Catherine Holmes

« You’ll still be here tomorrow, but your dreams may not…. » TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM ♦ Catherine Holmes AGE ♦ 20 ans DATE DE NAISSANCE ♦ Le 29 décembre 1535 ORIGINE ♦ Anglaise SITUATION FAMILIALE ♦ Fille aînée de parents aimants mais exigeants MÉTIER ♦ Jeune fille noble GROUPE ♦ Noblesse anglaise CRÉDITS ♦ PixImgGif.com LE JOUEUR PSEUDO ♦ KatieKat AGE ♦ 18 ans OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦ En voguant sur internet, entre deux épisodes de séries TON AVATAR ♦ Katia Winter VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦ Fictif

▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦ Catherine est protestante autant qu’elle est anglaise, et pour elle, l’un ne peut s’envisager sans l’autre. Néanmoins, elle n’est pas idiote et a bien compris que ses opinions ne sont pas de celles qui plaisent à la cour. Alors elle vit sa foi en secret, évitant autant que faire se peut de mettre les pieds dans une église ou de prier en public. Si elle a une opinion politique, elle la cache aussi bien que sa foi. Mais en son for intérieur, elle désapprouve toute cette intolérance, ces bûchers, cette violence qu’elle juge aussi inutiles que preuves d'un monarque faible.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA REINE D'ANGLETERRE? ♦ Catherine est d’avis que, si l’on surnomme la reine « Bloody Mary », ce n’est pas sans raison. Elle qui déteste toute forme de violence reste horrifiée devant les massacres, les exécutions sommaires et la terreur qui se répand dans tout le pays. La jeune fille n’est pas pour autant persuadée qu’Elizabeth ferait une meilleure reine : après tout, elle et Mary sont filles d’Henry VIII, elles doivent toutes deux partager le fanatisme de leur père… Mais n’importe qui est, selon Catherine, préférable à Mary la Sanguinaire.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRESENCE DES ESPAGNOLS EN ANGLETERRE ET DU MARIAGE DE LA REINE ? ♦ Les seules personnes plus catholiques que Mary, à savoir les Espagnols, n’ont pas les faveurs de la jeune aristocrate. Pour ce qui est du mariage de la reine, si elle n’oserait jamais exprimer cette pensée à haute voix, Catherine n’en pense pas moins que c’est la plus énorme bêtise de celle-ci depuis son accession au trône. Cette alliance n’apportera aucun bienfait au royaume, la demoiselle en est convaincue : l’Espagne est un État perpétuellement endetté, les Espagnols ont des mœurs beaucoup trop rigides pour un pays aussi moderne que son Angleterre chérie et le chef de ce peuple n’a à son goût pas l’étoffe d’un roi d’Angleterre.

▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦ Catherine est loin d’être stupide, et elle ne montrera jamais le moindre signe qui lui serait fatal. Elle cachera sa foi et ses convictions jusqu’au jour où elle pourra les exprimer sans craindre pour sa vie, mais d’ici là, elle est prête à faire des compromis. Après tout, elle est l’aînée de sa famille, elle doit faire un beau mariage et s’assurer une place dans le monde, alors autant être prudente et vivre en apparence heureuse, quitte à faire des sacrifices.

Le monde peut dormir tranquille,

il ne fait qu’un rêve à la fois

Catherine Victoria Holmes naquit un 29 décembre, en pleine tempête de neige. L’hiver était rude, tous en souffraient, nobles comme roturiers. On avait même craint pour la santé de la mère, qui se plaignait régulièrement du froid qui traversait les murs de pierre de la demeure. Mais pour finir, l’enfant était arrivée en pleine santé. Elle fut baptisée selon la foi de la famille, c’est-à-dire la foi protestante. Elle survécut à un hiver, puis un autre, et encore un autre, jusqu’à ce que le duc se persuade qu’elle ne mourrait pas et que son premier enfant serait bel et bien une fille.

Très vite, il apparut clairement aux yeux de la maisonnée que la duchesse Arabella Winthorpe ne souhaitait pas être une mère poule. Cessant d’allaiter sa première fille dès que cela fut possible, elle laissa grandir celle-ci entre les mains des gouvernantes et des précepteurs. Catherine grandit en toute quiétude, devenant une ravissante fillette aux cheveux roux et aux yeux verts comme ceux de sa mère, souriante et polie. Le père, Nicholas Holmes, duc de Nottingham, laissa les choses en l’état pendant sept années, mais suite à la naissance de deux autres filles, il se résolut à éduquer son aînée comme il aurait élevé un fils héritier.
À part le maniement des armes, Catherine eut donc droit à tous les enseignements possibles : politique, histoire et géographie, culture musicale et littéraire, ainsi que les inévitables leçons d’étiquette et de maintien. On aurait pu craindre que la jeune fille se lassât de tout cet apparat, mais cela ne fut pas le cas. Au contraire, elle en demandait toujours plus, discutant politique et poésie lors des moments de pause, étonnant chaque jour son paternel par sa curiosité et son intelligence.

Sa mère, s’étant un temps désintéressée de ses enfants, sembla bientôt vouloir se rapprocher de la première d’entre elles. Mais Catherine, âgée alors de quinze ans, n’avait pas oublié la longue période d’abandon maternel, durant laquelle elle avait plus qu’assumé son rôle d’aînée auprès de ses sœurs Aliénor et Edith, leur contant des histoires au moment d’aller au lit, les rassurant après un cauchemar ou leur apprenant des jeux divers et variés qu’elle inventait au fur et à mesure. Elle dissimula son ressentiment, expérience utile dont elle devait se souvenir quelques années plus tard, lorsqu’il ne fut plus bon d’être protestant aux yeux de la Couronne.
Elle suivit la duchesse dans la société londonienne, sans faire de remous ni provoquer d’étincelles, apprenant en silence durant trois longues années, qui lui parurent une éternité. Elle devint une jeune adulte toujours aussi avide de savoir, mais elle de surcroît, idéaliste, espérant toujours le meilleur pour elle-même et ceux qui l’entouraient. Mais avoir des idéaux n’était pas tant une qualité qu’un défaut dans ce monde où les attaques les plus mesquines étaient loi. La jeune fille dut alors apprendre à dissimuler, encore et toujours, ne montrant jamais ses sentiments, ni sa vraie nature, généreuse et douce. Elle développa un sens de la répartie et une ironie acerbe qui achevèrent de la rendre intouchable, et ne prit jamais part aux intrigues de la cour.

Lorsque le roi Edouard VI mourut, sa mère la renvoya à Nottingham, auprès de son père et de ses sœurs, jugeant son éducation complète et surtout, attendant de voir la suite des évènements avant d’engager plus avant sa progéniture dans la vie alors animée et dangereuse de la cour anglaise.
Catherine retourna à la campagne, auprès de son père bien-aimé et de ses sœurs, qui entretemps avaient bien grandi elles aussi. Mais elle avait changé, et son entourage le remarqua. Elle avait perdu l’habitude de sourire, d’un vrai sourire, comme lorsqu’elle était enfant, un sourire qui éclairait ses yeux. Elle ne mentait pas, était toujours aussi polie, mais ceux qui l’avaient connue auparavant sentaient que la véritable Catherine Holmes s’était enfouie sous un vernis protecteur.
Les évènements politiques se succédèrent cet été-là, et les rides au front du vieux duc se firent plus nombreuses et plus marquées. Les discussions avec sa fille aînée étaient vives, et parfois se terminaient par des portes claquées, sans que personne ne comprenne véritablement pourquoi. En réalité, le duc était d’avis que Mary Tudor allait durablement accéder au trône, et qu’il valait mieux pour toute la famille qu’ils se convertissent à la religion catholique, ce que Catherine désapprouvait fortement. La duchesse rentra de Londres à la mi-octobre, Mary ayant été couronnée Reine d’Angleterre, et mit fin à la discussion : la famille resterait protestante, mais se ferait discrète, encore plus discrète qu’auparavant.
Une année plus tard, Mary restant sur le trône d’une manière qui semblait définitive, Arabella décida d’envoyer son aînée à la Cour. Le duc Nicholas était malade, et avait dépassé la quarantaine : il était temps que Catherine trouve un mari qui pourrait reprendre le domaine, et où trouver de meilleurs appuis qu’à Londres ?

C’est donc à contrecœur que la jeune aristocrate quitta la campagne une seconde fois, arrivant à la Cour peu après les festivités du Nouvel An, âgée de vingt ans et plus belle que jamais, espérant trouver une place auprès d’une noble de plus grande envergure (par envie) et un mari (par devoir)…

Félicitation!

Ta fiche est vraiment géniale En plus ça nous fera une protestante en plus

Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à jouer avec nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien et de rp [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum.

Par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], tu peux aussi faire une demande de rang et d'habitations, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle surtout à l'époque

Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]!

Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et maintenant voilà le flood de ton groupe [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à Londres peut parfaitement commencer