♕ Métier : Princesse d'Angleterre ♕ Age : 25 ans ♕ Religion : Celle que me dictera ma souveraine. ♕ L'avatar a été fait par : fassophy ♕ Mon nombre de messages est : 3524 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 11 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 11/09/2012 ♕ Mon pseudo web est : Mari-Jane ♕ Mes autres visages : Antanasya Cavendish - Constance Bennet - Edward Seymour
Sujet: La princesse et le chevalier noir ♣ avec Mark Earnshaw Mar 26 Mar - 15:35
La princesse et le chevalier noir.
Appartement d'Elizabeth à Whitehall 15 Août 1553
Le crépuscule venait de tomber sur le palais de Whitehall, la pluie tombée drue en cette journée d’août. Temps typiquement anglais qui faisait le bonheur des paysans qui ne seront pas les victimes d’une sécheresse. Au contraire, la pluie faisait le malheur des nobles et des personnes qui ne supportaient pas d’être enfermé ainsi. Elizabeth était une fille du grand air, à Hatfield House, elle était toujours dans les jardins ou dans les alentours se promenant ou galopant avec sa jument préférée. Cela faisait deux jours qu’elle ne sortait pas, restant enfermé dans ce sordide palais chargé de fantômes et ne pouvant fuir ailleurs. En ce lieu, elle devait supporter tous les visages qui lui étaient désagréables, ses ennemis, les servantes qu’elle n’avait pas choisis et surtout celui de lady Bates, cette femme désobligeante qui ne cessait de la scruter et de lui donner des ordres cachés à chacune de ses phrases. Elizabeth le savait, elle ne pouvait rien dire, elle devait obéir et se taire, comme Mary Tudor, sa sœur, la reine l’attendait. Le soleil venait de se coucher et lady Elizabeth se trouvait seule en compagnie d’une servante dans ses appartements. Assise sur un fauteuil, devant une longue table, seule, elle prenait tranquillement son repas, picorant çà et là un morceau de poulet ou du raisin. Le vin était sa boisson, puisque comme tout le monde le savait, l’eau n’était pas potable et cela même à la cour. En regardant la pièce, simple et bien moins luxueuse qu’une princesse se devait d’avoir, Elizabeth se laissait aller à certaines rêveries. Elle était présente à Londres depuis peu, mais elle voulait déjà repartir, cependant la jeune fille le savait elle ne pourrait pas quitter la capitale, tant qu’Edouard n’aurait pas eu ses funérailles, mais aussi pas avant que sa sœur n’ait été couronné.
Durant la matinée, Liz avait rendu une visite à sa sœur, dans la salle du trône, lui présentant son programme de la journée, mais aussi son envie de prier avec elle pour rendre hommage à leur frère. Les deux sœurs unies dans la prière autour du corps de ce jeune homme foudroyé dans la fleur de l’âge. Elizabeth n’en revenait toujours pas que ce frère si vigoureux, si gentil était mort, si vite, sans qu’elle n’ait pu lui dire adieu. L’annonce de la mort du roi était arrivé à Hatfield plusieurs jours après et dès qu’elle l’apprit, la jeune lady n’avait pu empêcher la tristesse l’étreindre. Même si elle ne voyait plus aussi souvent qu’elle le voulait, elle avait été élevée avec ce petit frère et tous deux étaient liés par un certain lien. Lui rendre hommage en compagnie de Mary avait été pour elle un moyen de montrer au Seigneur que plus aucun sang ne serait versé sur ce si jeune corps. La jeune femme espérait que bientôt tout cela prendrait fin, que Mary serait définitivement reine et qu’Edouard retrouverait enfin le repos. Elle souhaitait aussi renouée des liens avec sa sœur, lui montrer sa bonne foi, mais aussi qu’elle la soutenait. Mary était la vraie reine d’Angleterre et uniquement elle, leur père l’avait désigné ainsi, Edouard était le premier, puis Mary et enfin elle, si Dieu le souhaitait ainsi. Quand le roi avait nommé Jane Grey pour être son héritière, Elizabeth avait vite compris que tout cela venait de l’influence du lord Protecteur, Jane étant sa belle-fille, il aurait été le nouveau père du roi. Par chance, son ambition avait été déchu, Mary avait repris la couronne qui lui revenait de droit et l’ambitieux avait péri. La rousse n’en voulait pas à Jane, elle était sa cousine, mais tout comme Edouard, elle n’avait été qu’un pantin, sacrifié selon les envies d’un seul homme. Tout cela était injuste pour elle, mais pour la couronne, elle le comprenait, sa cousine représentait un réel danger, elle était le symbole d’une résistance contre la reine, il était donc normal qu’elle ait été emprisonné, tout comme son mari et la famille de celui-ci. La jeune femme méprisait les Dudley pour ce qu’ils étaient, des hommes ambitieux, voulant s’approprier les choses qui ne leurs appartenaient pas. Mary avait bien agi, elle l’avait fait pour le bien de l’Angleterre et uniquement cela.
La jeune femme, éclairée à la lueur des bougies, demanda à sa servante de lui verser à nouveau du vin, puis de partir. Elle voulait être seule, on pouvait bien lui accorder cela dans ses propres appartements. Non ? La femme accomplit sa tâche, puis elle quitta discrètement la pièce, laissant la jeune femme seule en compagnie des nombreux fantômes du palais. Par chance, ses appartements n’étaient pas décorés des nombreux portraits familiaux, elle n’aurait pas supporté vivre sous les regards scrutateurs de ses ancêtres ou pire sous les yeux sombres de son père. Son regard se posa sur l’une des fenêtres qui étaient fouettés par cette violente pluie, elle prit son verre de vin et s’installa plus confortablement dans son fauteuil, une attitude indigne d’une princesse, mais synonyme de liberté. Qu’elle était bien seule.
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Sujet: Re: La princesse et le chevalier noir ♣ avec Mark Earnshaw Dim 31 Mar - 0:21
La loyauté ? Qu'est-ce donc réellement. En tout temps, l'Homme a parlé de cela, pour bien des choses, un idéal, une personne, une famille, un pays, ou d'autres choses encore. Mais, qu'est-ce que cela implique vraiment ? Et, quand est-ce qu'une loyauté est sincère ? En ces temps qui nous intéresse, ce mot ne valait finalement pas grand chose. Des allégeances étaient jurées, ce qui, intrinsèquement, demandait une loyauté à toute épreuve, alors que … Bien des fois, des mois après, voire des semaines même des fois, et même une poignée de jours plus tard, cette promesse n'existait plus. Des armées étaient levées, des guerres déclenchées, et des assassinats commis. Cela dit, il me faut vous rassurer sur un point. Tous n'étaient pas comme ça. C'est le cas pour au moins un homme, Mark Earnshaw, compte de Norfolk, et combattant reconnu de la garde royale. Cet homme suivait une longue familiale, qui, depuis de nombreuses générations, forgeait de grands guerrier pour protéger les souverains de l'Angleterre. Lui, pour ne rien vous cacher, n'était pas particulièrement emballé par cette idée, mais, s'y est fait petit à petit, jurant de mettre sa vie en jeu pour protéger ceux qui devaient être protégés. Et, à l'époque qui nous intéresse, ce brave était au service de Mary première du nom, dont l'Histoire gardera en mémoire un surnom peu flatteur « Mary la sanglante ». Il l'avait aidé à reprendre ce qui lui venait de droit suite à la mort de son père, le trône, en possession de Jane. Cela dit, bien qu'il fut au service de la reine, celui qui rêvait de devenir chevalier occupait un poste un peu spécial, il devait s'occuper de la sœur de la reine, la princesse Elizabeth. Une des plus belles fleurs de tout le royaume, une jeune fille douce et agréable, bien que maligne et taquine, au moins avec son protecteur. Protecteur qui avait aussi un autre rôle, celui de la surveiller étroitement, la reine l'envisageait comme une traîtresse potentielle. Chose à laquelle le comte ne croyait absolument pas, connaissant suffisamment bien la jeunette pour savoir qu'elle ne trahirait pas sa sœur, mais, il accepta sans dire mot la mission imposée. Après tout, protéger continuellement la princesse n'était pas si mal. Pour tout le monde j'entends. Cela éviterait bien sûr au royaume de pleurer une telle perte, et, pour Mark, être auprès d'elle réchauffait son cœur. Quel cruel destin. Lui qui n'avait jamais voulu s'attacher à nulle femme, ressentait des choses qu'il ne fallait pas pour sa princesse, même si, cela faisait de lui le meilleur garde du corps que la demoiselle pouvait avoir.
Je vais cesser de vous ennuyer avec tout ces détails, et rentrer dans le vif du sujet. Si je vous ai raconté tout cela, c'est que l'on m'a demandé de vous conter un petit récit ou notre cher Mark passe du temps avec la délicieuse Elizabeth. Sans doutes comprendrez-vous certaines choses. Dans tout les cas, l'on m'a dit que certains voulaient tout savoir sur lui, je serai donc votre guide.
L'action se déroule dans le palais de Whitehall, le Soleil venait de laisser place à sa lointaine cousine, la Lune, laissant resurgir des peines du passées, sûrement de lourdes blessures au vues des larmes que le ciel laissait tomber sur les hommes en cette soirée d'été. Le garde était là depuis plusieurs jours, devant la porte des appartements de la princesse, à l'affût de n'importe quel bruit suspect, la main en permanence sur le pommeau, prêt à dégainer, et à ôter la vie à quiconque s'approchera des idées noires plein la tête. La princesse n'était pas sortie depuis des jours, restant là à l'intérieur, sans doutes à broyer du noir, repensant à ce douloureux enterrement dont il l'avait lui-même escorté, honoré par cette mission. Seulement, les jours passaient, et, le combattant s'inquiétait de plus en plus pour la jeune femme. Rester enfermée, seule, à ne rien faire n'était pas bon. Enfin, seule … C'était sans compter sur la présence de Martha, la femme à tout faire, qui passait ses journées dans les appartements de la dame. Une femme … Que Mark n’appréciait guère, désagréable, hautaine, et très vieux jeu -en plus d'être peu agréable à l’œil- tout ce qui insupportait. De son point de vue d'ailleurs, il valait mieux rester seul, que de l'avoir avec soi.
Depuis des jours, il réfléchissait à comment faire retrouver le sourire à sa dame, ou au moins la couper dans sa solitude dépressive. Ce fameux soir, il y réfléchissait encore, espérant de tout cœur trouver quelque chose, quand soudain, la grande porte de ses appartements s'ouvrèrent, et le pas lourd de Martha se fit entendre, accompagné de quelques grommellement, la vieille femme semblait peu contente et se dirigeait vers la cuisine. Intérieurement, il sourit. C'est alors que la tentation devint tout à coup insupportable. La porte mal fermée laissait l'esprit du garde vagabonder à l'intérieur de cette fameuse chambre, espérant que la belle rousse aille bien. Petit à petit, cette tentation grimpait, grimpait, et grimpait, jusqu'à devenir intenable. Alors, il frappa deux coups lourd sur le bois épais, avant de s'annoncer.
« Ma Dame, je me permet d'entrer. »
Alors, après avoir poussé le battant, le noble pénétra les quartiers princiers, avant de clore l'entrée à ceux-ci. D'un rapide coup d’œil il observa la princesse, et son cœur s'emballa. Dieu qu'elle était belle ! Sans doute la plus belle des rousses sur laquelle ses yeux ne s'étaient jamais posés, et, elle semblait s'embellir de jour en jour, quelle dangereuse attaque envers son cœur si fragile … La belle semblait si triste, regardant par la fenêtre, installée confortablement sur son fauteuil, une coupe à la main. L'éclat de ses yeux pinça le cœur du guerrier, l'on pouvait y lire une certaine tristesse. Il fallait faire quelque chose. Mark s'avança de deux pas, se courba comme le voulait le protocole, lâchant un petit « Ma Dame », avant de s'approcher encore d'elle, profitant au mieux de ses traits, puis, de son odeur, et enfin, de ses yeux.
« Veuillez me pardonner pour mon intrusion, mais … Je me fais du soucis pour vous. Vous voilà cloîtrée depuis des jours ici, avec pour seule compagnie Martha. Ah ! Martha ! Combien de fois l'envie de l'égorger ma pris ! J'ignore comment vous faites princesse ! »
Il rit un court instant, avant de se rendre compte que la remarque était complètement déplacée, et s'excusa sur le champs, continuant ainsi ce qu'il avait à dire.
« Je m'excuse … Mais … Je pense que cela n'est pas une bonne chose. Certes, votre sœur veut que vous soyez surveillée, mais, vous devriez faire quelque chose. Tenez ! Que diriez-vous d'une petite ballade ? Tout anglais qui se respecte doit aimer de se promener sous la pluie ! Qu'en dites-vous ? Et puis, avec moi, personne ne vous dira rien, et surtout, rien ne vous arrivera. Seulement … Essayez de ne pas me rendre chèvre. Je veux dire, peut-être suis-je l'un des seuls dans cette demeure à avoir une confiance absolue en vous et à vous être sincèrement dévoué. Vous devriez me ménager un peu. »
Il sourit avec douceur, il essayait de la faire sourire, de lui ôter ce fâcheux masque de tristesse qui salissait tant son doux visage, et meurtrissait tant l'âme de son dévoué garde du corps. Se promener la nuit, sous la pluie avec la princesse de ce Royaume ? N'existe-t'il pas meilleure perspective ?
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❝ Elizabeth Tudor ❞
Admin ♛ « Princesse et bâtarde d'Angleterre. »
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Sujet: Re: La princesse et le chevalier noir ♣ avec Mark Earnshaw Dim 7 Avr - 14:06
La princesse et le chevalier noir.
Appartement d'Elizabeth à Whitehall 15 Août 1553
De sombres jours attendaient cette princesse anglaise, des dilemmes, des choix, sa vie n’allait pas être de tout repos. Méfiante envers tout le monde, Elizabeth Tudor le savait, elle n’avait pratiquement pas d’amis ici. Pourtant, lors de son arrivée à Londres, en compagnie de sa sœur la reine, elle avait touché l’espoir. La vie à Londres ne pouvait pas être si terrible que cela. Acclamée, elle l’avait été tout comme sa sœur et ses questions quant à ce geste de la part de la populace trouvèrent bien vite des réponses. Elle était une victime de l’histoire, une martyre de son père, celle à qui on avait tué la mère, relégué au rang de bâtarde, avant d’entrer à nouveau en grâce. La rousse était aussi celle qui avait souffert du joug des Seymour, rabaissait sans pouvoir se défendre, puis il y avait eu Northumberland, celui qui avait tenté de lui retirer son héritage à elle et sa sœur. Le peuple aimait les victimes et adorait les vénérer, voilà pourquoi il avait préféré Mary à Jane Grey. La nouvelle reine d’Angleterre avait énormément souffert des actions de leur géniteur. Henry VIII selon ses désirs avaient déshonoré ses filles, les traînant presque dans la boue. Elizabeth ne pouvait lui en vouloir pour tout cela, elle admirait son père qu’elle voyait comme un homme qui n’avait jamais commis d’erreurs et qui avait fait de grandes choses. La jeune femme n’arrivait pas à le voir autrement, il a été un homme puissant, malgré les choses qu’il avait faites, avec courage il avait retiré l’Angleterre du joug papale et cela, seul un Tudor pouvait le faire. C’était de cet héritage que la bâtarde se revendiquait et contrairement à sa sœur, elle ne voulait en rien mettre à néant l’œuvre de son père. Seule dans ses appartements, un verre de vin à la main, Elizabeth savourait ce moment de liberté où elle pouvait être elle-même, sans avoir à porter un masque. Martha la servant n’était plus là, nom de Dieu qu’est-ce que ça pouvait faire du bien de ne plus l’avoir entre les jambes. Enfin, elle respirait, mais plus pour longtemps, puisque sans qu’elle en donne l’autorisation, son garde royal personnel, Mark Earnshaw entra dans la pièce. Avec lui, la bâtarde ne mit pas les formes et resta toujours dans la position décontractée dans laquelle elle était. Même si elle était méfiante à l’égard de l’homme, elle savait très bien, qu’il n’irait pas la dénoncer pour un moment où elle n’avait pas le comportement d’une princesse. L’homme la salua, ce à quoi la jeune femme répondit d’un signe de tête. Elle n’eut même pas le temps de poser sa coupe de vin pour lui demander la raison de sa présence, qu’il reprit la parole. Mark semblait s’inquiéter pour elle, et de son enfermement, en particulier en compagnie de Martha qu’il ne semblait pas aimer. Elizabeth ne put s’empêcher de rire et invita l’homme à s’installer face à elle et sans qu’elle ne lui demande, elle lui versa une coupe de vin, Mark ne refusait jamais un bon alcool.
« Je me demande bien ce que Martha a pu bien vous faire subir pour que vous la détestiez autant. Il est vrai qu’elle a tout de la vieille mégère, mais elle peut être très gracieuse vous savez. » Disait-elle sur le ton de la moquerie.
Martha gracieuse ? Jamais ! Et Elizabeth ne s’étonnait pas de savoir qu’elle était une ancienne servante de Mary, plus frigide, cela n’existait pas. Cette femme devait baigner dans une ambiance stricte et pieuse depuis sa tendre enfance pour être ainsi. La princesse détailla l’homme de haut en bas, comme à son habitude. Le fait qu’elle aimait depuis toujours les hommes n’étaient pas connus, la jeune femme vivait dans le secret, et personne ne pouvait savoir qu’elle aimait charmer et être charmer par un homme. Le plus drôle, c’était qu’elle jouait de cela avec toute personne ayant un tant soit peu gagner sa confiance. Mark de son côté souhaitait la faire sortir dehors, pour voir autre chose que l’atmosphère de ses appartements. A l’entente des mots de l’homme, elle ne put cependant pas s’empêcher d’éclater d’un doux rire, il était vrai que parfois, elle y allait fort avec Mark, jouant avec ses nerfs et parfois bien plus. Voulait-elle vraiment arrêter son jeu ? Probablement pas, le garde royal était son unique distraction à Whitehall et elle ne voulait certainement pas la perdre.
« La dernière fois que je suis sortie sous la pluie, je suis tombé très malade. Voulez-vous me tuer Mark ? » Disait-elle d’un sourire amusé. « Je pense rester ici, après tout en votre présence mes appartements deviennent plus lumineux, à croire que vous possédez un quelconque pouvoir sur mes humeurs. En ce qui concerne de vous ménager, je réfléchirais à cela plus tard.» Continua-t-elle tout en gardant son sourire.
Sa coupe de vin étant vide, la jeune femme la remplie à nouveau et sans l’aide d’une quelconque servante, à croire que la noblesse et les rois voulaient absolument être servis pour n’importe quelles actions. Elizabeth préférait le faire elle-même et si un jour elle en devenait pas reine, elle comptait bien rester à jamais, une femme libre, sans mari, mais avec tout de même des hommes dans son entourage. Après tout, sans eux, les femmes ne seraient rien.
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Sujet: Re: La princesse et le chevalier noir ♣ avec Mark Earnshaw
La princesse et le chevalier noir ♣ avec Mark Earnshaw