❧ DEFI n°4 ♣ Il y a de l'amour dans l'air ▬ Anna & Avaline

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 28/02/2012

Escapade bucolique

Les champs n'avaient pas beaucoup d'herbe ou bien de l'herbe gelée à cause des nuits d'hiver, mais ce soir là, tout était différent. Des flambeaux partout, et un grand feu crépitant comme pour la Saint Jean avaient réussi à réchauffer l'atmosphère. Des espagnols chantaient des sérénades, les italiens parlaient d'amour avec de simples regards, et les anglais tentaient de copier sur eux. C'était une petite bourgade non loin de Londres et de ses ports qui fêtait la Saint Valentin, comme il se doit. Un des clients d'Avaline l'avait faite venir pour danser devant tout ce petit monde. On était passionnés ici par tout ce qui venait d'Orient. Anna Danford qui ne croyait plus vraiment à une invitation de la part du baron, se promenait, elle, à la recherche de plantes puisqu'elle était apothicaire. Elle avait fait une croix sur la fête, mais il ne faut jamais désespérer dit-on... Qui sait ce qui allait se passer ce soir là ? Étant intriguée par la musique, elle s'arrêta pour regarder mais fut embarquée littéralement au milieu des chants et de la danse. La soirée s'annonçait haute en couleurs.

Mise en place du défi Faites une réponse chacune et The Majestic Rose reviendra à vous sous peu.

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 19/08/2013

Ephémère, immortelle, versatile, la danse est le seul art qui, ne laissant aucun déchet sur la terre, hante certaines mémoires de souvenirs merveilleux.Anna & Avaline

Escapade bucolique

Lorena était dans sa tente, dressée au milieu de cette prairie verglacée dans un petit paradis, en train de se maquiller. Le matin même, un de ses clients était venu les trouver, elle et Mary-Ann, pour demander la permission d'emprunter la perle exotique du bordel pour l'emmener à une fête où il souhaitait qu'elle danse. Evidemment, vu la somme proposée, elle avait accepté avec l'accord de sa maquerelle. Et quelle joie de travailler sans devoir être touchée!
Lorena se leva pour permettre à sa servante d'attacher son corset assez fortement pour éviter de se retrouver à demie nue devant tout le monde (elle était prostituée mais quand même!) mais pas trop pour être à l'aise pour danser. Elle lissa son jupon et installa une petite ceinture comme unique accessoire. Les seuls bijoux qu'elle avait, en dehors de cette ceinture en or et argent, était une paire de boucle d'oreille en forme de perle et une petit diadème délicat fait de perles et de fils précieux. En le mettant, elle en profita pour remettre ses boucles rousses en place sur ses épaules et dans son dos formant une cascade avec sa chevelure. Avec ses mains, elle se frotta un peu les joues pour enlever son trop plein de rouge sur ses pommettes, mit un peu de rouge sur ses lèvres pour les rendre pulpeuses.
Elle alla ouvrir une petite malle qu'elle avait pris remplie de ses affaires de danseuse et en sorti une paire de chaussures plates assez ouvertes. En général, elle dansait pieds nus mais elle craignait d'avoir froid aux pieds à cause de l'herbe verglacée. Il y avait bien des lanternes et des feux de joie, mais vaut mieux ne pas prendre de risque d'être malade surtout que, le lendemain soir, elle recevait des clients importants. De quoi aurait elle l'air en les accueillant le nez rouge et malade? Une fois prête, elle retourna vers le miroir à pied mit à sa disposition et tourna autour d'elle. Puis, satisfaite, elle mit un châle autour de ses épaules et sorti de sa tente pour se diriger vers le centre de l'esplanade où le feu de joie avait été dressé. Une vingtaine d'invités était là à attendre qu'elle commence.

Une fois en place, elle fit signe de la main aux musiciens et une symphonie d'instruments à corde se fit entendre. Elle laissa tomber, gracieusement, son voile de ses épaules et commença une danse sensuelle sous les yeux obnubilés limite pervertis des convives de son client qui la regardait satisfait. D'un signe de main, elle lui proposa, silencieusement et avec des yeux langoureux, de venir la rejoindre ce qu'il fit et s'assit sur une chaise où elle dansa autour.
Une fois fini, sa danse, sous les applaudissements, elle salua tout les invités d'une gracieuse révérence avant de rejoindre sa tente et en profita pour prendre une coupe de vin. Quelques invités, au courant de sa profession au sein du Red Lantern, lui proposèrent d'officier pour eux mais elle refusa poliment en disant, d'un sourire d'ange, qu'elle les attendait avec impatience à la maison close de Mary-Ann Paton. Conquis, ils la laissèrent passer et elle pu rejoindre son habitation provisoire.

Une fois les pieds posés sur les tapis installés sur les planchers de bois provisoires, elle retira ses chaussures d'un mouvement de pieds les envoyant valser de l'autre côté de la "pièce" et alla s'installer à sa coiffeuse. Elle soupira tout en sirotant un petit coup de son verre.

(c) Bloody Storm

La saint Valentin n'est pas le jour qui me réjouit le plus, non pas depuis ces deux dernières années à vrai dire. L'absence de mon baron me rend de plus en plus triste, surtout en ce jour. Je ne suis pas cependant de mauvaise humeur aujourd'hui, la vie continue quoi qu'il arrive. Il semblerait que le calme soit revenu ici, mais pour combien de temps, ça je ne saurais le dire. Londres est bien plus dangereux que ce que j'avais imaginé. Je ne m'étais pas dit en partant que j'aurais à vivre tout ça, je ne regrette pourtant pas mes choix, il est trop tard pour le regretter de toute façon, la seule chose qui me manque réellement c'est lui. Il faut que je tourne cependant la page, Constance me l'a bien dit l'autre jour, s'il tenait à moi il serait revenu. Je ne sais pas si je dois encore espérer son retour, mais quoi qu'il en soit aujourd'hui j'essaierais de ne pas y penser, bien que se sera bien compliqué. Nous avions l'habitude de passer du temps ensemble ce jour-là, de le passer rien que tout les deux et je me souviens des couronnes de fleurs qu'il m'offrait et des journées passé à deux. Tout ceci me rend nostalgique et je crois qu'il faudrait que je m'occupe pour ne plus penser à cela.

Je suis restée à la boutique toute la journée, m'occupant de ranger et nettoyer les étagères, de vérifier les ingrédients des baumes qu'il manquait, de nettoyer la boutique et de répondre aux habitants qui en avait besoin, en cette période hivernal il y a toujours beaucoup de maladie alors la boutique est souvent occupée et cela m'a permit de penser à tout ceux qui souffraient en ces temps difficile et de ne pas penser à lui. Lorsque la fin d'après midi arriva , ma tante me proposa d'aller dîner à l'extérieur dans une auberge profitant de la soirée pour passer un moment toute les deux. J'acceptais avant de me souvenirs qu'il nous fallait quelques plantes et que la lumière du jour pouvait encore éclairer ma route. Je la rejoindrais plus tard. Je suis donc partis avec ma cape sur les épaules et mes bottes ayant troqué mes habituels robes contre un pantalon dans lequel je ne me sens pas aussi à l'aise, mais qui est bien plus adapté a la nature. Marchant le long de la route évitant le flaque d'eau que la pluie à laisser, mes pensées se perdent tandis que j'avance vers l'extérieur de la ville.

Je suis arrivée un peu avant que la nuit ne tombe, cherchant quelques plantes que l'on ne trouve qu'ici, me baissant de temps en temps pour en ramasser et les mettre dans une bourse que j'ai attaché à ma ceinture. J'ai remarquer que des flambeaux avaient étés installé, sans doute que l'on préparait une fête. Oubliant complètement le temps qui passait j'ai continué à chercher des plantes médicinales pour la boutique, jusqu'à ce que la nuit tombe et que j'entende les premiers son des villageois qui fêtaient la St Valentin. La musique semble d'origine orientale et je reste un peu à l'écart observant ce qu'il se passe. Je n'ai jamais vu une telle effervescence et tout cela m'amuse beaucoup. Des danseuses donnent un spectacle que je trouve particulièrement joli à voir, j'aimerais beaucoup savoir danser comme cela. Je me surprend à sourire en regardant ça et n'ai pas le temps de protester lorsqu'on m'entraîne parmi la foule au milieu des villageois heureux qui dansaient. Me mêlant à eux essayant de ne pas m’emmêler les pieds et riant parfois. Je n'ai pas passer un si bon moment depuis bien longtemps, j'aurais aimé que ma tante vois cela. Il faudrait que je pense à retourner à Londres. Il se fait tard. Je m'éloigne un peu à l'écart me reposant un peu et songeant à tout ce que j'aurais pu faire si mon baron avait été là, songeuse je ne fais pas attention à l'endroit où je suis, cela ressemble à une tente et je m'en aperçois lorsque par mégarde je tombe en arrière me retrouvant sur le dos, juste sous les pieds d'une demoiselle que j'ai vu danser quelques minutes auparavant.

Quand Charmant débarque...

Un épi de paille dans la bouche et couché sur le dos tout près de son fier destrier blanc, Charmant regardait le ciel et attendait une étoile filante. S'il en voyait une, il pourrait faire un vœu et bien sûr ce souhait serait en rapport avec les femmes. Si seulement, une pouvait lui apparaître cette nuit et le réchauffer grâce à son corps. Tout à coup à l'horizon, il vit une sorte de lueur, il crut à un signe bien qu'il ne s'agisse que du feu crépitant du camp. Il remonta en selle et trotta jusqu'à un champ où il vit une jeune fille vêtue à l'orientale, et une autre curieusement à ses pieds. La malheureuse avait-elle était malmenée, était-elle blessée ? Il descendit de son cheval pour se ruer vers Anna, et la soulevant dans ses bras comme une plume, la fit monter à l'encolure de l'animal. De nouveau en selle, il n'oublia pas la danseuse, et l'attrapa avec force pour la faire monter en croupe ! C'est certain, elles étaient des demoiselles en détresse en proie aux ivrognes qu'il entendait jouer de la musique et rire, non loin de là.

" N'ayez plus peur damoiselles, je vais vous sauver des griffes de ces brigands ! Ils ne perdent rien pour attendre, et dès que je vous aurai mises à l'abri, ils tâteront de mon épée ! " hurla t-il, tandis qu'il lançait son cheval au triple galop, le vent lui fouettant le visage et sa chevelure parfaite.

Mise en place du défi ♠ Le comte Charmant vient de mettre son grain de sel dont lui seul à le secret, dans votre soirée, comment allez-vous réagir face à cet élément perturbateur? C'est à vous de jouer ♥

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 19/08/2013

Anne&Avaline

Escapade bucolique

Lorena s'apprêta à détacher le corset de sa robe, un léger sourire aux lèvres. Elle ne le dira jamais franchement mais la perspective de passer une soirée sans vendre son corps lui était agréable. Elle aimait la danse et elle ne pourrait pas s'en passer! Mais pour ce qui est de la prostitution… Elle savait que c'était elle qui avait souhaité entrer dans le Red Lantern mais elle commençait à regretter sa décision. Mais bon, elle continuait à prendre le meilleur. Après tout, ses clients étaient gentils avec elle et lui offraient de magnifiques robes et parures que seules des femmes nobles sont sensées porter. Elle avait de l'importance pour eux pas comme quand son père laissait faire son épouse et quand Arthur l'avait laissée tomber aussitôt qu'il avait su qu'elle était une prostituée.

Des larmes faillirent surgir des yeux de la belle danseuse rousse quand une forme tomba à ses pieds. Passée la surprise, elle remarqua qu'il s'agissait d'une femme aux longs cheveux blonds qui s'était pris les pieds dans le tapis et avait donc fini par embrasser le sol. L'ancienne Lorena s'apprêta à se précipiter au secours de la jeune femme quand elle entendu du bruit, quoi encore?! Elle se tourna vers l'entrée de la tente, ouverte depuis que la jeune inconnue était tombée, et vit un homme à cheval. Elle ne su qui il était mais su qu'il n'était pas un des invités de son client.

Puis, sans prévenir, le cavalier sauta de selle pour aller prendre l'inconnue, toujours allongée, dans ses bras. Elle cru d'abord que le nouveau venu voulait vérifier que la femme blonde n'était pas blessée mais réalisa bien vite qu'elle se trompait. Sans penser à remettre des chaussures à ses pieds, elle se précipita vers les deux inconnus pour empêcher cette tentative d'enlèvement en sommant à cet homme de lâcher sa captive sinon elle allait hurler!

Mais elle n'eu pas le temps de dire ses menaces ni de les mettre à exécution car le jeune homme, de nouveau en selle, la prit par la taille et la chargea comme un vulgaire sac de marchandises sur son cheval.

" N'ayez plus peur damoiselles, je vais vous sauver des griffes de ces brigands ! Ils ne perdent rien pour attendre, et dès que je vous aurai mises à l'abri, ils tâteront de mon épée ! "

De quoi?! Non mais il se croit dans un livre cet abruti? Pensa Lorena. La jeune espagnole commença à se débattre mais l'homme la tenait très bien. Tout dans les muscles et rien dans la tête, hein? Et bien, ce soir, Lorena croyait bien fort à ce proverbe! En jetant un regard en arrière, elle remarqua que le camp des festivités s'éloignait dangereusement. Le vent lui fouettait le visage et ses pieds nus qu'elle commençait à sentir gelés.

Réfléchissant, elle fit la première chose qui lui passa par la tête. Et bien que c'était dangereux, elle n'avait pas trop le choix! Elle s'arrangea comme elle pouvait pour enlever sa ceinture d'or et d'argent et, sans prévenir, elle fouetta l'homme avec un geste bien placé. Le résultat ne se fit pas attendre, l'homme en fut surpris et, sous la douleur, lâcha Lorena qui eu, pour réflexe, de s'accrocher à un objet. Elle ne su pas dire si l'inconnue avait été relâchée aussi car la belle rousse fini par percuter l'herbe glacée. Sous le choc, l'air de ses poumons fut expulsé et elle du rester allongée de longues minutes avant de retrouver ses esprits et respirer normalement.
Ceci fait, elle se mit en position assise et observa ce qu'elle avait dans la main. Elle avait lâchée sa ceinture qui reposait quelques mètres plus loin mais, en chutant, elle avait accroché quelque chose à la ceinture de l'homme qui avait tenté de la kidnapper…C'était un poignard de grande valeur. Avec sa chance, elle venait de frapper un noble! Un noble kidnappeur, rien que ça!
Ecarquillant les yeux en se souvenant de l'existence de l'autre jeune femme qu'elle avait tenté, dans un premier temps, de défendre, elle se releva, jurant en constatant son mal de dos, et fouilla les alentours du regard pour voir si elle ne l'avait trouvée nulle part. Avec un peu de chance, l'autre idiot l'avait lâchée en même temps qu'elle! Elle espérait juste que l'inconnue avait eu la même chance qu'elle.

©flawless

J'ai à peine eu le temps d’atterrir sur le dos la tête derrière les rideaux de la tête, de voir la demoiselle et son air surpris qu'un homme un peu fougueux arriva ne me laissant pas vraiment le temps de lui dire que je n'étais pas vraiment en danger. Mais de quoi parlait-il? Certes il était mignon, mais un peu malotru tout de même. La jolie rousse à mes côtés semblait de mon avis. On avait à peine eu le temps de dire quoi que se soit que le cheval de l'homme qui semblait bien être noble se mit au galop. Le cheval n'a jamais été mon moyen de transport favori. J'ai serré les dents n'appréciant pas la chevauché bien trop rapide à mes yeux. Je me tenais tout de même a cet inconnu histoire de ne pas tomber. La rousse que j'avais du surprendre dans la tante avait réussie à se défaire de l'emprise du compte et était retombée dans l'herbe. Je n'osais pas faire de même, le cheval était tout de même grand alors j'ai fait la seul chose que j'ai pu j'ai crier histoire faire comprendre à l'homme qu'il devait s'arrêter.

« Sa suffit! Arrêtez-vous tout de suite!»

Je commençais à avoir mal au cœur et le cheval ralenti, j'en ai profiter pour me glisser sur le côté ayant eu l'habitude de monter un cheval je savais bien m'y prendre. Je suis retombée sur l'herbe lâchant définitivement cet homme étrange. Me retrouvant de nouveau sur le dos la tête dans l'herbe. On n'y voyait pas très clair, la nuit était bien là et il allait être difficile de retrouvé mon chemin dorénavant. J'ai soupiré en me relevant espérant que l'homme était encore là et qu'il pourrait m'aider tout de même, une aide plus adapté cette fois que la première. Il n'avait sans doute pas pensé à mal, mais aurait pu tout de même se renseigner avant de nous enlever comme ça. J’époussetais ma robe et me suis rendu compte que j'avais laissé mon sac avec les plantes que j'avais trouvée en arrivant devant la tente. J'ai fermé les yeux et soupiré me disant qu'il faudrait que j'y retourne et que la nuit allait longue. J'ai cherché des yeux la demoiselle qui était tombée la première espérant qu'elle ne s'était pas rompu le coup en tombant.

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 19/08/2013

“ Anne & Avaline ♦ Escapade bucolique„

Aie! Ce n'était pas ce que Lorena appelerait un atterissage en douceur! Quand l'homme l'avait lâchée, la prostituée avait fini sa chute dans l'herbe verglacée d'un choc à expluser l'air contenu dans ses poumons. Elle était sonnée au point qu'elle était incapable de se relever avant plusieurs minutes.

Quand elle jugea avoir remit ses idées au clair, elle se releva en se massant l'épaule et observa ce qu'elle avait prit à l'homme par réflexe dans sa chute…Il s'agissait d'un poignard de grande valeur! Génial, elle avait failli se faire enlever par un noble! Ou un riche bourgeois… C'est à ce moment qu'elle se souvint de l'autre femme! Elle passa de la position assise à la position debout en une fraction de seconde ne ressentant pas le moindre vertige à s'être relevée si vite. L'adrénaline la faisait tenir.

Un peu plus loin, elle vit quelque chose briller dans l'herbe de la plaine et, en s'approchant, reconnu sa ceinture en or. Elle la prit et l'attacha autour de sa taille avant de coincer son poignard dans celle ci avant de partir à la recherche de la femme blonde. Elle avait les pieds glacées mais tachait d'ignorer la douleur de sentir les herbes et les pierres piquantes s'enfoncer dans ses plantes de pieds.

Elle repéra la jeune fille à quelques mètres d'elle. Elle avait réussi à s'en sortir. Ignorant encore plus la gêne dans ses pieds, elle se mit à courir vers la personne qui avait été victime d'une tentative de kidnapping en même temps qu'elle. Elle arriva à sa hauteur.

Vous allez bien?!

Elle se retourna dans la direction du camp des festivités de son client et pris le poignet de sa compagne d'infortune. Venez! Avant que ce fou revienne! Elle commença à courir mais elle senti de plus en plus une douleur brûlante et glaçante dans le bas de son corps. Ses pieds lui faisaient un mal de chien! Après quelques mètres, Lorena se prit les pieds dans sa robe et trébucha sur une pierre. Se sentant tomber, elle lâcha sa camarade et embrassa le sol, la tête la première. Sonnée, elle tenta de se remettre en position assise avant de se décider à regarder ses pieds en soulevant légèrement son jupon. Elle jura en constatant les dégâts. Ses pieds étaient bleus de froid et avaient des plaies ouvertes un peu partout. Ses chevilles étaient légèrement enflées et elle sentait qu'elle serait incapable de courir et même de marcher.

Elle releva la tête en direction de la jeune fille et dit: allez dans ce camp et demandez un certain Comte Rosenbach. Il s'agit de mon client. Allez l'avertir de ce qui s'est passé! Hors de question que l'autre débile les aie toutes les deux! Alors autant la sauver elle! Avec un peu de chance, elle avertirait que Lorena s'était faite enlevée.

©clever love.

Quand Charmant débarque...

Les belles damoiselles qu'il venait de rencontrer ne semblait pas aimer son jeu de preux chevalier. Jamais, on ne lui avait parlé ainsi ! Jamais on ne l'avait repoussé ! Et JAMAIS, on ne l'avait frappé. Après le coup d'Avaline Clives, le comte Charmant se retrouvait à terre, gémissant de douleur, son fier destrier s'était quant à lui enfui au loin. Quel lâche ! Il allait devoir s'offrir un nouveau cheval, plus jamais, il ne voulait avoir l'air d'un idiot, surtout devant deux magnifiques femmes. Pour conquérir celles-ci, Charmant ne savait plus quoi faire, être un héros, cela ne marchait pas, il serait donc une pauvre victime.
Avec difficulté, l'homme se redressa, il avait mal à l'entrejambe, mais bientôt la douleur passera. L'homme s'installa alors sur un tronc d'arbre, tout en simulant une profonde douleur et se laissa choir, ne parlant pas et sans regarder les deux jeunes femmes, qui le prenait pour un monstre. Il attendait de voir, ce qu'elles allaient faire.

Mise en place du défi ♠ Le comte Charmant vient de mettre son grain de sel dont lui seul à le secret, dans votre soirée, comment allez-vous réagir face à cet élément perturbateur? C'est à vous de jouer ♥

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