Sujet: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 3:27
Olympe Nightingal
" Répondre présent à l'appel de ceux qu'on aime n'est pas un service, mais un devoir à remplir de tout coeur "
TON PERSONNAGE
PRÉNOM & NOM Olympe Nightingal AGE 25 ans DATE DE NAISSANCE 7 Août 1528 ORIGINE Anglaise SITUATION FAMILIALE Célibataire MÉTIER Assistante dans la forge de son père GROUPE Le peuple CRÉDITS Liline (avatar) & Tumblr (Gif)
LE JOUEUR
PSEUDO Mr. Yasu AGE Dans la vingtaine OU AS-TU CONNU LE FORUM? Via PRD TON AVATAR Bridget Regan VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? Personnage fictif VOULEZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ? Je ne dis pas non
Audience devant la reine.
▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? J’ai toujours été catholique. Mes parents étaient de cette religion et m’ont éduqué dans les valeurs de cette dernière. J’en ai d’ailleurs toujours été très pieuse et extrêmement respectueuse jusqu’à mon septième anniversaire. Je tenais cela de ma mère qui n’avait de cesse de me répéter qu’il était très important de louer le seigneur, notre Dieu, et de témoigner dés que possible de notre affection à son égard et de notre foi. Voilà pourquoi il m’arrivait de prier plusieurs fois par jour, que cela soit au réveil, juste avant les repas ou encore juste au moment d’aller me coucher. Elle m’accompagnait dans chacun de ces petits rituels et je me faisais un point d’honneur à respecter cet engagement qu’elle attendait de moi. Pourtant, depuis qu’elle est partie, qu’elle nous as quitté, je ne peux dire que j’ai renié ma foi. Mais je conserve au sein de mon cœur une certaine forme de colère et de rancœur face à notre Dieu. Lui qui est louange, clémence, amour et bienveillance, il n’a pourtant eu aucun scrupule à nous arracher l’une de ses plus grandes fidèles. Il ne s’est pas retenu d’emporter de sa main salvatrice l’âme de ma mère et de mon futur petit frère, qui ne vit jamais le jour. Oui, j’ai continué de croire en lui mais je n’ai plus continué de l’honorer aussi régulièrement et aussi souvent que par le passé. Car, à quoi bon passer sa vie à prier et démontrer notre foi pour finalement partir en premier ? Qui plus est, j’ai appris que la foi ne se vivait pas dans la déclamation d’une prière, mais simplement dans ce que nous ressentions dans notre cœur et dans notre esprit. Si j’en appelle encore au Seigneur aujourd’hui, ce n’est que pour lui demander de veiller sur mon père et mon frère. Et de transmettre également à ma mère mes messages d’amour. Quant aux changements qui se trament et semblent secouer les hautes sphères de notre royaume, j’estime que le protestantisme n’a pas lieu d’être. Nos fondements sont catholiques. Plus que la foi d’une personne, il s’agit des croyances et des coutumes de toute une nation entière. Il en a toujours été ainsi. De ce fait, je ne vois pas pourquoi nous devrions nous retrouver face à l’imposition d’un nouveau courant et d’un nouveau culte totalement différent de ce qui nous a construit et guidé jusqu’à présent. La Religion ne devrait pas dépendre d’une couronne ou d’un seul individu. La Religion doit dépendre de nos cœurs ! Et ceux qui ne le comprennent pas ne sont pas seulement ennemis du catholicisme, mais ennemis de tous ses fidèles !
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA NOUVELLE REINE D'ANGLETERRE? Je n’ai jamais été la plus friande des histoires pouvant se dérouler au sein de la cour. Et pourtant, je sais reconnaître en Mary Tudor notre souveraine légitime et celle à qui nous devons la plus fidèle des allégeances. Je respecte énormément notre reine pour la préservation de nos croyances religieuses et de nos cultes mais, aussi, par influences de mon oncle. J’aimais profondément mon oncle. Il croyait en sa cause, il croyait en la valeur de son combat et de sa détermination. Une croyance en sa valeur et une détermination qui furent telles que je ne pus qu’aller dans son sens, dans celui de ma famille et de prendre conscience de cette réalité : le trône revenait de droit à Mary Tudor. Elle était l’héritière au trône que le pays se devait d’avoir. J’admire d’ailleurs beaucoup cette royauté pour avoir su se battre, pour avoir su se soulever et pour avoir repris ce qui lui était dû. C’est dans la force, le courage et la hardiesse que l’on reconnait les valeurs d’un grand souverain. Et pour parvenir à cette place que lui conférait, pourtant, la légitimité de son sang, Mary Tudor a su faire preuve de cette hargne et de ce courage qui feront d’elle, j’en suis persuadée, une noble et grande souveraine pour notre pays.
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE JANE GREY? Jane Grey n’avait rien à faire sur le trône. Cette place ne lui revenait pas de droit. Et si elle fut destituée aussi rapidement, c’est qu’elle n’avait pas l’étoffe de devenir notre nouvelle souveraine. Mon père m’a toujours dit que le statut d’une personne dépendait de sa capacité à défendre son rang, son honneur et ledit statut. Si cette personne n’en n’était pas capable, alors c’est qu’elle n’en n’était pas réellement digne. Telle est la considération que je porte à l’égard de Jane Grey. Sans doute il y a-t-il derrière tout cela une immense machination et autres jeux de pouvoirs. Je peux en accepter l’idée, bien sûr. Mais je ne peux accepter de ressentir de la pitié pour une femme qui était ‘l’ennemie’ de celle pour qui j’ai prêté allégeance. Jane Grey a joué. Jane Grey a perdu. Je ne courrai pas lui apporter la mort, mais je ne me précipiterai pas non plus pour l’aider à sauver sa tête. Comme le disaient les romains en leur époque : Alea Jacta Est ! Le sort en est jeté. Ainsi soit-il !
▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? Ma cause est unique : aider, soutenir et permettre à la personne qui m’est le plus cher d’atteindre le but qu’elle s’est fixée. Isolde veut retrouver l’assassin de son père et le châtier pour ce crime ? Alors je serai à ses côtés jusqu’au bout et n’aurai de cesse de continuer la route tant que ce devoir n’aura pas été accompli. Je ne me cache pas de cette présence à ses côtés. Je ne me cache pas de l’aider dans ce but. Et je me cache encore moins lorsqu’il me faut sortir mon épée afin de continuer la route. Toutefois, si je ne crains pas pour ma vie, je crains pour celle de mon père et de mon frère. Je ne sais où notre croisade nous conduira. Je ne sais vers quelles sordides découvertes nous irons. Tout ce que je sais, c’est que je ne peux mettre ces deux hommes de ma vie en danger inutilement. Ainsi, j’accepte de me présenter telle une bâtarde sans nom afin que rien ne puisse les relier à moi, qu’ils puissent rester à l’écart de cette route meurtrière et vengeresse. Leur faire perdre la vie me serait insupportable, autant pour moi que pour Isolde. Ils sont la seule famille qui nous reste à toutes les deux. Alors oui, pour se faire, je n’hésiterai pas à mentir, à jouer et à tricher sur mon identité jusqu’à ce que justice soit faite et accomplie !
Dernière édition par Olympe Nightingal le Lun 23 Déc - 13:10, édité 7 fois
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 3:28
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Hiver 1535, forge des Nightingal, Londres
L’air était froid, glacial. Le vent soufflait à peine. Quelques flocons continuaient de tomber. La cour de la forge, à l’image des rues et des toits de Londres, était recouverte d’un fin manteau blanc. L’endroit était vide, désert. Il y régnait un silence macabre, un calme mortuaire. La vie s’était comme arrêtée. A l’intérieur de la bâtisse, la vie reprenait quelque peu ses droits. Richard se tenait assis dans son salon, au coin d’un grand feu. Son fils siégeait à sa gauche. La famille du frère de la regrettée femme et mère de famille se tenaient en face d’eux. L’heure de la conversation était au calme et au recueillement. Pas une seule voix rugit d’autorité ou de virulence. Une certaine douceur se voulait de mise. L’heure était au recueillement en mémoire de cette femme qui s’était éteinte quelques jours plus tôt. Mais une personne manquait à l’appel. Une personne n’était pas descendue rejoindre les convives : Olympe. A la compagnie de personnes réconfortantes, la fillette avait préféré la solitude. Elle se moquait de voir quiconque. Elle ne voulait pas parler. Son seul désir présent était un rêve devenu inaccessible désormais. Assise sur le lit de sa défunte mère, son regard se perdait dans le vide. Des images de sa mère et de tous les moments passés à ses côtés ne cessaient de danser devant ses yeux. Ses mains, quant à elle, triturait dans une délicatesse nerveuse le médaillon que cette femme portait toujours autour de son cou. Un seul objet pour s’en souvenir. Un symbole lui étant légué. Et pourtant, cela ne la ramènerait pas, jamais ! « Olympe… ? » Brisant le silence, la voix grave et réconfortante de son oncle résonna au cœur de la pièce. Sans réaction de la part de sa nièce, ce dernier s’avança, jusqu’à s’asseoir aux côtés de sa cadette, à même le lit. Il est souvent difficile de trouver les mots pour consoler le chagrin d’un adulte. La tâche ne s’en voulait que plus ardue encore lorsqu’il s’agissait de parler à un enfant. Perdant son regard sur la fine silhouette de sa nièce, un fin rictus délicat et mélancolique apparut sur son visage lorsqu’il perçu le médaillon. « Sais-tu comment elle a eu ce médaillon ? » Clignant des yeux, Olympe redressa son regard perdu sur celui de son oncle. Aussitôt, ses yeux redescendirent sur l’objet qu’elle tenait et sa tête se secoua finement de droite à gauche. « Eh bien, c’est ton père qu’il lui a offert lors de leur premier rendez-vous. » D’une main, il vint saisir la relique des mains d’Olympe. « Il lui a passé autour du cou en lui disant que ceci n’était pas un cadeau… » Continua-t-il en venant mimer le geste expliqué mais, à la différence prêt, qu’il le fit autour du cou d’Olympe. « Mais un médaillon pour qu’ils restent liés, ensemble, quoiqu’il arrive. » Le médaillon attaché, il dégagea du revers de sa main quelques mèches de la jeune Olympe. « Et, depuis lors qu’il lui offrit ce médaillon, tes parents furent inséparables et ne se quittèrent plus jamais. » Penchant le regard sur son nouveau ‘collier’, la main d’Olympe vint renfermer le médaillon entre ses doigts, le soulevant légèrement afin de le fixer. « Je sais que tu es encore jeune pour comprendre ça Olympe mais, s’il te plait, fais confiance à ton oncle, tu veux bien ? » Ses yeux pétillants et prêts à s’humidifier de larmes, la petite fille releva une nouvelle fois ses yeux sur lui sans rien dire. L’homme passa une main dans ses cheveux, venant apposer soyeusement le visage de sa nièce contre son buste. « Autant garderas-tu ce médaillon autour de ton cou que ta mère restera près de toi, et qu’elle sera toujours présente. Elle vivra toujours en toi, et à travers toi. Jamais, elle ne t’abandonnera… » Incapable de crier son chagrin et sa peine, Olympe se réfugia de plus belle dans les bras de son oncle, enlaçant son buste du bout de ses petits bras. Certes, elle ne parvenait pas à parler. Mais au plus profond d’elle-même, la présence de cet homme et ses propos lui firent le plus grand bien.
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Été 1539, cour de la forge des Nightingal, Londres.
Le médaillon d’Olympe était suspendu au clou d’une poutre. A quelques mètres de ce dernier, la jeune adolescente se tenait debout, droite, au cœur même de la cour. Ses doigts serraient fermement la manche de l’épée tenue. Les sourcils froncés, le regard ferme et ténébreux, elle faisait face à son imaginaire. Un imaginaire propre à chacune des séances nocturnes qu’elle s’offrait. Un imaginaire fait d’adversaires, fait d’autres lames dansant devant ses yeux, qu’elle se devait d’affronter et de contrer autant qu’elle le pouvait. Ses bras dansaient de droite à gauche, de haut en bas. De coups tranchants en passant par d’autres venants empaler chacun des spectres, le corps d’Olympe demeurait perpétuellement en mouvement. Il ne cessait de se courber, de se pencher, de danser. A certains d’entre eux, de petits cris étouffés entre ses dents serrés quittaient ses lèvres. Elle ne voulait pas faire de bruit, elle ne voulait pas être entendue. Aussi silencieusement que possible, elle laissait exprimer une montagne de rage qui sommeillait en elle. Une montagne de rage accompagnée de ce besoin, de cette nécessité, de cette drogue on ne peut plus vitale qui faisait battre le sang coulant dans ses veines. A l’image d’un inévitable, Olympe ne parvenait pas à aller contre cette facette de son visage, de son être, de sa nature. Elle n’était pas fille de forgeron pour rien et, ce, quand bien même essayait-elle de réprimer cet aspect au plus profond d’elle-même. Mais sans qu’elle ne parvienne à la percevoir, cette nuit, Olympe n’était pas seule. Accoudé à l’une des poutres, son père l’observait calmement, secrètement. Les bras croisés à hauteur de son torse, il jugeait de chaque geste effectué par sa fille. Beaucoup d’entre eux manquaient de précisions. Beaucoup d’entre eux étaient trop brouillons. Et beaucoup s’en voulaient mal dosés. Néanmoins, cela ne l’empêchait pas de constater de certaines prédispositions de sa fille dans l’art de la lame. Il y avait beaucoup à dire sur la maladresse de plusieurs coups donnés dans le vide. Pourtant, il ne se manifestait pas, il n’intervenait nullement… Jusqu’à ce qu’Olympe se retrouve entraînée par le poids de sa propre lame et perdit son équilibre. Tombant genoux à terre, elle ne put s’empêcher un petit cri rageur sous un rictus amusé de son père. « Tu doses mal tes coups, ma petite amazone. Et tu ne prends pas la bonne position de base. » C’est d’un visage aussi surpris que choqué et coupable qu’Olympe redressa brusquement son regard sur Richard. « Père ?! » Ce dernier attrapa une lame avant de rejoindre sa fille. En réaction, Olympe se releva, reprenant d’une main hésitante sa lame d’entraînement. « Je… Ce n’est pas ce que vous croyez, je… » Se positionnant face à elle, Richard fit mine de ne pas entendre ses propos et se mit en position offensive. « Vient te mettre face à moi. Et positionne tes pieds comme moi. » Se mordillant la lèvre inférieure, Olympe hésita quelques secondes avant d’obéir au patriarche. « Bien. Tes mains plus haut sur ta garde. » A nouveau, elle exécuta les instructions et se manifesta dans une position identique à celle de son aîné. « Voilà. Maintenant, pare. Et frappe. Pare. Frappe. Pare. Et frappe. » Répéta-t-il pendant qu’il lui fit travailler lentement des petits mouvements de base. Olympe les exécuta l’un après l’autre, répétant ses coups dans le but de les maîtriser d’avantage. « N’essaie pas d’aller trop vite. Et canalise mieux ton énergie. » La pratique ne pouvait venir qu’avec le temps. Mais Richard n’eut aucun mal à cerner le principal problème de sa fille. Vouloir se montrer trop hargneuse dans ces gestes, trop passionnée. Alors qu’il fallait que tout repose sous une forme d’équilibre et de calme intérieur. Aspect primordial qu’elle se devait de travailler. « Il faut que tu sois calme. Plus sereine. Te déchainer sur ton adversaire est le meilleur moyen de lui laisser l’avantage. » Elle fronça les sourcils. « Comment ça ? » Il pencha la tête avec un petit sourire. « Attaque moi comme tu viens de le faire. » « Hein ? Mais père, je… » « Attaque moi, jeune fille ! » Reprit-il plus sévèrement. Se résignant, elle accepta alors, essayant de suivre ses conseils. Cependant, la fougue de son adolescence prit très vite le pas sur ses mouvements. Et dès que cette fougue se témoigna, son père en profita pour la faire chuter au sol. « Recommence ! » Serrant les dents, elle recommença donc. Le résultat fut similaire et l’injonction fut répétée. Inaltérable, le résultat ne cessa de se répéter jusqu’à ce qu’Olympe pousse un nouveau grognement de rage tout en jetant son épée au sol. « Voilà, c’est bon. Vous avez gagné. » Râla-t-elle, bras croisé, tout en détournant le regard. Richard soupira en secouant une nouvelle fois la tête. Il ramassa la lame de sa fille et revint vers elle. « Je ne cherche pas à gagner, ma petite lame guerrière. Juste à t’apprendre. » « M’apprendre pour quoi ? Pour vous prouver que vous êtes une fine lame ? On le sait déjà, non ? » Le père aurait pu se fâcher sur sa fille, d’avantage pour le ton employé mais, à l’inverse, il demeura d’un calme étonnant. « Et tu cherches toi-même à en devenir une, non ? » « Je ne vois pas ce que vous voulez dire. » Feignit-elle l’indifférence. « Tu peux tenter de tromper qui tu veux, sauf ton vieux père. » Sa main vient se poser sur l’épaule d’Olympe. Il la tourna face à elle, tout en conservant sa main sur ladite épaule. « Olympe, cela fait presque trois semaines que je te vois venir ici, soir après soir, nuit après nuit. » Il enleva sa main et rendit sa lame à Olympe. « Pour je ne sais quelle raison, tu t’obstines à t’entraîner toute seule alors que tu pourrais nous accompagner, chaque fois que j’enseigne à ton frère l’art de l’épée. » Les épaules d’Olympe se rabaissèrent. L’adolescente témoigna d’un calme revenu, et d’une certaine résilience. « Je sais, père. Vous avez raison. Mais, c’est impossible pour moi, je ne pourrais pas vous rejoindre… » « Ne dis pas de sottises, ma fille. Tu es la bienvenue quand tu le désires. » Elle secoua la tête. « Ce n’est pas contre vous père, mais je ne peux pas. » « Pourquoi ? » Elle relâcha sa lame, laissant l’épée tomber au sol. Quittant la cour, elle s’avança jusqu’à la poutre où trônait le médaillon. Elle le saisit et le remit autour de sa nuque. « Car mère n’a jamais accepté que j’apprenne l’art de combattre. » Surpris, Richard écarquilla légèrement les yeux, se sentant presque maladroit de ses propres propos. « Olympe… » Ce fut alors à son tour de revenir face à son père et de poser une main sur le torse de ce dernier. « Je sais, père. Cela n’a pas l’air très sensé mais, si je viens m’entrainer ici, seule, une fois la nuit tombé, c’est parce que je me convaincs que mère ne peut plus me voir… Et que je ne la déshonore plus, une fois le soir venu… » La seule réaction de Richard fut alors de prendre sa fille entre ses bras et de la serrer tout contre lui. « Détrompe-toi Olympe. Ce que tu dis est censé, et sache que je te comprends parfaitement. »
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1553, chambre d’Olympe, Londres
« Mère, vous qui êtes aux cieux… Du peu d’années que nous avons passé ensemble, vous n’avez jamais cessé de souhaiter le meilleur pour moi. De faire de moi une véritable femme, loin de la violence des hommes. De leur rudesse, de leur folie et de leur barbarie. Vous avez toujours vu l’image de la douceur et de la paix en moi. Et, du mieux que j’ai pu, j’ai toujours essayé de suivre vos désirs afin d’honorer au mieux votre mémoire. Je n’ai toutefois pu être parfaite, et sachez que j’en suis le plus profondément navrée. Mais pourtant, c’est aujourd’hui que je vous demande le plus grand des pardons. Je n’ai eu de cesse de vouloir, au plus profond de moi, une vie différente. Une existence loin de la chaleur d’un heureux foyer et d’une paisible forge. Sans vouloir vous manquer de respect, il est temps pour moi de ne plus renier ce que je suis au plus profond de moi. Voilà pourquoi j’ai pris la décision de partir, telle est la raison pour laquelle j’ai choisi d’accompagner Isolde dans le combat pour sauver l’honneur de son père. Je suis consciente que cela me mènera sur la voie du déshonneur de votre mémoire. Que je risque de vous décevoir désormais. Je ne peux qu’espérer que vous me comprendrez et me pardonnerez. Sachez toutefois que mon amour pour vous restera à jamais infini, et que je n’aurai de cesse de penser à vous, chaque jour qu’il me reste à vivre… Pour maintenant et pour les siècles des siècles… Amen. » Les mains jointes à hauteur de son visage, serrant le médaillon de la défunte entre ses paumes, Olympe rouvrit les yeux face à son lit, n’empêchant une larme vagabonde de glisser le long de sa joue. La brunette n’avait fait preuve que de sincérité et d’honnêteté dans sa prière. Sa décision d’accompagner sa cousine fut soudaine, brusque, spontanée. Mais elle était ce signe qu’Olympe avait toujours attendu. Depuis presque quinze ans, la damoiselle n’avait eu de cesse de remplir son rôle de femme. Elle s’occupait des tâches ménagères au sein de la famille, tout en apprenant à aider son père et à l’assister au cœur de la forge. Elle n’avait eu de cesse de faire preuve de présence et de docilité pour les deux hommes de la maison. Elle ne s’était jamais arrêtée de jouer double jeu, une fois la nuit tombée, en perpétuant ses entraînements solitaires, en de rares occasions secondées par son père. Olympe répondit continuellement à toutes les attentes de sa mère. Mais chaque jour elle désirait que sa vie prenne une autre tournure. Chaque jour durant, elle priait presque le seigneur que l’aventure vienne à elle, et que s’ouvre à ses bras le chemin du voyage et des épreuves. Elle n’était pas femme à se contenter de son statut de femme. Son âme était trop aventureuse, trop vive, trop intrépide que pour demeurer la simple mère de famille veillant sur son un futur foyer. Voilà pourquoi elle prit à peine le temps de préparer un semblant de sac de voyage. Quelques vêtements, et quelques vivres pour tenir durant les premiers jours avant de faire face à l’adversité. Mais, et surtout, une lettre qu’elle avait rédigé à l’attention des siens. Une lettre qu’elle n’avait pas encore refermée. Sa prière terminée, elle observa une ultime fois le médaillon ayant appartenu à sa mère. Un fin sourire désolé, elle glissa l’objet au sein de ladite enveloppe. Ce serait son au revoir, son ‘adieu’ à sa famille, sans savoir quand l’heure du retour sonnerait. Son corps se redresse. Le sac est attrapé pour se retrouver enroulé autour de son épaule. Il ne manque plus que le fourreau de cette lame qu’elle s’était forgée. Elle saisit ce dernier, l’observa, l’admira une dernière fois pour finalement l’accrocher à la ceinture de sa tunique. Olympe était fin prête pour le départ ! « Où est-ce que tu vas ? » A peine fut-elle retournée en direction de sa porte que la silhouette de son frère apparu dans l’encadrement de celle-ci. « Gabriel ?! » Il avança à l’intérieur de la chambre, observant le sac et le fourreau trônant sur le corps de sa petite sœur. « Qu’est-ce que tout ça ? » Olympe avait rédigé sa lettre pour éviter cet instant. Elle redoutait plus que tout d’être face à son frère, ou même à son père, pour leur annoncer sa décision. Peur de compliquer la chose, peur de devoir affronter un refus, peur de faire face à une altercation désapprobatrice. « Gabriel, je… » Hésitante, elle s’avança vers lui et déposa sa lettre dans l’une de ses mains. « Je dois partir. Ne me demande pas d’explications, ne me demande pas d’attendre ou même de changer d’avis. Je… » Bien que la lettre venait d’être transmise, elle ne put s’empêcher de garder sa main autour de celle de son frère et de la serrer aussi fort que possible. « Je vous demande, toi et père, de me faire confiance et d’avoir foi en moi. » Le regard fouillant celui de sa sœur, Gabriel était déstabilisé, pris de court, ne sachant trop comment réagir face à des propos aussi soudains. « Mais, Olympe… Enfin, explique toi, explique moi… » La petite sœur secoua énergiquement sa tête en baissant le regard. « Si je te dis tout maintenant, tu essaieras de m’en empêcher ou tu te mettras en tête de partir à ma place et… Non, c’est une chose que je dois faire moi-même, que je VEUX faire moi-même. » Les yeux meurtris, elle le releva vers les iris de Gabriel, accompagnant son regard de sa main libre se posant sur la joue de son frère. « Vous trouverez toutes les raisons dans cette lettre. Sache juste une chose, Gabriel… » « Laquelle ? » Elle se hissa sur la pointe de ses pieds et embrassa profondément la joue de son aîné. « Que je t’aime, énormément, ainsi que papa. Et que je te fais le serment, la promesse de revenir vivante. Voilà pourquoi, ne pouvant te demander de ne pas t’inquiéter, fais-moi simplement confiance. Tu me le promets ? » Bien qu’il n’avait pas cœur à laisser partir sa sœur au sein de tant de mystères, Gabriel ne sut qu’opiner du chef tout en serrant les dents. « Je… Je ne sais pas quoi te dire, petite sœur… » « Promets-moi juste, dans ce cas. Je ne pourrai pas partir le cœur léger et apaisé sinon… » Plus que désolé, le regard d’Olympe était devenu semblable à une supplication. A contre cœur, Gabriel ferma les yeux et la serra une dernière fois contre lui. « Je te le promets, petite sœur… Je te le promets… »
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Sa silhouette est fine et musclée. Son allure se rapproche d’avantage d’un garçon que celle d’une véritable femme. Et pourtant, son corps offre la merveilleuse vision de formes bien féminines et divinement sculptées. Sauvage mais belle. Renfrognée mais envoutante. Enragée mais charismatique. Je ne peux que me surprendre, jour après jour, à scruter secrètement chaque courbe du corps de ma cousine. Telle une terre vierge demandant à être découverte, la saveur qui se dégage de sa personne est tout simplement follement irrésistible. Plus que la beauté purement physique dont elle est naturellement dotée, ladite beauté n’en trouve que d’avantage sa splendeur dans ce caractère et cette personnalité que je lui connais, et qui n’a de cesse de me faire sourire et de m’émouvoir en chaque instant. Chacune de ses paroles n’est pas source d’évangile. Mais, à l’instar, chaque propos qu’elle tient s’inscrit en moi au fer rouge, d’une marque que l’on ne peut tout simplement pas effacé. Il m’est impossible d’oublier le moindre instant que je passe aujourd’hui, ou que j’ai vécu dans le passé, à ses côtés. Et Dieu seul sait que nous en avons partagés des moments depuis notre plus jeune âge. Plus qu’une cousine, elle fut d’avantage une sœur, ma sœur, ma jumelle. La partie manquante à mon âme et nous permettant de nous ressentir complètes qu’une fois réunies. Oui, Isolde m’a permis de trouver ma voie mais, et surtout, cet équilibre qui me fut toujours manquant. Depuis le jour de notre départ, je sais qu’à ses côtés je me sens vivante. Je me sens réellement exister. Je ne suis plus sœur ou fille de quelqu’un. Je ne suis plus simplement une femme se devant de répondre aux devoirs qui lui sont incombées. Je me sens femme mais à part entière. Je n’existe pas pour quelqu’un, j’existe pour et par moi-même. Et, ce, même si paradoxalement, l’éveil de cette sensation de vie se fait à travers elle. Une résultante de l’émoi qu’elle provoque (in)volontairement en mon être, au sein de mon cœur, au creux de mon âme. Se pourrait-il alors qu’Isolde représente plus qu’une cousine ou qu’une sœur à mes yeux ? Telle est la question qui ne cesse de hanter mes nuits et mon esprit. A la fois, mon être est apaisé d’être à ses côtés. Pourtant, d’un autre côté, l’entièreté de mon âme s’égare encore et encore dès que mon regard est posé sur elle. Je n’arrive pas à savoir, je n’arrive plus à comprendre. Ce qui anime mon corps est une émotion que je n’ai jamais ressentie auparavant, pas même auprès de mes rares compagnons. Il y a cette intensité tellement déroutante qui m’effraie et que je désire en même temps. Ma raison ne s’empêche de contredire qui grandit en moi, car cela n’est pas sage, car cela n’est pas tolérable. Car cela n’est peut-être tout simplement pas possible. Mais cette raison m’épuise et me fatigue en certains instants. Si bien que je ne voudrais plus en être l’esclave et me laisser aller à la montagne d’interdits dont je me surprends à rêver le soir venu. La réalité ne s’en veut pas moins complexe pourtant. Je ne peux connaître les émois de ma cousine, que je sais bien trop concentrée sur sa volonté de vengeance. Tout comme je connais plus que parfaitement les sentiments qui guident mon frère à l’égard d’Isolde. Comment, dès lors, me serait-il acceptable de reconnaître qu’au fond de moi, des sentiments à son égard naissent également… ? Que les dévoiler sincèrement peut tout changer et tout gâcher entre nous… ? Que cela pourrait me séparer définitivement d’elle alors que c’est ce que je redoute le plus… ? Non, je dois dérailler, perdre simplement la tête. Je me dois de me concentrer sur la raison de notre voyage et de notre aventure. Ne pas perdre notre objectif de vue. J’ai juré secrètement d’être à ses côtés et de veiller sur elle. Rien ne doit compter plus que cela. La seule question en demeurant est donc celle-ci : Parviendrais-je à tenir le coup, à comprendre et assumer ce qui se produit en moi ?
Dernière édition par Olympe Nightingal le Mar 24 Déc - 14:06, édité 6 fois
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 8:54
Oh Olympe ** Et Bridget qui est magnifique C'est quoi ton pseudo sur PRD ? Bienvenue en tout cas Bon courage pour ta fiche
Je pense qu'Isolde est apte à devenir ta marraine, si elle ne se sent pas je serais là pour vous aidez
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 13:28
Bridget est tout simplement merveilleuse, oui Et puis, ce scénario quoi
En fait, c'est un 'retour' pour moi puisque mon pseudo sur PRD est Mr. Yasu, aka votre ancien Adam "Archer" Je n'étais plus venu parmi vous car j'ai eu beaucoup de complication dans mon déménagement de l'époque, mêlé à de gros soucis irl qui sont arrivés de tous les côtés. Et, j'avoue que sur le coup, j'étais un peu gêné vis-à-vis de ça Ceci dit, comme vous me manquiez et que ce scénario m'avait déjà tapé dans l'oeil à l'époque, eh bien voilou Je suis revenu
Merci beaucoup pour ton accueil et tes encouragements en tout cas
Et c'est avec plaisir que je passerai entre les mains d'Isolde, si elle le veut bien
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 13:33
Oh bah bon retour En effet, j'ai supprimé ton compte hier Oh mais fallait pas être gêné Fallait revenir on t'aurait accueillis les bras ouverts avec des cookies et tout Tu aurais du poster une absence déjà avant ton déménagement tu sais Au pire, tu pourras reprendre Archer plus tard ? En tout cas, rebienvenue et n'ai pas honte surtout car y'a aucun problème et ça arrive d'avoir des soucis J'espère que ça va mieux
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 13:38
C'est bien le soucis, même quand j'ai des petites absences, je pense rarement à poster un sujet car je me dis que j'aurai toujours le temps de passer... Mais vu que je ne prends jamais en compte les imprévus Ceci dit, à l'avenir, je tâcherai de le faire, surtout pour ne plus vous inquiéter Encore merci en tout cas Et, oui, ce n'est pas impossible que je reprenne mon ancien Adam plus tard Le temps de retrouver mes marques avec ce nouveau personnage, de bien installer ma petite Olympe et je verrai si je peux me permettre ce retour en terme de temps Et, oui, ça va un peu mieux (d'où le fait que je revienne d'ailleurs ^^), merci toute belle Héléna
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 13:42
Pas de souci, mais à l'avenir surtout ne t'inquiète pas car on ne te dira rien ici
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 13:48
Tres bon choix de vava Bienvenue parmi nous et bonne chance pour la suite de ta fiche Ou plutôt bon retour ^^
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 14:04
Héléna : D'accord, j'en prends bonne note
Matthew : Comment résister à Bridget en même temps, hein ? Merci pour ce 'nouvel' accueil et d'autant plus merci pour tes encouragements aussi
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 14:22
Re-bienvenue ici
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 14:23
Merci charmante Elizabeth
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 14:29
Mais de rien
Il me semble qu'on avait un lien avec Adam
Clow c'est toi ? Ou je suis un chamallow ?
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 14:33
Ce n'est pas impossible mais je ne saurais absolument plus te dire
Mais, avec ou sans ça, je pourrai t'en réserver un avec la tumultueuse Olympe si tu veux
C'est quoi cette histoire de chamallow ? XD
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 14:35
ça remonte il y a un bail
oh oui je veeeeux ! **
Bah j'ai peur de m'être trompée de personne ici Bretate ou Eric
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 14:45
Effectivement
On prendra rendez-vous pour en discuter alors
Ah, je confirme car ça ne me dit vraiment rien du tout
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 15:40
j'ai hâte de prendre ce rendez-vous
Oh mince, je suis donc un chamallow
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❝ Elizabeth Tudor ❞
Admin ♛ « Princesse et bâtarde d'Angleterre. »
♕ Métier : Princesse d'Angleterre ♕ Age : 25 ans ♕ Religion : Celle que me dictera ma souveraine. ♕ L'avatar a été fait par : fassophy ♕ Mon nombre de messages est : 3524 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 11 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 11/09/2012 ♕ Mon pseudo web est : Mari-Jane ♕ Mes autres visages : Antanasya Cavendish - Constance Bennet - Edward Seymour
Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 16:01
Bon retour parmi nous
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 16:04
Elizabeth: Je te mets sur ma liste (a)
Tudor: Han, marraine Merci toi
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 18:40
Oh ! Adam ! Re-Bienvenue parmi nous ! Je suis super heureuse de te revoir
Héléna Sheridan a écrit:
Je pense qu'Isolde est apte à devenir ta marraine, si elle ne se sent pas je serais là pour vous aidez
Avec grand plaisir
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Sam 21 Déc - 19:06
Et je suis moi-même super content de pouvoir revenir parmi nous, et de tenter ma chance avec ce merveilleux scénario Attends toi d'ailleurs à un petit mp de ma part assez rapidement
Et c'est avec plus grand plaisir que je t'aurai comme nouvelle marraine
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Lun 23 Déc - 17:25
Oooh re-bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fichounette !!
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Lun 23 Déc - 17:38
Un très grand merci à toi charmante Anne
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Lun 23 Déc - 18:59
Re Bienvenue !!
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Lun 23 Déc - 19:34
Merci toi
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❝ Edward Seymour ❞
La Noblesse Anglaise
♕ Métier : Noble et chef de la famille Seymour ♕ Age : 19 ans ♕ Religion : Protestant ♕ L'avatar a été fait par : Eledhwen ♕ Mon nombre de messages est : 1071 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 0 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 14/05/2013 ♕ Mon pseudo web est : Mari-Jane ♕ Mes autres visages : Antanasya - Elizabeth - Contance
Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures Mar 24 Déc - 17:22
Félicitation!
Ta fiche est vraiment magnifique *.* Olympe est un personnage assez énigmatique et j'adore le lien que tu as avec Isolde, je suis impatiente d'en découvrir plus Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à jouer avec nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum. Pour RP aussi, rien ne vaut une fiche de RP, cela sera beaucoup plus simple pour les membres de venir t'en réclamer [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]. Par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], tu peux aussi faire une demande de rang et d'habitations, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle surtout à l'époque Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]!
Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
Et voilà, maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à Londres peut parfaitement commencer
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
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Sujet: Re: Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures
Olympe ~ Vivre pour ceux qu'on aime est la plus belle des aventures
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Sam 21 Déc - 3:27
Olympe Nightingal
En effet, j'ai supprimé ton compte hier 
Fallait revenir on t'aurait accueillis les bras ouverts avec des cookies et tout 
Au pire, tu pourras reprendre Archer plus tard ? 
En tout cas, rebienvenue et n'ai pas honte surtout car y'a aucun problème et ça arrive d'avoir des soucis 
J'espère que ça va mieux 
