Sujet: OHH LES JOLIES ROUQUINES ► avec Lucrèce Peterson. Mar 26 Aoû - 16:26
Ohh les jolies rouquines.
Ahhh les femmes, elles étaient douces, belles, offraient mille et un plaisir à un homme, mais surtout, elles étaient au final, tellement ennuyantes après la nuit, qu’il valait mieux les abandonner. Jack Mortimer était un expert en femme, dès sa plus tendre enfance, il avait baigné dans un monde féminin, avant d’être entraîné dans la piraterie. Sa mère avait été une femme aimante, mais une putain qui l’avait élevé dans un bordel. L’homme avait été très tôt mis au courant des attraits féminins, puisque dans un bordel, on avait souvent l’occasion de voir de belles femmes nues. Quand il était le fils de son père, il fut à nouveau confronté aux femmes, durant des pillages, mais aussi dans les nombreux bordels, où l’équipage du Blacklantern se rendait. La vie n’avait pas changé, les femmes les plus farouches, il les violait, les autres, il les charmait et les obtenait pour une nuit. L’homme n’avait jamais eu peur des représailles, après tout, ce n’était pas sa faute, mais la leur, si elles ne se défendaient pas et la justice lui donnait raison. Cependant, bien souvent, il n’avait pas besoin d’aller jusqu’au viol, les femmes étaient tellement folles de son esprit d’aventurier et de son charisme, qu’elles lui tombaient dans les bras. Le mois de juin était en train de se terminer et Jack Mortimer était parvenu à liquider sa cargaison, s’enrichissant de plus en plus, il avait distribué une partie de son argent à son équipage et l’autre, il le gardait en réserve. Entre son retour et aujourd’hui, il était reparti une semaine, vers les côtes françaises pour transporter et récupérer de nouvelles marchandises. La mer était sa source de richesse et son navire, son unique conjoint. Il avait bien une fille, une petite bâtarde qu’il avait récupéré en engrossant la mère une journée d’été, puis des hommes fidèles, mais son bateau, c’était une toute autre histoire. Comme son père, il voulait mourir sur le Blacklantern et nulle part ailleurs, la mer engloutirait son corps et deviendrait son dernier tombeau. Les marins ne désiraient mourir que comme ça, en mer, les autres n’étaient pas de vrais marins. Accosté sur les bords de la Tamise, pour une somme modique, il avait payé l’intendant du port, pour ne pas être dérangé. Personne ne savait quel était réellement ce navire, personne ne savait qu’il était expert en pillage et en mise à mort. Jack était un homme cruel, un homme qui ne se laissait pas faire et qui n’hésitait pas à tuer, quand les choses ne lui convenaient pas.
En ce jour, il quitta son navire dans l’après-midi, pour inspecter le port et les marchandises qui se négociaient. Habile avec les chiffres, il était toujours friand de ce remue-ménage qui y régnait, avec des cris à la tout va. Il avait aussi une bourse d’or attachée à son ceinturon, pour faire affaire, s’il le jugeait utile. Mortimer était un négociant aussi habile que son père et pour cela, les anciens de l’équipage ne le dénigraient pas. Jack était juste un peu plus fou et prenait parfois trop de risques, quand il jugeait l’occasion trop bonne. Mary-Jane sa fille tenait de son caractère, c’était pour cela, qu’à ses yeux, elle ferait une bonne capitaine, mais pour le moment, elle devait encore s’endurcir et apprendre. Toujours en quête de nouveauté, que cela soit dans les marchandises et les femmes, Jack inspecta les caisses que les marins négociaient, mais aussi les jolis minois qui passaient sous ses yeux. Des brunes, des blondes, des jeunettes, des plus matures, il les inspectait, en quête de la perle rare à ravir, jusqu’à ce que son regard tombe sur une jolie rousse. Il aimait les rousses qui avaient tendance à lui rappeler sa belle Mary-Ann, mais celle-ci était différente, bien que moins attrayante par rapport à la maquerelle, elle était noble et dégagée une aura de jolie sainte, qui lui plaisait beaucoup. L’homme adoré pervertir les femmes les plus sérieuses et il tenterait avec celle-ci.
« Vous ne devriez pas venir ici seule ma lady, cet endroit est plein de malfrats. » Il s’approcha d’elle, affichant un sourire bienveillant aux lèvres, mettant en place le piège qu’il comptait bien lui poser.
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Sujet: Re: OHH LES JOLIES ROUQUINES ► avec Lucrèce Peterson. Lun 8 Sep - 20:29
Oh Les Jolies Rouquines
Pv Jack Mortimer
Lucrèce Peterson voulait sortir au port. Bien que sa suivante soit contre cela. Elle s'en fichait un peu. Son mari batifolait avec la première venue surtout a Londres pourquoi pas elle. Son mari la trompait sans honte et surtout a la vue de tous en plus, il était ami avec d'ancien protestant qui le semblait toujours. lors, elle pensait pouvoir s'amuser avec le petit peuple pour montrer qu'elle aussi pouvait tromper. Elle se baladait regardant les bateaux et la mer, ce spectacle était si beau.
Elle regardait le port vivre au rythme des marchand. Elle savait bien que c’était peu recommandable pour une dame mais elle s'en fichait beaucoup. Elle aimait se sentir libre tout en gardant ses préceptes mais ce n'était qu'une vengeance jamais elle n'en prendrais le plaisir. Alors qu'elle était dans ses pensées, un homme l’accosta. « Vous ne devriez pas venir ici seule ma lady, cet endroit est plein de malfrats. » Il disait cela tout en s’approchant de la jolie rousse.
Je vous remercie de ce conseil mon brave mais je fais attention et qui me dit que vous n’êtes pas un de ses malfrats dont vous parlez.
La rousse disait tout cela en susurrant les mots comme une petite prière. William ne savait pas ce que c'était d'énerver Lucrèce Giovanni. Sa vengeance serait parfaite. Elle sourit d'un petit rictus.
Dernière édition par Lucrèce.B Peterson le Dim 21 Sep - 15:55, édité 1 fois
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Sujet: Re: OHH LES JOLIES ROUQUINES ► avec Lucrèce Peterson. Sam 20 Sep - 18:47
Ohh les jolies rouquines.
Etre arrogant et sans pitié, Jack ne pouvait devenir seulement charmant qu’en compagnie d’une charmante jeune femme. Misogyne, complètement macho, il voyait en les femmes des petites choses faibles, qui ne pouvait céder face à sa force et son charisme. Pour lui, il n’y avait que deux exception, sa chère Mary-Ann, qui était une femme des plus indépendante, mais aussi sa fille Mary-Jane, qui était bien plus un homme qu’une femme, dans son comportement. Depuis son retour, il avait pu observer la chair fraîche de Londres, les belles blondes, les belles brunes, mais surtout les belles rousses, comme Mary-Ann. Pour lui les rousses avaient une saveur beaucoup plus attrayante, d’ailleurs, c’est pour ça qu’il se disait que la princesse Elizabeth, qui est rousse, serait un moindre mal pour le pays. Son égoïsme allait au-delà de celui de tout autre et ce fut tout naturellement, qu’il se dirigea vers la belle rousse qu’il croisa au grès d’un chemin du port. Il s’en moquait bien que la femme soit mariée, surtout qu’elle portait une bague qui montrait bien qu’elle appartenait à un autre homme. Il la mit en garde, lui demandant de se méfier des malfrats, qui pourraient venir l’attaquer, sans lui avouer, que lui-même pouvait se tenir dans cette case, ce que la belle lui répliqua aussitôt. La belle femme avait un doux accent italien, qui lui plut beaucoup. Si Mary-Ann était là, pour sûr, qu’elle lui en mettrait une pour lui calmer les esprits. Il aurait bien rit en entendant la femme l’appeler « mon brave », mais il se retient, pour ne pas la faire fuir. Il n’était rien d’un brave homme, il était même un pourri qui comptait bien utiliser cette femme pour ses propres plaisirs, mais cela, il ne lui dirait pas. Il s’approcha un peu plus d’elle, gardant tout de même une distance acceptable, tout en affichant un sourire charmeur.
« Peut-être que je le suis, mais je peux aussi ne pas l’être, telle est la question. J’aime garder le mystère autour de ma personne. Mais dites-moi, que faites-vous ici, dans un lieu, qui n’est vraiment pas pour une dame de votre qualité. » Il usa de son ton mystérieux, tout en souriant à la dame.
Il ne lui fallut pas longtemps pour voir en elle un défi, une femme qui devait tenir à son honneur, sûrement mal mariée, mais qui jamais ne se laisserait avoir. La posséder serait sûrement un jeu, en plus il aurait une noble à se mettre sous la dent, ce qui pourrait donner une nouvelle saveur à ce met.
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Sujet: Re: OHH LES JOLIES ROUQUINES ► avec Lucrèce Peterson. Dim 21 Sep - 16:04
Oh Les Jolies Rouquines
Pv Jack Mortimer
Peut-être que je le suis, mais je peux aussi ne pas l’être, telle est la question. J’aime garder le mystère autour de ma personne. Mais dites-moi, que faites-vous ici, dans un lieu, qui n’est vraiment pas pour une dame de votre qualité. Cet homme plut assez vite a la belle rousse. Lucrèce sentait que cet homme serait l'instrument de sa vengeance. Elle regarda assez rapidement autour s'il n'y avait personne qui pourrait médire sur elle. L'homme la regardait avec appétit, il allait jouer avec la belle italienne.
Je suis ici a la recherche de quelqu'un pour m'aider a me débarrasser de mon mari sans que cela fasse d'esclandre et de façon tout a fait mystérieuse.
Elle regarda l'homme dans les yeux avec froideur pour montrer qu'elle était prête a tout pour tuer William quoi qu'il en coute. Elle ne serait plus une petite poupée, elle trouvera vite un autre mari beaucoup plus riche qui lui serait fidèle ainsi qu'un vrai catholique.
Connaissez vous un homme qui pourrait le faire ?
Lucrèce dit cela avec sensualité. La belle italienne était prête pour sa vengeance et peut être que cet homme l'aiderait dans son projet. Personne ne pourrait soupçonner la supercherie, elle disait son mari malade et surtout ses enfants étaient en sécurité avec leur gouvernante. Elle serait veuve mais pas pour longtemps.
Dernière édition par Lucrèce.B Peterson le Dim 12 Oct - 19:47, édité 1 fois
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Sujet: Re: OHH LES JOLIES ROUQUINES ► avec Lucrèce Peterson. Dim 28 Sep - 22:13
Ohh les jolies rouquines.
Une belle femme perdue au gré du vent, rousse qui plus est, Jack ne pouvait que venir à sa rencontre, même si ses intentions étaient plus que malhonnête. Lui, ce qu’il désirait, c’était à nouveau ravir la femme d’un autre, l’avoir pour lui, la faire rêver et la reconduire à sa vie normale, l’obligeant à afficher son déshonneur à son époux. Cependant, le forban ne s’était pas attendu à recevoir une telle réponse de la dame, quand il afficha le mystère de sa personnalité. Elle venait ici, pour trouver une personne qui l’aiderait à la débarrasser de son mari. Quelle femme vertueuse pourrait se montrer aussi catégorique, quant à la vie de son époux ? D’ailleurs quelle femme pourrait arriver à une telle extrémité ? Lui, qui avait fait de nombreux cocus n’avaient jamais reçu de demandes de leurs épouses, pour les tuer. Cette femme marquait son attention, comme Mary-Ann, elle ne semblait pas être comme les autres. Curieux, il ne passa donc pas son chemin, avide de voir jusqu’où les évènements pourraient le conduire.
« Et bien, je pourrais connaître quelques types de ce genre. La Tamise regorge de cadavres la nuit, certains remontent, d’autres disparaissent à jamais. » Il parlait d’une voix inquiétante, tout en se rapprochant un peu plus de la dame. « Mais si votre mari est un noble, l’esclandre sera inévitable. » Un noble qui mourrait, dont le cadavre était retrouvé dans la Tamise, il n’y avait peu de chance pour que cela passe inaperçu, à moins que la dame ne veuille l’empoisonner lentement, mais là ce n’est pas d’un brigand qu’elle aura besoin. La femme parlait avec sensualité, cherchant à le charmer, mais savait-elle qu’il lui en fallait bien plus pour le convaincre ? Savait-elle qu’elle parlait à Jack Mortimer, le capitaine de la célèbre et funeste Blacklantern ? Certainement pas et sa surprise serait d’autant plus grande, quand elle apprendrait qui il était réellement. « Dites-moi douce lady, comment comptez-vous vous débarrasser votre mari et si je puis demander, pourquoi mérite-t-il un tel sort ? » Il afficha un sourire moqueur, se demandant réellement ce que l’homme avait bien pu faire pour agacer sa femme, à tel point qu’elle ne désire qu’une chose le faire tuer par n’importe quel brigand. La lady était quand même bien courageuse, de venir ici, seule dans un port, pour demander de l’aide à n’importe qui, au péril de sa vie. Pour ça, il ne pouvait que l’admirer. Mais, pour ce qui était de la suite des évènements, il était curieux d’en savoir plus, de la bouche de cette délicate fleur.
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Sujet: Re: OHH LES JOLIES ROUQUINES ► avec Lucrèce Peterson. Dim 12 Oct - 20:16
Oh Les Jolies Rouquines
Pv Jack Mortimer
Le lieu devint assez sombre quand Lucrèce dit sa dernière phrase. La belle noble regardait autour d'elle. Des marchands vendaient leurs poissons, plusieurs navires arrivaient surement des Espagnols pour le mariage. Son interlocuteur semblait surpris mais ne semblait pas dire non. Elle allait s'amuser avec cet homme et en même temps pouvoir se débarrasser de son mari. Lucrèce savait aussi que son mari en fessant son testament lui avait tout donner. « Et bien, je pourrais connaître quelques types de ce genre. La Tamise regorge de cadavres la nuit, certains remontent, d’autres disparaissent à jamais. »L'homme se rapprochait de la jolie rousse, elle resta droite en le regardant dans les yeux. « Mais si votre mari est un noble, l’esclandre sera inévitable. » Lucrèce n'y avait pas pensée mais bon, son mari n'était qu'un petit lord sans importance. La douce maman se demandait pourquoi son mariage avait si mal fini. L'homme en face d'elle semblait réfléchir, la rousse attendait patiemment que ce bel homme lui expose ses idées pour un meurtre parfait. Lucrèce s'imaginait se remarier a un Duc ou un Comte. Elle serait pleinement heureuse, elle le sentait. « Dites-moi douce lady, comment comptez-vous vous débarrasser votre mari et si je puis demander, pourquoi mérite-t-il un tel sort ? » La question la prit au dépourvu que répondre a cela. L'homme lui souriait pour l'obliger a répondre. Lucrèce savait qu'elle était devenue assez folle ces derniers jours depuis qu'en voyant son mari avec cet Hertford en train de parler de certaine affaire qui ne devait jamais être su et le comportement très libertin de son mari. Oui, après cela, elle a eu cette folle idée et aussi de faire tout comme lui, c'est a dire courir les endroits malfamés, la vengeance est un plat qui se mange froid. Oh, peut être car, je déteste voir mon mari me ridiculiser en couchant a tout va. Et aussi le fait qu'il s'approche dangereusement des hérétiques. Il faudrait peut être le tuer d'une telle manière qu'il soit méconnaissable. Je dirais a mes proches qu'il est mort d'une maladie ou d'un accident. Personne ne saura jamais la vérité. Lucrèce eut un rire assez discret pour montrer sa douce folie qui la prenait. Elle s'approcha d'un pas félin vers l'homme assez sombre qui lui faisait des œillades assez suggestive. Elle dira tout a cet homme puis s'amuserait un peu. Elle espérait beaucoup de cet entretien. Son cher mari allait bientôt mourir cela va s'en dire. Elle détacha rapidement son chignon pour laisser sa belle chevelure de feu glisser sensuellement le long de son corps. Comme cela, je pourrais hériter de sa fortune et épouser en seconde noce, un vrai noble et fervent catholique. Je tuerais tout ceux qui sont contre mon accession sociale. Comprenez vous ? Alors voulez vous faire cela pour moi ? La belle rousse fit un clin d’œil a l'homme qui réfléchissait avec ardeur a compter ce qui lui irait le mieux. En regardant encore une fois, l'homme, elle lui dit avec sérieux. Je pourrais vous offrir beaucoup, si vous me suivez ?
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Sujet: Re: OHH LES JOLIES ROUQUINES ► avec Lucrèce Peterson. Lun 20 Oct - 14:07
Ohh les jolies rouquines.
Il n’avait pas pour habitude de pouvoir converser avec des femmes, qui avaient tout bonnement l’apparence de sainte nitouche, mais ne désiraient qu’une chose, faire assassiner leurs époux, par le premier brigand venu. Jack ne s’était jamais gêné de tuer ses ennemis ou une personne trop encombrante, mais il détestait qu’on lui demande de tuer à la carte, surtout quand cela ne lui rapporterait rien. Il était cruel, mais pas fou et jamais il ne se laisserait manipuler par une femme. Ces belles créatures étaient fourbes et elles savaient comment utiliser leurs charmes, pour pouvoir mettre les hommes dans leurs filets. Le capitaine ne leurs faisait pas confiance, sauf à Mary-Ann, cette femme était différente. Indépendante, elle dirigeait son petit royaume et ses filles d’une main de fer. Elle était mystérieuse, mais cela ne le gênait pas, après tout, elle était la seule femme, qui après sept ans de relation était toujours là, à l’attendre, même après ses longs déplacements. Jack en apprit un peu plus sur la situation de la noble, cette dernière était trompée par son mari, ce qui expliquait pourquoi elle voulait le tuer. Son époux devait faire partie de ces hommes qui allaient de bordels en bordels et de tavernes en tavernes, pour mieux assouvir ses besoins vitaux. Il découvrit aussi par l’épouse, que l’homme se rapprochait des hérétiques. Jack était non croyant et ce dernier point l’indifféré. La dame avait une idée bien arrêtée sur la question du meurtre et elle désirait que son mari soit méconnaissable aux yeux de tous. Le défigurer ne serait pas difficile, mais pourquoi donc chercher compliqué, quand on pouvait faire simple.
« Un pauvre bougre qui disparait tragiquement dans une attaque, c’est ce qui a de plus habituels ici. Si votre mari fréquente les lieux de débauches, il peut très bien se faire attaquer, en sortant. L’alcool, la débauche, personne ne le regrettera, surtout si vous mettez en avant son côté hérétique. » L’homme grimaça en prononçant ce dernier mot. Cette affaire ne pourrait rien lui apporter, à part des ennuis et Jack ne voulait pas se lancer dedans, il avait déjà dû laisser Mary-Ann pendant un an, il ne voulait pas devoir l’abandonner pour toujours, parce qu’on le jetterait dans une sombre prison. La femme bafouée se faisait de plus en plus charmeuse, dévoilant à Jack ce qu’elle comptait faire pour le convaincre. Il la regarda avec des yeux amusés, puis l’écouta dévoiler ses plans pour la suite. L’ambition était ce qui l’animée, elle voulait récupérer la fortune de son mari, pour pouvoir épouser un homme beaucoup plus prestigieux, que c’était fourbe. « L’ambition, voilà un fléau qui frappe de nombreux nobles. » Il se mit à rire et continua, quand il entendit la femme lui dire qu’elle pouvait lui offrir tout ce qu’il voulait. « Ma belle, je ne suis pas un homme à me laisser manipuler. » Disait-il tout en lui caressant les cheveux. « Mais, que pouvez-vous m’apporter ? J’ai mon navire, tous les océans du monde, les femmes sont à mes pieds, j’ai de l’argent. Qu’est-ce que ça peut me rapporter toute cette affaire ? » Il souriait d’un air goguenard, tout en se moquant de la belle lady.
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Sujet: Re: OHH LES JOLIES ROUQUINES ► avec Lucrèce Peterson.