en guise de salue. Je l'invite ensuite, d'un geste de la tête, à s'asseoir à coté de moi.

Oh, tu sais, la routine depuis 3 jours...

... Hormis un petit imprévu. Je l'admet, assez gênant.

Je ris doucement en reposant mon bras sur le comptoir. Ignorant si William est au courant de ma défaite. Je ne souhaite pas lui cacher. Il est l'un de mes plus fidèle ami, et un confident auquel je livrerais tout mes secrets... sauf celui de ma réel identité. J'observe la jeune serveuse tandis qu'elle sert gentiment mon ami. Elle nous observe elle aussi, le regard embrasé et les joues rosies. Après tout, nous avions l'habitude et ça me rappel le bon vieux temps. Lorsque nous étions tout les deux, nous avions toujours eu une côte phénoménal avec les femmes. Je lui souris avant de poser à nouveau mon regard sur William.

Oui, sa réputation est très bien fondée.

Et toi comment va tu? J'espère qu'Antanasya et tes enfants se portent bien!

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 26/02/2014

John & William ♦ friendship never dies

Londres, ma ville natale que je connaissais par coeur. Seulement, il se passait tellement de choses dans cette ville, que je savais où donner de la tête. Ma priorité était de protéger ma famille coûte que coûte, mais il s'était avéré que les choses deviennent de plus en plus compliqué, à commencé par la mariage de la Reine. Je redoutais une seule chose, qu'elle ait un héritier et que donc nous devions partir, fuir le pays avant que nos têtes y passent. Au yeux de tout le monde nous étions très heureux pour le couple royal, mais c'était avant tout de l'inquiétude qui nous rongeait. Je tentais de rester serein avant tout, car avoir peur, signifierait que l'on cachait quelque chose où qu'on se sentait coupable. Ce n'était pas l'impression que l'on devait donner. Tout devenait très dur, surtout de voir des frères protestants se faire arrêter et se faire couper la tête sous nos yeux. On ne pouvait rien faire, sinon on allait y passer aussi. Je ne pouvais seulement espérer que la situation cesse, et que l'on ne puisse plus vivre caché, et qu'on ne puisse pas constamment s'inquiéter pour notre futur.

Une journée comme les autres. C'était vraiment une journée comme les autres. J'essayais d'avoir la tête ailleurs, de me concentrer à mon travail, mais aussi à mes amis les plus proches. Ce jour-là j'étais seul, mais pas pour longtemps. Je pouvais donc au moins compter sur un ami fidèle, John. Même si il est catholique je pouvais lui faire confiance. Je me doutais bien qu'il avait beaucoup de travail avec tous ces évènements, surtout le mariage de la Reine auquel de nombreux étrangers étaient venus à la cérémonie. J'avais donc eu pas souvent l'occasion de le voir. Puis après, je lui avais donné rendez-vous à la taverne de la ville, la plus réputée, pour discuter entre hommes, entre amis. Ce jour-là il y avait beaucoup de monde, et ayant beaucoup de travail, je suis arrivé plus tard que prévu. Lorsque j'entrai dans la taverne, j'aperçu John non loin, déjà assis avec une boisson à la main. Il fut assez surpris de me voir, je voyais bien qu'il avait l'air dans ses pensées. "Et oui, ça fait longtemps" lui dis-je avant de m'asseyant à côté de lui et de lui serrer la main en guise de salutation. Je me demandais en même temps ce qu'il avait à sa main droite, mais ne le questionnais pas dessus. "Je te souhaite bien du courage mon ami". Puis je comprenais bien pourquoi il écartait sa main droite qui était entourée d'un bandage à ma grande surprise. Je lui demandais alors ce qu'il s'était passé. "Tu m'en vois navré mon ami, qu'est-ce qui t'a mis dans cet état, toi qui est si brave ?" lui répondis-je. Il avait l'air gêné, s'était-il battu ? Je n'en savais point. À ce moment-là, une jeune serveuse m'apporta la boisson que j'avais commandé juste avant. Je remarquais bien ses joues roses, mais contrairement à John, je suis marié et amoureux. Je lâchais alors un petit sourire en retour à mon ami, qui ne durera pas très longtemps car cela me faisait rappeler un mauvais souvenir, du temps où j'allais dans d'autres lits que celui de ma femme. Je lui avais fait la remarque que cette taverne faisait de très bonnes choses. "Je suis bien d'accord, je ne suis pas déçu" lui répondis-je. "Moi je vais très bien, les enfants et Antanasya aussi, malgré tout, merci" lui dis-je alors qu'il me questionnait sur les nouvelles. "Et toi ? Comment ça va à la garde, pas trop de boulot ?" continuais-je ensuite. Il y avait beaucoup de monde à la taverne, et Londres était plus que vivante ces temps-ci.

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William et John

William et moi sommes de très bon ami. On parle même parfois de frères de cœur. N'importe qui pourrait nous prendre pour deux frère biologiques, si nous avions eu bien sur une quelconque ressemblance physique. Lui est brun aux yeux marrons, moi blond aux yeux bleus. Lui plutôt fin d'apparence, moi plutôt carré. D'autant plus que son allure est plus douce tandis que la mienne est brutal. Deux opposés qui s'assemble autour d'un verre. S'est certainement l'image que nous dégageons à chaque fois, et qui attire tant le regard de ces dames.

Je viens de lui dévoiler le bandage que j'ai autour de mon avant bras droit. Il semble surpris et me demande qui m'a fait ça, il n'a donc pas assisté à ma défaite le soir du mariage. J'en suis quelque peu soulagé, car le spectacle n'avait pas été beau à voir. Je le regarde.

Le seigneur Gomez... un sacré espagnol!

Je pose les yeux sur mon verre en joutant à nouveau avec lui en le faisant tourner sur lui même. Gêné, je ne sais si je dois en dire plus... oh après tout, s'est William, et j'ai quelque part besoin de me confier à ce propos.

John Herbert est enfin vaincu.

A la fin du combat, alors que je savais très bien que j'avais perdu... je n'ai pas pu admettre ma défaite et me suis laissé emporter. Tu m'aurais vu... Je crois bien que j'ai failli le tuer. Sa seule défense a été de parer mon bras.

Je lève les épaules et souffle en revoyant la scène. Mon impulsivité est l'un de mes plus gros défaut. Il est rare de me voir ainsi déchainé mais lorsque s'est le cas, je ne fais vraiment pas semblant. Similaire à un véritable lion, un furieux prédateur. Contrairement à ce que beaucoup raconte, je ne suis pas très fière de ce comportement. Mais personne ne se rend compte de la gravité de la chose, car personne n'est aussi inquiet pour la sécurité de la reine que moi. J'ai failli à ma tache : Donner cette image effrayante d'invaincu pour qu'on ne s'approche pas de Mary. A présent, j'ai ouvert une porte et vais devoir faire barrage afin que personne ne s'y engouffre. Ca ne va pas être de tout repos.
Soudainement, je me redresse. Je ne veux pas me morfondre sur mon sort, surtout pas en la présence de mon ami. Qui est d'autant plus protestant et qui n'a rien à faire de la sécurité de notre régente. Presque bien au contraire. Je ne veux pas y penser et le regarde pour lui sourire.

Enfin! Il n'y a pas mort d'homme. Voyons le bon coté des choses, je n'ai pas perdu mon bras!

Afin de contourner le sujet, je lui demande alors comment va ses enfants et sa femme, que je chéri presque autant que lui. Je tiens énormément à cette famille et la considère comme la mienne. Sa réponse m'intrigue cependant. Malgré tout quoi? Mon regard laisse apparaitre un peu d'inquiétude puisque j'en décèle également dans le sien.

En ce qui concerne la garde, le pire est certainement passé... bien qu'il m'arrive d'en douter en voyant le travail qu'il faut que je fasse sur mes nouvelles recrues!

Mais dis moi William, Anta à eu des problèmes?

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 26/02/2014

John & William ♦ friendship never dies

C'était une journée comme les autres. Même si la situation au dehors n'allait pas, que rien ne changeait, et que j'avais toujours peur pour ma famille, j'essayais de rester calme. J'essayais de même de rester positif quoiqu'il arrive, sinon cela allait empirer. Il ne fallait en aucun cas qu'un soupçon se porte sur nous et je tentais de tout faire pour que cela n'arrive point. Jamais John ne pouvait me trahir cela était certain, et son silence l'honorait. Je pouvais toujours compter sur lui en toutes circonstances. Avec nos occupations respectives, c'est vrai que l'on avait pas tellement le temps de se voir et de parler de tout et de rien. Surtout avec ce qu'il se passe en ce moment, avec le mariage royal et les rebellions protestantes, on n'avait pas un temps pour nous. C'est justement après ce fameux mariage que l'on s'est donné rendez-vous dans la taverne de la ville pour boire un coup et enfin souffler un moment. Je me trouvais alors à l'intérieur de cette taverne si réputée pour ces bonnes boissons. Cela me rappeler l'ancien temps où j'étais jeune, c'était le bon vieux temps désormais. Il y avait pas mal de monde déjà à cette heure, je devinais que beaucoup plus de monde n’allait pas tarder à arriver. Je me trouvais assis près de John. Quoi de mieux que de revoir son bon vieux meilleur ami lors d'une belle journée ? Rien. J'étais vraiment content de le revoir. Comme d'habitude on prenait la même boisson. On se racontait les dernières nouvelles. Il n'y avait aucune surprise, il se passait toujours la même chose dans Londres. Je connaissais la ville par coeur à vrai dire, même si j'avais l'habitude de voyager entre le domaine du duché et la capitale. Je pouvais m'offrir cette parenthèse pour venir ici à la taverne pendant qu'Anya est avec les enfants. On se comprenait John et moi et pour toute chose. On ne pouvait rien se cacher entre nous.

L'ambiance du bar était assez bonne. On pouvait entendre des rires à quasiment à chaque table. Enfin je savais qu'il n'y avait pas que cela, les chuchotements pouvaient signifier tout un tas de choses qu'il ne faudrait mieux pas dire tout haut. John, quant à lui, venait de me raconter sa petite mésaventure. Il me montrait son bandage. Je ne pouvais croire que le grand John Herbert puisse se blesser. "Un Espagnol qui plus est ? Comment cela puisse-t-il arriver ?" lui lançais-je ensuite. J'ai toujours pensé qu'avoir des Espagnols sur notre territoire, et un Roi consort de même nationalité qui plus est, était de mauvaise augure. "Ne t'en fais pas mon cher ami, disons que cela était simplement de la chance pour cet Espagnol. Il ne criera pas victoire très longtemps crois-moi" continuais-je. Je connaissais bien le caractère de John et cela était bien vrai que ça le frissonait de perdre. "Fort heureusement, tu es toujours là en bonne santé et c'est le principal ! Buvons !" lui répondis-je à sa remarque.

À la fin, on changeait de sujet. On conversait sur ma famille. John les connait très bien et cela était toujours un plaisir de le voir au domaine. J'étais assez inquiet certes, mais pour l'instant tout allait bien. Cependant je ne serais point surpris si j'apercevais un nuage à l'horizon. "Ça ne m'étonne point, les nouvelles recrues se comporte toujours de cette manière. Mais ils deviendront de forts gardes ensuite, grâce à toi mon ami" lui répondis-je. Concernant Anya, ce fut un autre problème. Oui chacun de nous deux avait ses petits tracas de la vie de tous les jours. On le savait bien, Anya a un caractère bien trempé. Elle avait d'ailleurs refusé de se convertir au catholicisme pour sauver nos têtes et j'avais bien peur qu'elle clame haut et fort ses convictions où qu'elles ne fassent une folie. "Et bien je ne sais pas si tu en as entendu parler, mais elle m'a avoué dernièrement qu'un homme a tenté de l'assassiner. Fort heureusement un de tes gardes se trouvait à cet endroit et avait pu la sauver, Dieu merci !" lui racontais-je. Je pouvais tout de même compter sur John, mon ami le plus proche, puisqu'il est le commandant de la garde royale. "Puis-je te demander ton aide ?" finis-je en le regardant.

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Sujet: Re: friendship never dies ⚔ john&william

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