Sujet: Impensable, invraisemblable | Priam & Ron. Dim 25 Jan - 1:35
Priam & Ron
Impensable, invraisemblable.
✻✻✻ Ce matin, tres tot, tu as courus les bois à dos d'étalon pour te rendre a Londres. Abandonnant tes frere a leur repos bien mérité. Tu avais décidé de leur préparer une surprise. Parce qu'aujourd'hui est un grand jour! Du moins, il aurait été un grand jour si une certaine personne aurait été presente. Ton grand frere biologique, Colin. Tout les ans, depuis sa mort, tu prépares un petit quelque chose à offrir à chacun de tes nouveaux frères. Cette famille d'homme qui t'a acceuillis pour te proteger et t'élever toutes ces années. Pourquoi attendre ce jour en particulier? Parce que Colin aurait souhaité que tu remercie tes sauveurs, au moins autant de fois que lui aurait pus le faire. Il n'y a pas meilleure autre occasion a tes yeux. Alors, tu traverses les rues pour te rendre sur la grande place. Tes yeux pétillant admirent les étales des divers boutiques. Vêtements, bijoux, sacs, couteaux, livres. Tu as tellement d'idée que tu ne sais plus ou donner de la tete. Dans ton esprit, il se frait deja le passage des multiples façons dont tu pourrais voler toutes ces choses. Mais aujourd'hui, tu comptes bien payer ces vendeurs. Pas avec ton argent, certes, parce que tu n'en possèdes pas, mais bien avec celui que tu vas dérober d'ici peu. Sur le côté de la rue, tu observes patiemment la proie parfaitement. A plusieurs reprises, tu voles les maigres bourses de plusieurs femmes, leurs offrant un de tes plus beaux sourires. Ce meme sourire que les hommes utilisent pour berner n'importe quelle demoiselle susceptible de périr sous leur charme. Oui, celui la. Finalement, après avoir fouiller les poches de ces dames, tu tombes sur le jeune riche idéal. Il est grand, les cheveux clairs et le regard perdu. Sous l'effet de tu ne sais quelle émotion, tu commences à marcher droit sur lui. Tete a demi baisser, cacher par ta cape. Tu as fais ca des centaines de fois, tout ce passera bien. Tu continueras d'avancer jusqu'à le heurter, juste au niveau de l'épaule. Tu n'auras besoin que d'une seconde pour glisser ts fine main habile dans sa poche pour en exterminer ton butin. Et une autre seconde pour t'excuser et t'en aller en continuant ta route. Comme si de rien n'était. C'est le plus simple. Un homme tel que toi se doit de réussir un vole si bete et si simple. Tout ce passa tres vite. Comme tu te l'étais dis, tu marchas, tu le heurtas et pris sa bourse pour la glisser dans ta poche. Mais tu n'eut pas le temps de t'excuser que celui ci t'avais brusquement saisis par le bras, vif et précis. Un peu et simple reflex qui te fit te retourner et perdre ton regard dans le sien. Tu restas là, figé, le visage neutre et sans expression apparente pouvant trahir ta surprise. " - Excusez moi, je ne faisais pas attention." dis tu presque mécaniquement.
♕ Métier : évêque d'Oxfordshire et frère cadet du comte d'Hundington ♕ Age : 48 ans, je ne me fais pas tout jeune ♕ Religion : catholique, mais il n'est pas un puriste. Il reste tolérant à l'égard des protestants. ♕ L'avatar a été fait par : fassylover (ava) & astra (signa) & frimelda (icons) ♕ Mon nombre de messages est : 1084 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 11 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 12/10/2014 ♕ Mon pseudo web est : proserpina ♕ Mes autres visages : William Cavendish
Sujet: Re: Impensable, invraisemblable | Priam & Ron. Mar 27 Jan - 17:50
Priam & Ronny ♦ impensable, invraisemblable.
Cela faisait un long moment que je séjournais ici à Londres. C'était une belle ville, mais pas à la hauteur des villes françaises à mon goût. Londres semblait de plus en plus vivante ces temps-ci. On dirait que l'engouement pour le mariage de la Reine d'Angleterre était bien présent. Il est vrai que je ne comptais pas quitter le pays avant longtemps, mais en même temps, Paris me manquait, en plus de mes amis les plus proches. J'avais déjà eu l'occasion de venir à Londres une première fois, mais je pensais que ce premier séjour dans la ville était bien trop court. Il fallait aussi que j'aille découvrir au plus vite ce que la ville avait à m'offrir, puisque j'avais beaucoup plus de temps qu'auparavant. À cette période de l'année, il ne fait pas très chaud, et j'allais donc découvrir les hivers de Londres, espérant qu'ils sont plus chauds qu'en France, même si j'en doutais.
Après m'être bien reposé pendant la nuit, je me réveillais de bon matin. Le soleil était déjà levé il y a pas mal de temps. J'avais rejoins ma soeur ce matin là, pour lui parler et m'assurer qu'elle allait bien. Je la prévenais que je comptais me rendre en ville ce jour-là. Elle aimait plutôt rester à la Cour anglaise et parler avec ces nouvelles amies, cependant je la voyais plus souvent écrire des lettres à ces amies de France. J'espérais du moins qu'elle n'était pas malheureuse.
Me trouvant enfin dans les rues de Londres, je commençais à découvrir à nouveau les alentours. J'avais décidé de me diriger vers une taverne assez réputée pour y retrouver un bon ami, membre de la garde royale. Je ne connaissais pas encore très bien les alentours, mais je savais au moins me repérer. Ce jour-là il y avait beaucoup de monde dans les rues, et j'entendais les marchands crier qu'ils avaient de bons produits à vendre. Je remarquais alors que les manières marchandes étaient les mêmes partout, même dans mon pays natal. Alors que je marchais, je n'avais pas vu un jeune homme venir vers moi, et me heurta alors. Je fus assez surpris, surtout que je ne fus pas dupe, je sentis ma poche être plus légère. Je doutais d'un coup que quelque chose se passait. Je n'avais rien vu venir, mais une situation comme celle-ci était assez fréquente à Paris. J'attrapais alors son bras pour l'arrêter, et lui lancer un regard pour voir s'il culpabilisait. Après ce petit moment de silence, il s'excusa prétendant qu'il ne faisait pas attention. Je tentais alors le tout pour le tout. "C'est cela. Tu n'aurais pas quelque chose qui m'appartient jeune homme ?!" lui répondis-je d'un ton ferme. Je n'aimais pas la tournure que prenais cette situation, de plus à ce moment-là je restais assez méfiant, surtout lorsque je me trouvais dans un pays étranger, qui sait ce qu'il pourrait se produire.
Sujet: Re: Impensable, invraisemblable | Priam & Ron. Mar 27 Jan - 18:29
Priam & Ron
Impensable, invraisemblable.
✻✻✻ Tes yeux se perdaient dans les siens. Tant et si bien que tu restas un long moment sans ne dire mot. Si tu avais été dans un état, disons, plus ou moins normal, il y aurait bel lurette que tu te serais dégagé et te serais enfuis à toutes jambes. Evidemment, il y a toujours la façon de facilité. Celle qui consiste à rendre le bien volé et de s'excuser, le suppliant même pour qu'il n'ose te dénoncer à la justice. Cela dit, c'était loin, vraiment très loin d'être celle que tu préfères. Généralement, tu as la main leste et assène ton attaquant de ton meilleur crochet du droit. Et Dieu sait comme il as pu être fatale à un nombre incalculable d'homme. Ils s'étaient tous crus plus puissants que toi et t'avaient donc sous estimer. Grossière erreur. Tu avais été élevé par des hommes pour être un homme. Pas une vulgaire fillette qui se range dans le droit chemin et se laisse faire sans exprimer ses idées. Tu es comme ça toi, tu ne te laisses pas faire. Tu as ta liberté et tu y tiens. Plus que tout autre chose. Enfin, toujours est - il que tu as besoin de cet argent, sans quoi tu pourrais dire adieu aux cadeaux que tu comptais offrir à ta famille. C'était pour Colin. C'était trop important à tes yeux. Rapide comme l'éclair, tu lui marchas que le pied, te retourna brusquement pour le frapper au niveau des cotes à l'aide de ton coude. Lorsqu'il t'eu lâché, certainement sous la douleur, tu profitas de cette occasion pour t'enfuir. Courir, plus vite, toujours plus vite et encore plus loin. Avec la vitesse, ta cape volait, et ton capuchon c'était abaissé. Tu n'y pensais même pas. A vrai dire, tout le monde avait toujours pensée que tu avais le visage et le physique d'un homme, alors pourquoi cela changerais aujourd'hui? Tu tournes dans divers rues, jusqu'à finir dans un cul de sac. L'allée était fermé, barricadé par un multitudes de caisses. Tu aurais beau grimpé, tout ce que tu risquais, c'était de tomber et de perdre la vie ainsi. Drôle de façon de mourir, que tu ne voulais pas expérimenté si tôt. Alors, tu te retournes, faisant face à ton trousseur. Tes iris verdoyants se plantent dans les siens, certainement pour lui montrer que tu n'avais pas peur de lui et que tu ne changerais pas d'avis. Sur tes gardes, tu attendais la suite des évènements, prête à répliqué si il tentait de t'approcher.
♕ Métier : évêque d'Oxfordshire et frère cadet du comte d'Hundington ♕ Age : 48 ans, je ne me fais pas tout jeune ♕ Religion : catholique, mais il n'est pas un puriste. Il reste tolérant à l'égard des protestants. ♕ L'avatar a été fait par : fassylover (ava) & astra (signa) & frimelda (icons) ♕ Mon nombre de messages est : 1084 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 11 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 12/10/2014 ♕ Mon pseudo web est : proserpina ♕ Mes autres visages : William Cavendish
En arrivant ici à Londres, je me posais de beaucoup de questions, mais pas autant que lors de mon premier séjour. Seulement, ce premier séjour était à mon goût un peu trop court, et voilà que l'on m'offrait une autre opportunité d'y revenir. Une aubaine ! Si l'on pouvait le dire bien sûr.. La vie ne fut pas rose, et elle était toujours semée d'embûche, je l'avais bien appris. À mon arrivée, ma priorité était bien entendu le travail, et surtout d'apaiser les relations franco-anglaises, avec le soutien des Écossais, que j'appréciais tout particulièrement. Ce jour-là je décidais de m'aventurer seul dans les rues de Londres. Était-ce une bonne idée ? Je n'en savais rien à ce moment-là. Je remarquais alors que rien ne changeait vraiment que Paris, à certains endroits. Mais je ne me sentais, malgré tout, pas chez moi. Tout du moins pas encore. J'avais aussi eu l'occasion de rencontrer beaucoup d'anglais, mais aussi revu des amis écossais, ce qui me faisait très plaisir. N’ayant jamais vraiment visité cette belle ville en long et en large, j’appris à la connaître petit à petit, pendant mon séjour au pays, qui j'espère, sera long.
La situation était toujours la même depuis hier, mais il est vrai que je pouvais quand même dormir sur mes deux oreilles. Cela faisait pas mal de temps que je me retrouvais dans cette ville. Je finis par apprécier Londres, que je ne connaissais à peine auparavant. Ce jour-là je décidais de me promener tranquillement seul dans les rues de Londres, capitale du Royaume d'Angleterre. Je souriais, simplement. Je commençais à connaitre les habitudes des Anglais et à m'habituer à leur train de vie. Mais ce petit moment de détente allait bien être de courte durée, puisqu'un jeune homme m'était rentré dedans. En temps normal, je resterais amical et dirais que ce n'est rien, mais ce ne fut pas le cas. Étant assez observateur, je remarquais que ma bourse avait disparu. Je faisais alors directement le lien avec ma dernière rencontre. Je l'interpellais alors, sans hésitation. L'homme resta sans voix, je le regardais bien dans les yeux. Tant est si bien, qu'au final, je finis par me demander s'il est vraiment ce qu'il prétend être. J'avais bien de l'expérience en vérité, et je savais reconnaitre les yeux d'une femme, cela était certain. Puis sans que je vois le geste venir, il me marcha sur les pieds, m'agressa et fuit. Non, mais ce n'était pas des manières ! "Reviens ici voleur !" criais-je, sous le regard des quelques personnes autour. Ce ne fut pas sans douleur que je tentai de le suivre. Je courais, jusqu'à le retrouver dans un cul-de-sac. "Qu'as-tu à dire pour ta défense ?" dis-je.
✻✻✻ Il était là, devant toi et ne semblait pas vouloir abandonné sa petite bourse. Cela ne t'étonnais pas. L'orgueil masculin est une vrai plaie quelques fois! Cela dit, tu peux te montrer tout aussi bornée que n'importe qui d'autre. Il te demande ce que tu as à dire pour ta défense, et à vrai dire, sa remarque t'arrache un sourire. Tes mains repoussent la capuche qui couvre ton visage. Le combat qu'il va t'offrir risque d'être amusant si son crochet est aussi ardu que ses paroles. Cela dit, tu n'as pas vraiment le temps d'envisager quoi que ce soit que tu vois arriver au bout de la rue un petit groupe de cinq jeunes hommes. Disons plutôt, un groupe de voleur. Tu les avais connu il y a plusieurs mois lors d'un braquage. Ta famille et toi même les avais coiffé au poteau. Et depuis ce jour, c'est une quête perpétuelle de vengeance qui les animent. Ils ne cherchent qu'une chose ; la faiblesse de ton clan. Autrement dit, toi. Ca, ils l'avaient compris dès votre première rencontre. Tu étais le plus jeune et par conséquent, même doué pour le vol, le plus faible aux poings. Ton petit niveau n'équivalait pas le leur, tes muscles et ton corps de femmes te l’empêchait. Mais, ça, ils l'ignoraient. Tous t'avaient toujours pris pour un garçon. Ainsi cerné, l'entrée de la rue étaient infranchissable. Et au vue de leurs sourires, ils n'allaient pas laisser le pauvre homme que tu avais précédemment voler. " - Alors Ron, comme ça on se la joue solo maint'nant? Tant mieux, ce sera toujours plus simple de te couper les mains. Après qu'on se voit débarrasser de lui, évidemment. Les gars, au boulot. " déclara t - il avant de cracher à ses pieds. Instinctivement, tu t'étais approcher de ton aîné et lui avait brusquement pris le bras afin de lui tirer et de te placer devant lui. Situation qui sur le coup, hilarante. Il devait certainement faire une à deux tête de plus que toi et il aurait très bien pus se défendre sans toi, ce qui t'aurais donné l'occasion de t'enfuir et en plus de ça, garder sa bourse. Mais tu es comme ça. Tu vole, mais pas la vie. Et tu refuses catégoriquement que quelqu'un puisse mourir par ta faute. " - Il n'a rien à voir avec ça Tobias. C'est entre toi et moi. Laisse le s'en aller. ". Pour seul réponse, tu eux droit à un rire tonitruants. Tu avais avancer suffisamment pour qu'un d'entre eux s'approche de toi. Il était grand, mais très lent. Rien qu'à sa façon de se mouvoir, tu savais déjà qu'il ne ferait pas le poids. Alors, lorsqu'il se mit à courir vers toi, tu n'hésita pas une seconde et lança ton pied entre ses jambes. Il se stoppa net, figé par la douleur, tomba même à genoux. A nouveau, tu usa de ton crochet droit qui l'assomma presque aussitôt. Un des hommes s'étaient dangereusement approcher de ton protéger, une lame au poing. Tu lui sauta sur le dos et serra tes bras autour de son cou. Il te fit passer par dessus lui et, une fois tombé à terre, t’asséna un grand coup de pied dans l'abdomen. Le souffle coupé, tu tentais d'assimiler la douleur. Tu te releva dès que tu le pus et te plaça devant ton nouveau compagnon. Tu esquiva le poignard une première fois, une seconde fois, mais la troisième fut décisif. Elle coupa ta chair le long de tes côtes. Grimaçant, tu saisis la lame à pleine main et en lui jetant un coup de poing au niveau du thorax. Sous la douleur, il desserra suffisamment le poing pour que tu puisses le lui arracher. En tournant les yeux, tu ne trouva plus ton aîné. Affolé, tu fis un mouvement bien trop brusque ce qui anima ta blessure. Tu posa ta main sur celle ci tout en t'appuyant à un mur. Tu ferma les yeux, consciente que tu n'allais certainement pas survivre à la colère de ton assaillant. Cela dit, lorsque tes yeux s'ouvrirent, la seule personne que tu vis était le jeune homme que tu avais volé un peu plus tôt. Tu ne l'avais perdu des yeux qu'une seconde et il était encore en vie. Tu tenta de te redresser sans t'aider du mur afin de te redonner un peu de contenance, mais le sang que tu avais perdu te fit perdre conscience. Te perdant dans les bras du jeune homme.
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Une journée comme les autres. C'était vraiment une journée comme les autres. J'essayais d'avoir la tête ailleurs, de me concentrer à mon travail, mais aussi à mes amis les plus proches, surtout à ma chère soeur qui découvrait le pays. Sa sécurité était ma priorité avant toute chose. Ce jour-là il était assez tôt le matin, et je décidais de me promener seul dans les rues de Londres. Je n'avais aucune peur de me perdre, de plus ce n'était pas la première fois que je me rendais dans la capitale. Je commençais à connaître les alentours, mais pas ses habitants. J'avais toujours rencontré de nombreux nobles anglais et écossais. J'avais toujours vécu dans ce milieu là. Je ne connaissais donc pas la population anglaise pour sûr. Ce jour-là j'étais offusqué par ce qui venait de se passer. En plein Londres, quelqu'un vint me voler ma bourse accrochée à ma ceinture. J'y tenais à mon argent, même si en soit je ne me plaignais pas du tout de ma condition bien au contraire. Seulement je ne cautionnais pas le comportement du jeune homme me paraissait-il. Ce serait bien trop facile si je le laissais courrir dans les ruelles. Il commença à faire une petite scène et je finis par courir après lui. Il courait et au fur et à mesure je me questionnais sur son allure. Plus je regardais, plus ça me rappelait les courbes féminines. Je ne fis pas attention dans un premire temps. La fin de la course poursuite se fit dans une rue fermée. Il était pris au piège cela était certain. Alors je tentais tant bien que mal de récupérer ma bourse. Je commençais à être énervé. Jamais cela ne m'était arrivé auparavant, et décidement les Anglais me surprenait de jour en jour. En attendant je ne savais pas quoi faire, il restait planté là. Je sentais alors que je n'allais pas récupérer ma bourse aussi facilement que je ne l'avais prévu.
Je vis d'un coup son visage. Mais c'est une femme ! Comment cela était-ce possible ? Elle avait un certain talent cela était sûr. Mais elle dévisagea quelque chose derrière moi. Je me retournais alors et vit pas une chose mais bien un groupe de jeunes hommes, et bien des hommes cette fois-ci. L'homme annonça qu'il voulait se débarasser de moi, non mais pour qui se prenait-il ? Il avait l'air de plus pas en bons termes avec ma voleuse. "Pour qui te prends-tu ? Je suis un ambassadeur et cousin du Roi de France ! Je peux vous faire mettre sur le bûcher si vous continuez à me menacer comme cela !" lui lançais-je d'un coup. Puis je vis la voleuse se mettre en lui et moi et lui parler comme si elle aussi ne voulait pas qu'on s'en prenne à ma vie. Je restais silencieux, ne sachant quoi faire, me trouvant dans une horrible situation. Je la voyais se battre, comme un homme littéralement. Elle fut blessée, et je ne savais quoi faire pour l'instant. Je me mis alors à la rejoindre, essayant d'au moins ne pas la laisser tomber. Seulement je n'avais aucun kit de soin sur moi, et n'étant pas du tout médecin, je ne pouvais rien faire pour la soigner. "Attends petite !" lui dis-je en m'approchant d'elle alors qu'elle s'appuyait sur le mur pas loin. D'un coup elle se retrouvait évanouie dans mes bras. "Hey !" criais-je. "Qu'on appelle un médecin tout de suite !" criais-je encore en essayant de l'ammener vers la rue principale, puisque les assaillants avaient disparus en un instant. "Réveilles-toi !" lui dis-je en lui tapotant un peu le visage. D'un coup elle se réveilla, pas assez consciente mais ses yeux s'ouvrit. "Réveilles-toi" répétais-je en tentant de garder ma main sur sa blessure que ne n'arrêtait pas de saigner.