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Nous nous situons aux alentours de mai 1558.
Il fait de plus en plus chaud les gens prennent plaisir à sortir dans les jardins.

Si vous souhaitez jouer un étranger, privilégiez les Espagnols et les Ecossais.
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MessageSujet: Luisa & Jeanne ♦︎ un lien qui ne tient qu'à nous.  Luisa & Jeanne ♦︎ un lien qui ne tient qu'à nous. Icon_minitimeJeu 23 Juil - 0:00
Luisa & Jeanne ✢ un lien qui ne tient qu'à nous.


La rose, une fleur mystérieuse et si intéressante. Elle est à la fois si belle, l'air innocente mais dès on l'a touche, leurs épines nous blessent. Elle est surement la fleur plus convoitée des femmes pour montrer à quelle point elles peuvent être à la fois douce et avoir l'air naïve, mais que personne ne doit s'en prendre à une femme car leur vengeance peuvent être plus fortes. Les femmes sont en effet plus barbares que l'homme, cela est certain, et je pourrais être un exemple en vérité. J'étais prête à tout pour me battre pour ce que je crois, pour les êtres qui m'étaient les plus chers au monde, mon fils en priorité. J'étais seule, et en arrivant en Angleterre je comptais bien me faire des nouveaux amis, surtout grâce au mariage de mon frère avec la Reine d'Angleterre Mary. Je repensais à ce fameux jour où l'on m'avait retiré cette régence qui pourtant me revenait de droit. En attendant, ici en Angleterre, je patientais, jusqu'au moment de frapper. Je préparais derrière le décor mon plan pour arriver à mes fins. J'étais bien connue comme étant sage et charmante, mais ne disait-on pas que la beauté est la seule vengeance des femmes justement ? De mon côté, je patientais, tout en écoutant la douce mélodie de la victoire et j'en fus fière. En ces lieux je n'étais certes qu'une étrangère, mais pas seulement, la Reine d'Angleterre faisait dorénavant partie de ma famille, et ce n'était pas rien. Je comptais bien profiter de ce statuts sur ces terres anglaises, surtout à la Cour.

De la neige et encore de la neige. J'en avais assez de cet hiver me glaçant les veines. J'avais davantage l'habitude des hivers beaucoup plus cléments que cela dans mon pays. Ce jour-là, un beau matin, je m'étais réveillée dans mes appartements à la Cour royale, non loin de la chambre de sa Majesté Mary, ma désormais belle-soeur sur qui je pouvais compter comme soutien, surtout contre ces hérétiques protestants. La cheminée était fort heureusement allumée, je pouvais même entendre les crépitements. Je commençais à me préparer. "Luisa, peux-tu m'aider à fixer ma coiffure s'il te plaît ?" lui disais-je simplement, sans rien ajouter de plus. Par la suite, pour finaliser mes préparations, je terminais de me maquiller comme il se devait, et étais enfin prête à commencer la journée. Je passais ensuite la mâtinée à lire des ouvrages jésuites intéressants. Il est vrai que je ne m'étais pas tout à fait habituée aux coutumes anglaises, mais ceci ne saurait tarder. Il le fallait bien de toutes les manières. Depuis mon arrivée dans ce pays, les journées se ressemblaient presque toutes, et l'hiver ne m'aidait pas à me sentir à l'aise à vrai dire.

Luisa se trouvait près de moi, dans la même pièce. Ces derniers temps notre relation fut, je l'avoue, quelque peu froide. Je restais distante pour éviter que ces sottes rumeurs sur une quelconque liaison ne se propage. Ce fut insensé de penser une telle chose, de plus ma réputation pouvait être souillée par cette situation ridicule dont je devais faire face. Je restais alors assez professionnelle avec Luisa qui se trouvait être ma goûteuse en un premier lieu, mais aussi une amie. Certes ce n'était pas aisé de construire une amitié au commencement, et je fus extrêmement méfiante. Depuis le temps, j'ai appris à lui faire confiance. Je n'avais de toutes les façons pas le choix, car je remettais ma vie dans ses mains, au service de son talent. Cependant cela ne nous empêcher pas de discuter de temps à autre. Nous attendions que le déjeuner soit prêt. "Luisa, que penses-tu de l'Angleterre ? Ne trouves-tu pas qu'il fait si froid dans ce pays ?!" lui lançais-je, curieuse de savoir son avis. "J'aurais préféré que mon frère épouse une souveraine d'un pays où le temps est plus clément en hiver ceci-dit" plaisantais-je un instant, mais ce fut en réalité à moitié vrai. Je savais que mon frère détestait ce mariage avec une femme qui commençait à être fatiguée de la vie, et ça se voyait sur son visage. Malgré tout je voulais mon frère heureux, mais je ne pouvais rien faire. Ceci dit ce mariage me profite bien, et je ne pouvais pas m'en plaindre pour le moment.


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MessageSujet: Re: Luisa & Jeanne ♦︎ un lien qui ne tient qu'à nous.  Luisa & Jeanne ♦︎ un lien qui ne tient qu'à nous. Icon_minitimeLun 3 Aoû - 21:04
Un lien qui ne tient qu'à nous



Enroulée dans ses draps de soie, Luisa n’avait pas fermé l’œil de la nuit. Se tournant et se retournant dans son lit, elle en faisait trembler sa table de chevet peu stable sur le parquet légèrement cabossé de sa chambre. Elle avait beau faire partie de l’entourage de la cour espagnole et se voir attribuer les mêmes égards qu’à une noble – si ce n’est plus – de par sa position, cela ne signifiait pourtant pas perfection en tout point. Et tant mieux d’un côté, car Luisa pouvait ainsi aisément soulever une planche de parquet sous son lit pour y cacher son exemplaire du Tanakh, l’un des derniers objets physiques la reliant aujourd’hui à sa véritable confession, le judaïsme.
Ennuyée toute la sainte nuit par les intempéries anglaises, ses tourbillons de neige et ce froid omniprésent qui lui glaçait le sang, la belle Luisa avait fini par sortir tôt de son lit pour s’adonner à quelques heures de lecture hébraïque. Cette nuit encore ne serait pas la bonne et l’espagnole comptait vivement toujours un peu plus sur la prochaine. Comment diable faisaient ces anglais pour ne pas souffrir de cet hiver et de ce froid capable de vous transformer en statue de glace ! A ses yeux, Luisa exagérait à peine.

Les heures passèrent, tandis que les lueurs matinales peinaient à traverser la grisaille habituelle. Une nouvelle journée maussade se profilait à l’horizon, parfaite pour accompagner l’actuelle froideur, presque indifférence, qui régnait depuis quelques temps entre Luisa et sa maîtresse Jeanne, sa fidèle amie Jeanne pour être exacte. C’est en 1552 que Luisa devint officiellement la goûteuse de la princesse d’Espagne après avoir accepté la proposition de Charles Quint, empereur du Saint-Empire romain germanique et Roi des Espagnes : comment refuser à pareil homme ? Les débuts furent pour le moins difficiles entre les deux jeunes femmes. En cause, la réputation de l’oncle de Luisa dont les bruits du procès avait couru à travers tout Séville et jusqu’aux oreilles de Charles Quint. La nièce d’un empoisonneur pour goûteuse ? Et puis quoi encore ? Mais Jeanne n’eut pas son mot à dire face à la toute puissance de son père, et cela faisait maintenant trois ans que la demoiselle Del Carmen était au service de la princesse, devenue son amie. Père et mère ayant disparus, Jeanne s’était vite imposée comme la seule famille qui lui restait. Luisa tenait à chaque repas sa vie entre ses mains, et s’était éprise d’une magnifique amitié pour elle en ces trois années. Trahie par son oncle, et ne voyant pratiquement plus le reste de sa famille, cela ne faisait aucun doute pour Luisa que Jeanne était tout ce qui lui restait. Et cette dernière le lui avait toujours bien rendu, jusqu’à ces derniers jours.

Depuis quelques temps, la cour se voyait agitée par une série de rumeurs qui voudraient que Luisa et Jeanne soient en réalité amantes. Lorsque ces bruits de couloirs arrivèrent aux oreilles de la goûteuse, elle ria aux éclats. Elle s’esclaffa de ces rumeurs et surtout de ceux qui les colportaient, certains de détenir la vérité au bout de leurs lèvres. Rares étaient les petits malins à oser lui demander si cela était vraie. Rien qu’à les observer, ces derniers semblaient lire tout le scénario de leur prétendue histoire. Autrefois très proches, les deux espagnoles étaient étrangement distantes depuis la fuite sur leur histoire d’amour secrète. Etait-ce une manigance de leur part pour faire taire ces rumeurs ? Il est vrai que cela ne faisait pas bon ménage pour la princesse et pour le roi Philippe. Luisa préférait prendre cela à la rigolade et pensait à tort qu’il en serait de même son amie. « Tu ne vas pas te laisser miner le morale à cause de ces idioties » s’était écriée Luisa lorsque les ragots se firent plus intenses et insistants. Et pourtant Jeanne prit la décision de mettre de la distance entre elle et Luisa, ne gardant plus que ce lien de maîtresse à employé. La goûteuse qui s’était retrouvée précipitamment mariée à peine un pied posé sur le sol anglais aurait bien eu besoin de son amie, mais qu’importe, cette dernière en avait décidé autrement.

Désormais, les choses semblaient à nouveau changer. Jeanne se rapprochait à nouveau d’elle, mais cela mettrait du temps avant que les choses ne redeviennent comme avant. Postée devant la cheminée enflammée, Luisa s’empressa d’aider la princesse à fixer sa coiffure à sa demande. Nouant ses longs cheveux noirs à l’aide d’une broche, les deux jeunes femmes attendaient patiemment l’heure du déjeuner. S’il s’agissait d’une simple routine pour certains, l’approche était tout autre pour Luisa qui se devait en amont de goûter exactement ce qui allait être servie à Jeanne. En cas d’empoisonnement, la fille de Charles Quint serait sauve, tandis que Luisa se trouvait dans une toute autre affaire. « Vous avez bien raison Jeanne, ce froid constant n’est plus supportable. Encore cette nuit il m’a empêchée de dormir alors même que la cheminée fonctionnait. Dieu que je regrette l’Espagne en ces temps là. Nous sommes des femmes du Sud assurément ! » Elle était heureuse de cet échange quoique tout à fait cordiale. Jeanne n’était plus dans l’indifférence, et s’intéressait de nouveau à son avis. « Je vous rejoins sur ce point, je n’aurais pas été contre un hiver plus doux. Un peu de neige, soit, c’est effectivement magnifique, mais autant qu’ici ce n’est pas possible. » C’était avec Richard que Luisa avait découvert les plaisirs de la neige, les flocons qui fondent dans les mains. C’était agréable et absolument superbe, mais ses mains et ses pieds se glaçaient tellement vite que bientôt la rêverie dans laquelle elle s’était trouvée se transformait en petit cauchemar pour ses membres gelés. « Jeanne, je crois qu’il est temps de se rendre dans la salle pour déjeuner. Quelqu’un a-t-il prévu de nous assassiner aujourd’hui ? » ria la jeune goûteuse. Peut-être était-ce un peu cru comme plaisanterie, mais c’était sa façon de dédramatiser la chose. Il arrivait que Luisa prenne cela un peu à la légère et que Jeanne l’a rappelle à l’ordre : on ne plaisante pas avec la mort.


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MessageSujet: Re: Luisa & Jeanne ♦︎ un lien qui ne tient qu'à nous.  Luisa & Jeanne ♦︎ un lien qui ne tient qu'à nous. Icon_minitimeDim 6 Sep - 11:46
Luisa & Jeanne ✢ un lien qui ne tient qu'à nous.


Cela faisait un long moment que je me trouvais en Angleterre, et je n’étais en réalité pas encore habituée. Le climat froid, voire glacial, m’était de plus en plus insupportable cet hiver. Mon pays me manquait, mais je m’y plaisais malgré tout, entourée d’amies, et accomplagnant mon frère que je ne laisserais jamais tomber. J’apprenais les habitudes de vie des Anglais, et préférais largement ma terre natale. Je savais que l’Angleterre devait faire face à des difficultés à combattre l’hérésie protestante. Ce fut la preuve que l’Angleterre était un pays faible, incapable de régler ses propres problèmes. Je me demandais bien ce que ce mariage pouvait avoir d’avantageux pour notre Empire. Je pensais que nous n’avions pas besoin, notre puissance suffisant bien à elle-même. Je ne pouvais pas partir du jour au lendemain, et je n’avais guère le choix. J’avais besoin d’alliés anglais, pour contrer ma tante Catherine du Portugal. C'est donc auprès de la Reine d'Angleterre que j'essaie d'obtenir quelques faveurs en lui apportant une liste de protestants à brûler, et ainsi me tenir contre ma tante. Je ne savais pas encore pour combien de temps j'allais rester dans ce pays, mais je sentais que mes affaires n'étaient pas encore terminées ici. Il fallait alors que je m'habitue à ce temps qui n'était pas clément envers nous. Par ailleurs j'étais assez confiante sur ce que l'avenir pouvait nous réserver. Il n'y avait pas de raison à ce qu'il se passe le contraire. Depuis mon arrivée en Angleterre, je découvrais beaucoup plus de choses, même si j'allais toujours mépriser les Anglais, je les considérais comme des alliés de choix. Je n'avais guère d'option à vrai dire, depuis le mariage de mon frère Philippe avec la Reine. Il fallait à tout prix éviter que les Français ne grandissent en puissance. Avec ce mariage, nous assoyions notre pouvoir sur quasiment toute l'Europe, et la situation n'allait pas changer.

Ce matin-là, je m'étais réveillée de bonne heure, m'attendant à une journée comme les autres. Au moins chez les Anglais, nous avions le droit à du divertissement que nous offrait la Reine Mary. Des protestants au bûcher, des banquets à la Cour, et des joutes. Ce n'était pas le lendemain que j'allais quitter le pays pour retrouver ma terre espagnole natale où l'ennui commençait à me prendre. Cette nuit-là j'avais assez bien dormi dans mes appartements à la Cour royale anglaise. Quand le soleil se levait, je retrouvais ma goûteuse Luisa, avec qui je passais le plus clair de mon temps. Nous nous étions liés d'amitié depuis ces dernières années, et avions tissé un fort lien de confiance surtout. Cela parait bien évident quand il s'agit de remettre sa vie entre les mains de quelqu'un. Ce fut mon père qui me l'imposa, et de mon côté je n'objectais point. Ceci dit je restais assez méfiante les premiers jours, ne savant pourquoi mon père l'Empereur choisir une goûteuse nièce d'un empoisonneur. Quelle idée, pensais-je. Je ne savais pas ce qu'avait mon père derrière la tête. Ces derniers temps je n'appréciais guère les rumeurs à notre propos, et je tentais de rester à l'écart, ne voulant pas que cela prenne de l'ampleur. Cela ne me faisait pas rire, étant une catholique intransigeante. Je me trouvais couverte de honte lorsque j'appris ces rumeurs idiotes. Par conséquent, j'étais beaucoup moins complice avec Luisa qu'auparavant, mais je ne voulais pas la perdre à vrai dire. Mis à part la présence de Philippe en Angleterre, Luisa était la seule personne en qui j'avais une confiance aveugle, et la seule famille qui me restait à vrai dire. Cela, je ne pouvais pas le nier. Mais ces rumeurs commencèrent à m'agacer, pensant que cela pouvait nuire à mon image. Notre relation était assez unique malgré tout, et je ne pouvais pas la laisser.

À ce moment-là je me préparais, comme chaque jour, et Luisa se tenait près de moi. Ces derniers temps je commençais à lui parler plus souvent qu'auparavant. Surement parce que je me trouvais ennuyée par ce qu'il se passait, et j'avouais que notre complicité d'antan me manquait parfois. On dit qu'on est toujours quelqu'un pour quelqu'un, et Luisa se trouvait être une des rares personnes qui soit quelqu'un pour moi. Ayant un titre de princesse, beaucoup cherchent à vous approcher. Avec Luisa ce fut différent, je pouvais réellement la considérer comme une amie. Les heures passèrent, et le temps du déjeuner approchait. C'est devenu une routine entre nous depuis ces dernières années, et à chaque plat le suspens était présent. Rien ne changeait ce jour-là. J'écoutais la réaction de Luisa lorsque nous commençâmes à discuter. Je me contentais d'acquiescer. L'Espagne me manquait aussi, c'est vrai. "J'ai une sainte horreur de la neige. Ce climat m'irrite vraiment, mais je n'ai guère le choix, je dois rester ici" lui répondis-je après sa remarque sur la neige. Par la suite, Luisa me rappelait qu'il serait temps d'aller déjeuner, sur une touche d'humour qui si l'on réfléchit bien, n'est pas sujet à en rire. On n'était jamais à l'abri d'un assassinat en réalité. Mais ce qui, en vérité, me manquait aussi c'était l'espièglerie de mon amie Luisa, sa dernière phrase, ne sachant pourquoi, me fit sourire discrètement. "Allons-y dans ce cas" me repris-je. "Ce sera à vous de me le dire Luisa" continuais-je sur un ton sérieux. Enfin prêtes, vers 10h30, nous nous dirigeâmes vers la salle pour déjeuner. On nous présentait au menu ce jour-là du canard assaisonné d'herbes fines, accompagné de quelques dattes, le tout sur un tranchoir. Le vin était bien évidemment présent. La cuisine était assurément différente de celle que j'avais l'habitude d'apprécier en Espagne. Ce jour-là, pour une fois, nous étions seules, préférant déjeuner en privé. Lorsque les plats arrivèrent, je laissais Luisa faire son travail, comme à notre habitude, ce qu'elle fait de mieux : goûter.



©️clever love.


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