Owen Faulkner

" Citation Citation Citation " TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM Owen FAULKNER AGE   28 ans DATE DE NAISSANCE 13 Juillet 1525 ORIGINE Gallois SITUATION FAMILIALE Célibataire MÉTIER Lance Coporal of Horse (Vice caporal de cavalerie) GROUPE Garde Royale CRÉDITS Tumblr LE JOUEUR PSEUDO Albertine AGE 17 balais   OU AS-TU CONNU LE FORUM?  Sur PRD TON AVATAR  Richard Madden VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF?  Fictif VOULEZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ?  Yé né pense pas

▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? Elevé dans l'Anglicanisme par son père adoptif, il n'a pourtant jamais cru en nul autre que lui même ainsi que dans le monde qui l'entoure. Il croit en la beauté de certaines demoiselles, dans le bon vin, et dans les diverses choses belles ou moins belles de la vie.
Les changements de religion lui est plus qu'indifférent,tant que cela n'a aucun impact sur sa vie d'épicurien... Il reste persuadé que la reine Mary ferra au mieux pour arranger les choses et que bientôt les conflits se réglerons sans grandes effusions de sang...


▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA NOUVELLE REINE D'ANGLETERRE? Il est fidèle à ceux qui d'une certaine manière le protège d'un ancien maître... Il est dans la garde royale, des hommes loyaux envers la reine Mary. Détail non négligeable, la reine fut aussi princesse de Galles, sa préférence va donc évidemment vers celle qui fut un temps, représenta son pays.
Owen a confiance dans la nouvelle souveraine qui est soutenu par le peuple, il reste convaincu qu'elle réussira à redresser l'Angleterre. Optimiste, il l'est, et d'aucun jugerait qu'il l'est bien trop...

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE JANE GREY? Jane Grey... Une pauvre fille qui c'est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Le Gallois n'éprouve aucun sentiment particulier envers la reine des neuf jours, ni haine, ni amour.  Le peuple ne l'aimait pas, elle représentait le protestantisme pour ceux qui était Catholique, quelqu'un à renverser le plus rapidement possible.
Jane Grey était bien trop fragile pour porter une couronne. Elle est désormais enfermer à la Tour de Londres bien à l'abris des regards ne représentant plus aucune menace pour la reine Mary.


▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? Owen a déjà travailler dans l'ombre au profit de son ancien maître, un homme qu'il admire toujours pour sa grande intelligence... Mais le Gallois reste très expansif sur ses sentiments, et ne possède aucun intérêt personnel pour lequel agir. Il cherche simplement à profiter de la vie tant qu'il est encore temps. Certes, il faut dire que Owen ne respecte pas toujours parfaitement à la lettre les ordres de ses supérieurs, il ne souhaites plus agir aveuglément aux ordres des autres... Mais il reste un bon soldat.

Il était une fois

13 Juillet 1525 Bangor, Pays de Galles.
Sur la place du marché, non loin du port, une jeune fille d'à peine 17 ans portait un simple panier d'osier... Elle semblait avoir beaucoup pleurée car ses yeux étaient rouges et bouffis et son apparence était modeste. Elle ne cessait de jeter des regards à son panier comme si il pouvait disparaître à chaque instant. Henry Faulkner observait avec curiosité cette demoiselle : que pouvait-elle bien cacher dans ce panier qui semblait si précieux pour elle ? Le voleur déjà trentenaire la vit alors soudain poser l'objet de ses inquiétude près de l'étal d'un poissonnier, puis y déposer quelque chose avant de  s'enfuir en courant...
Henry s'avança donc avec précaution et armé de toute sa curiosité vers ce que l'adolescente avait abandonné. Il s'agenouilla et y jeta un œil... Ce qu'il y avait dedans était vivant, et ressemblait étrangement à un être humain ! Un bébé, la jeune fille avait abandonné celui qui était probablement son enfant de manière inconsciente sous la chaleur de l'été 1525... Même si il était un voleur, Henry n'était pas sans coeur, loin de là, et celui-ci ne pouvait pas laisser le pauvre orphelin ainsi exposé aux affres du temps et de la population qui n'hésiterais pas à laisser le bébé ainsi.
Henry Faulkner allait prendre une décision qui changerait probablement le cour de sa vie et qui offrirait un avenir à ce jeune orphelin.

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Les années de l'enfance passèrent rapidement pour Owen. Henry fut un père de substitution tout à fait acceptable, cela valait en tout cas bien mieux que l'orphelinat de Bangor. Il lui apprit tout ce qu'il avait apprit du monde mais jamais il cacha à Owen qu'il n'était pas son fils biologique. L'enfant souffrait de cela, mais étant d'un caractère très expansif sur ses sentiments, père et fils avaient de grande discussion sur cette souffrance.
Jamais l'enfant ne se séparait de la médaille ornée d'une vierge que sa mère lui avait donné avant de l'abandonner... On peut d'ailleurs souvent le voir la mâchouiller en particulier lorsqu'il est nerveux.

Henry lui apprit également son métier, et Owen sembla y exceller. Il avait l’œil vif et la main leste, ajoutons également que sa petite taille d'enfant était un avantage pour arracher la bourse de certain riches passants.
Généreux, il partageait quelque fois son butin avec des enfants démunis de la ville Galloise.
Son père adoptif était extrêmement fier de lui, malgré son statut de jeune voleur, c'était un bon garçon auquel il avait enseigner des valeurs !
Mais Henry avait d'autre projet pour lui dans l'avenir, des projets bien plus ambitieux qui le mettrait à l'abris de tout. C'est ce qu'il espérait...

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"Tiens toi droit nom de Dieu ! Comment veux-tu que le personnage que nous allons rencontrer de prennes sous son aile si tu as l'allures d'un paysan !" disait Henry à Owen.

L'enfant-voleur avait bien grandit, et bien qu'il n'avait que dix-sept ans il en paraissait bien deux de plus. Il faisait au moins une tête de plus que son père adoptif et une barbe légère tapissait ses joues. En tout cas Owen faisait déjà des ravages auprès de la gente féminine, il était charismatique, blagueur et charmeur, si bien que certaine demoiselle gloussait sur son passage.
Le jour que Henry attendait depuis tant d'années allait enfin arriver, Owen allait s'élever au delà de sa condition en devenant le bras droit d'un criminel de grandes envergures. L'adolescent avait changé, sa fine carrure était devenus celle d'un homme musculeux, presque celle d'un soldat, beaucoup moins évident pour voler la populace...
C'est qu'il avait de l'allure son Owen, probablement bien plus que certains hommes de la cour.

Le garçon accueillit la réponse de son père avec désinvolture et espièglerie "Je serais un menteur si j'affirmais le contraire. Même si je dois admettre que je serais un paysan fort plaisant." Il sourit de toute ses dents à son père adoptif, et le résultat escompté arriva car Henry vira au rouge "Et bien ce n'est pas l'allure que je veux que tu donnes !" Il lui donna également une claque derrière le crâne "Et ôtes ce sourire idiot de ta figure bougre d'âne !"
Owen était un trouble-fête, et ce depuis sa plus tendre enfance, il n'était jamais sérieux plus de cinq minutes et ce plaisait à taquiner toutes les personnes qui l'entourait. Cela plaisait à certain, mais pas à d'autre, c'était les aléas de l'humour...

Les désirs de Henry se réalisèrent car Owen devint le bras droit de ce grand criminel : Priam Whiterleaf... D'abord pour un cambriolage dans une famille puis pour d'autre service qu'il lui rendait bien volontiers.

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Owen filait à toute allure sur sa jument couleur bai. Il devait s'éloigner de LUI à tout prix, quitter le pays de Galles et se rendre à Londres, en Angleterre. Ce qu'il allait faire une fois là-bas ? Il n'en avait aucune idée pour le moment, son plan viendrait bientôt, il en était certain. Il devait absolument trouver un moyen de semer celui qui était à ses trousses et qui ne le laisserait jamais en paix...
Cet homme fut plus que son maître pendant ses six années, il fut littéralement un modèle pour Owen qui admirait sa grande intelligence et son esprit. Il apprit beaucoup de lui, des bonnes choses certes (comme le maniement des armes ) mais beaucoup de mauvaises également.
Pour Priam, il séduisit des jeunes, il séquestra et assassine parfois des concurrents gênant pour son "maître". Etrangement, il ne remarqua jamais le mal qu'il avait put faire autour de lui aveuglé par les discours de Priam...
Mais à cause de lui, il avait perdus l"une des seules choses qui comptait à ses yeux : l'amour de son père, celui qui l'avait élevé , qui en apprenant ses divers agissements ne put lui pardonner.
Le fuyard revoyait encore le visage de son père alors qu'il le poussait en dehors de la demeure de son enfance, il était redevenus tel un enfant craintif devant un père trop puissant pour lui. "Ne remet plus jamais les pieds chez moi ! Je ne connaît pas l'homme que tu es devenus, j'ai honte ! J'aurais du te laisser crever sur le marché espèce de raclure ! Tu n'es plus mon fils !"

Pour la première fois de son existence, Owen se sentit honteux et perdu son perpétuel sourire... Il réalisa soudain tout ce qu'il avait fait pour le profit d'un seul homme.
Pour l'amour d'un père, il trahit un maître admiré et c'est pour cela qu'il fuyait le plus loin possible là où ne pourrait pas l'atteindre sa funeste présence...

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Après quelques mois d'errance dans la ville de Londres de taverne en taverne, d'auberges en auberges, la solution se présenta comme par miracle alors qu'Owen se trouvait attablé dans une taverne ou il divertissait ses compagnons de boissons comme il savait si bien le faire...
Il était en pleine imitation d'une ancienne femme du roi Henri VIII : Anne Boleyn. Beaucoup de membre présent riait, et Owen continuait, vannes sur vannes.
Quand il eut finis, il retourna se rasseoir dans le fond de la salle, un léger sourire aux lèvres quand un homme l'interpella. Il avait une quarantaine d'année et était probablement un soldat gradé.
"Puis-je vous aider Messire ?" demanda Owen intrigué.
L'autre répondit avec un léger sourire en coin "Très belle imitation mon gars, et belle musculature également ! Aurais tu déjà été soldat ?"
"Non messire, mais apparemment je suis un bon trublion."

C'est ainsi que Owen fit face à son destin, l'officier le prit sous son aile et le fit intégrer l'armée. Cela fait cinq ans qu'il est dans la cavalerie et il se trouve être un soldat plutôt brillant. Malheureusement, il ne peut plus suivre aveuglément un ordre depuis sa mésaventure avec Pryam. Owen ne respecte pas toujours les ordres à la lettre et ce plait à ridiculiser les supérieurs qu'il n'apprécie guère.
Son entré dans l'armée lui a permis de rencontrer des personnages haut en couleur de Londres. D'abord Lawrence Vaughn, un soldat inférieur à lui dans le grade mais avec lequel il s'entend on ne peut mieux même si il... enfin elle, car oui Lawrence Vaughn est une femme. Depuis le jour ou il a découvert cela, il ne peut s'empêcher de la protéger, et pour cela il se trouve forcer de la suivre tout le temps. D'ailleurs Lawrence semble plus que jamais méfiant à son égard... Peut-être devrait-il lui révéler qu'il connait on secret, le fait est qu'il hésite.
Ensuite, il y a la belle Louise de Brézé, l'une de ses amantes. Il l'a rencontrer alors qu'il imitait la mère de Louise : Diane de Poitier. Aussi quand il l'a vus apparaître il avait craint le courroux de la belle qui avait finalement rit de son imitation plus que fidèle. Petit à petit ils se sont rapprochés et elle est devenus l'une de ses amantes. Ils doivent garder secrète leur relation, car même si il ne veut pas l'admettre, Louise tient à sa réputation et ne veux pas que l'on sache qu'elle c'est "entiché" d'un simple soldat.
Enfin, un personnage pareil à lui, Jack Mortimer. Ils se sont rencontrés alors qu'Owen contrôlait le bateau de Jack. Ce dernier lui a proposé un verre, et Owen a accepté, mais seulement après la fouille du bateau. L'homme lui a posé plein de question sur la provenance de sa médaille et ils ont bien sympathisé ! Mais ce que ne sait pas Owen, c'est que Jack est son père biologique !

L'avenir semble radieux pour Owen qui semble avoir enfin trouvé sa place dans le monde. En étant dans l'armée il a la sensation d'être protégé de tout et surtout de Pryam. Mais sa vie tranquille pour le moment pourrait être plus agité qui ne le pense dans le futur, car le destin fait bien des caprices...