Sujet: Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie || Elena Sam 16 Mai - 10:05
Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie
Elena D'Altafuente
L
e mois de février était de loin le mois d'hiver le plus rigoureux en Angleterre. Je détestais le froid, sans doute parce que je ne l'ai pas connu depuis fort longtemps. Etre parti durant quinze ans vers les contrée ottomanes laisse des marques, dont celle de ne plus supporter le froid. Je le supporte cependant mieux que mon "épouse" qui elle se calfeutre au coin du feu en priant pour revoir le soleil. Ce n'est certainement pas moi qui viendrait la réchauffer, cet elle qui à voulu quitté son pays pour venir ici, qu'elle assume et qu'elle arrête de se plaindre sinon je serais sans nul doute capable de la renvoyer en Libye illico. Je ne suis pas un homme empathique c'est une certitude, je ne suis même pas sûr d'être capable d'aimer de manière sincère une personne. Je vois le mariage et l'amour comme une contrainte , on ne peut plus faire ce que nous voulons quand nous le voulons, nous devons penser à l'autre dans chacune de nos décisions, cela me semble trop compliqué. l'avantage avec mon mariage c'est que Roxelane sait que je lui ai fait une fleur en l'épousant, elle ne me demande donc pas d'être un époux. Nous partageons juste le même nom de famille.
Mais revenons en au temps de cette journée froide de début février 1555. Il avait beau faire très froid, le soleil brillait sur la neige tombée il y a quelques jours. Le soleil me donnait envie de monter à cheval, sachant que j'avais quelques heures de tranquillité devant moi je pris l'initiative d'aller à l'écurie et préparer Foudre pour l'emmener à la carrière afin de le dresser un peu. Foudre était mon étalon préféré à cause de son caractère indomptable. J'aimais la compagnie des bêtes plus que la compagnie des hommes, les hommes sont fourbes et parfois cruels dans leur manoeuvres politique. Alors qu'un cheval vous restera fidèle.
Je me rendis donc dans la carrière et commençai tant bien que mal à entrainer Foudre mais l'animal était loin d'avoir envie de se faire domestiquer. Ce qui explique sans doute pour quoi je finis désarçonné à trois reprises. Cela ne me décourageai pas pour autant. J'étais plus têtu que lui, je finirais par l'avoir, à l'usure. Cependant, alors que je m'apprêtais à remonter sur le dos de l'animal, une autre créature attira mon regard, plus exotique celle-ci. Il s'agissait de l'une des plus charmante dame de compagnie de la reine. La très belle Elena d'Altafuente. Théoriquement je suis contre la venue des espagnole dans notre belle Angleterre, non pas que j'ai un problème avec que fait que se soit des espagnols. Mais notre pays est en crise. Les pauvre meurent et la Reine dépense des centaines de pièce d'or en festivité pour ses amis étranger. Mais Elena, elle, est différente car elle n'aime pas l'Angleterre et ne rêve que d'une chose, rentrer chez elle. Ce qui la rends d'autant plus intéressante. Cette femme est proche de la Reine à telle point qu'elle la côtoie dans l'intimité de ses appartements. Plus proche du pouvoir est impossible, et pourtant la demoiselle n'en à cure elle ne souhaite que retourner en Andalousie. J'ai pourtant tenté de lui trouvé des raison de rester en l'a courtisant, là encore je me suis fait éconduit, mais comme je le disais je suis extrêmement têtu et aussi patient, je ne me déclare point vaincu.
« Lady Elena que faites vous ici ? » Dis-je en prenant la bride de foutre pour me rapprocher de la jeune andalouse.
electric bird.
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❝ Elena d'Altafuente ❞
La mélancolie s'appelle Andalousie
♕ Métier : Duchesse de Malaga y del Infantido et Dame de compagnie de la reine Mary Tudor ♕ Age : 29 ans ♕ Religion : Catholique ♕ L'avatar a été fait par : Indi, Poison, M-J, castamere rains ♕ Mon nombre de messages est : 419 ♕ Mon nombre de Livres Sterling : 30 ♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 19/04/2015 ♕ Mon pseudo web est : Elynore ♕ Mes autres visages : Rosalie Woodley || Margaret Douglas
Sujet: Re: Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie || Elena Sam 16 Mai - 18:29
Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie
La jeune Andalouse se trouvait en compagnie de la reine et des autres dame d'honneur. Elles conversaient gaiement lorsque l'une d'elle fit une remarque, à demi mot, sur le fait que Lady Elena était une fois de plus emmitouflée dans une tonne de vêtements plus chauds l'un que les autres. Mary, trop préoccupée par ses condamnations sans doute, ne dit pas un seul mot. De toute façon Elena le savait parfaitement la reine n'aurait rien dit pour la soutenir. Elle l'étrangère parmi ses dames, quant bien même elle aurait été une parente de son époux le prince Philippe de Habsbourg, elle n'aurait presque pas réagit. Avec un peu de chance, elle aurait souligner le fait que la jeune femme ne méritait pas un tel traitement, mais elle en serait restée là. Mary avait l'esprit ailleurs, entre sa grosses et le perfide fléau qui rongeait l'Angleterre de l'intérieur à savoir le protestantisme.
Elena, elle ne savait pas quoi penser de cette nouvelle religion. Elle avait entendu dire qu'elle condamnait certains aspect de la religion de Rome. Mais pour cette femme élevée dans un royaume où le catholicisme est roi, que pouvait-elle vraiment connaître de cette religion venu de l'Est et du Saint-Empire. En Espagne Charles Quint avait prit grand soin d'étouffer la «menace » à ses tous débuts. Mais ici en Angleterre, pendant tout un règne le roi a refusé de suivre Rome, allant jusqu'à divorcer avec sa première épouse Catherine d'Aragon fille des rois catholiques. De génération en génération , les très catholiques rois d'Espagne avaient fait en sorte que le problème ne se pose pas. Pourtant, Elena avait grandi dans cette partie du royaume de Charles Quint où les religions s'étaient mêlées avec une douce harmonie. L'Andalousie, terre reconquise, avait gardée son doux parfum d'ailleurs et de tolérance. Elena avait été bercée dans cette mouvance d'acceptation des autres par sa très chère mère qui avait maintenant rejoint son dieu.
Elena se leva et sans un mot quitta la reine et ses dames après lui avoir fait une petite révérence qu'elle accepta avec un sourire bienveillant. Elle se hâta de sortir du palais. Elle avait besoin de prendre l'air, de ne penser à rien. Elle avait bien pensé à retourner dans ses appartements mais là-bas elle n'aurait été tranquille. Mais il faisait dehors en ce début du mois de février. Elle prit donc la décision de se diriger vers les écuries. La chaleur des bêtes la réchaufferait sûrement du moins elle l'espérait. Elle quitta les couloirs de Winterhall et prit la direction des écuries et de la carière du château. Elle marcha dans la neige et soupira. Quand fera-t-il enfin chaud de ce pays ? Le soleil et la chaleur de l'Espagne lui manquait. Ici, elle ressemblait à une fleur flétrie et gelée par le froid. Heureusement que la jeune femme gardait sa bonne humeur la plus part du temps. Cependant, aujourd'hui, Elena commençait presque à regretter sa venue en Angleterre. Elle aurait du trouver un mari en Espagne, un mari qui lui aurait fait enfant incapable de voyager à cause de son jeune âge. La jolie brune était perdue dans ses pensées entrain de caresser le museau d'un des chevaux qu'un palefrenier tenait quand elle entendit des bruits de pas et de sabots. Et puis elle entendit qu'on lui parlait. La voix lui rappela quelqu'un et lorsqu'elle se tourna dans la direction, elle se retrouva en face du garde Flint.
« Oh Monsieur Morgan Flint, je regarde les chevaux Eux, ils ont le mérite de ne point vous juger voyez-vous. Et vous que faites vous aux écuries ? »
Elena estompa l'humidité de ses yeux et avança sa main pour caresser le chanfrein du cheval que tenait le garde.
Sujet: Re: Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie || Elena Ven 22 Mai - 23:39
Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie
Elena D'Altafuente
L
a religion était presque un mot tabou en Angleterre et fort heureusement pour moi, j'ai voyagé, c'est vu des choses, des païens et des cultes totalement étrangers au christianisme et cela m'a permis de voir les chose différemment. Il n'y a pas qu'un dieu et pas qu'une religion. Dans certains pays les gens vénèrent plusieurs dieux comme les antiques romains... Je ne comprends pas cette guerre de religion que décime l'Angleterre, pourquoi se battre alors que nous aimons le même dieu. Pourquoi tant de haine et de mépris ? J'ai moi-même été baptisé catholique, puis je suis devenu protestant et à mon retour me revoilà catholique. Finalement, je crois que je ne crois plus en rien. Dieu existe-t-il vraiment ? Pour un fils d'archevêque c'est le comble vous trouvez pas ? En fait je crois que finalement, toutes ses histoire de religion me passe par dessus la tête, je suis fatigué de me battre pour cela. La Reine et catholique, alors je suis catholique, le jour ou cette vieille peau passera l'arme à gauche je deviendrais sans aucun doute protestant et la vie continue. La vie m'a appris qu'il ne faut se fier à personne et de toujours voir ou est son intérêt avant d'agir bêtement. Pour l'instant la Reine Mary me paye grâcement pour veiller à sa sécurité, mon allégeance va donc à elle. Mais si la princesse Elizabeth me propose mieux, je serais dès lors son fidèle sujet. Dans ce monde, si l'on veut survivre il n'y a pas d'autres moyens...
Ayant un pause dans mes tours de garde j'avais décidé de dégourdir mon cheval préféré et pourquoi pas essayer de le dresser un peu. Foudre était un étalon très sauvage, mais j'adorais son côté totalement imprévisible c'est ce qui me donnais le plus envie de le monter, le risque de tomber. Un cheval parfaitement dressé n'a aucun intérêt à mes yeux. Je l'avais donc emmené dans la carrière afin de voir jusqu'à quel point il allait se laisser faire. Après être tombé trois fois, je décide d'arrêter le massacre, je tiens à garder tous mes os en un seul morceau et ramène foudre à l'écurie, c'est sur le chemin que je rencontre la magnifique Elena. Cette femme était ravissante et ce qui la rendais encore plus belle c'est qu'elle était potentiellement inaccessible et j'adorais ça, comme les chevaux au final les femmes qui se refusent sont encore plus désirables. Je souris à sa réponse et la laisse caresser Foudre.
«Qui aurait donc l'audace de vous juger ? Les chipies de la Reine ? »
Les dames de compagnie de la Reine n'étaient pas toutes des garces bien sûr mais je savais qu'elle pouvaient être très agaçante et cela ne m'étonne que moyennement qu'elles aient pris la jolie andalouse comme bouc émissaire. Elle était différente et étrangère. Mais cela la rends plus désirable encore à mes yeux.
« Mais je suis d'accord la compagnie des cheveux est parfois préférable à celle des être humains par les temps qui courts »
Je caresse l'encolure de Foudre avec une étrange douceur, une douceur qui ne m'était certainement pas habituelle. Je souris en le regardant, puis reporta mon attention sur la jolie espagnol.
« Souhaitez-vous m'aider à le panser ? Nous serons ainsi à l'abri des courant d'air dans le boxe. »
Bizarrement je n'avais aucune arrière pensée cette fois, je me disais simplement que si la jeune femme était ici c'était pour fuir deux choses, la Reine, et le froid. Et dans le couloir de l'écurie il y a des courant fort désagréables. Pour cela la jeune femme est comme moi, elle supporte mal l'hiver anglais.
electric bird.
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Sujet: Re: Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie || Elena Lun 25 Mai - 0:47
Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie
La jeune Espagnole ne regarda pas le garde royal. Elle concentrait son attention sur son cheval. Elena avait toujours aimé les chevaux. Elle avait d'ailleurs assouvie son désir de monter à cheval après une longue discussion houleuse avec ses parents. Son père surtout considérait que ce n'était pas là une activité digne d'une jeune fille de son rang. Malgré tout, la belle Elena avait sut convaincre son père d'apprendre l'équitation tout en respectant certaines règles dont celui de monter en amazone. Elena baissa les yeux et finit par répondre à la question du garde par un simple hochement de tête. Les chipies de la reine, voilà une appellation un peu trop douce pour ses oreilles. Elle approcha doucement sa tête de l'animal et plongea son regard dans ses yeux. Dans son champ de vison, elle vit Morgan Flint caresser avec une étrange douceur le cheval. C'était étrange de le voir si doux. Morgan n'avait pas l'air comme ça, mais il fallait croire que le garde royal pouvait se montrer doux et attentionné quand il le voulait. Lorsque le garde lui proposa de penser le cheval, Elena se mit à sourire.
« Oh c'est vrai je peux le faire? C'est vraiment vrai ? Bien sûr que je veux bien ! » s'écria la jeune femme.
Elena continua de caresser l'animal sans se soucier de l'état qu'aurait ses vêtements et notamment ses gants. La jeune Espagnole était ainsi. Elle s'engagea alors dans les écuries et soupira de bonheur en s'entant la chaleur des animaux la réchauffer. Elle huma leur odeur avec joie. Elle se revoyait alors chez elle, en Andalousie dans les écuries de son père. Elle aurait pu y passer des heures là au milieu des chevaux, des Andalous.
« Comment s'appelle-t-il ? Et il a quel âge ? Vous savez de quel race il est ? Il est si magnifique ! »
Elena ne jouait pas la comédie. Elle le trouvait vraiment magnifique. Les yeux de la jeune femme se mirent à briller alors qu'elle commençait à s'occuper du cheval. Malgré le fait que la jeune femme était calme, elle dut faire un geste malheureux. Le cheval hennit et l'espagnole recula de l'animal un peu précipitamment. Une fois la peur passée, Elena regarda le garde et rigola.
« Il est quelque peu nerveux, vous ne trouvez pas monsieur le garde ? Avez-vous réussi à le monter correctement ? Ou alors n'était-il pas assez attentif à vous ? »
Elena sourit et sentit que son agacement lié aux Dames de la Reine s'était elle aussi envolée. Elena fit un clin d’œil au garde et reprit sur un ton des plus doux. Il était bien loin du ton qu'elle avait plus prendre certaines fois pour repousser le garde lors de ses multiples tentatives de séduction.
« Merci Morgan. Je suis heureuse de vous avoir trouvé aujourd'hui. Je peux vous appeler Morgan, dites-moi ? »
Sujet: Re: Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie || Elena Mar 2 Juin - 8:08
Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie
Elena D'Altafuente
J
e reconnais que le terme de chipie que j'avais employé pour désigné les suivantes de la reine était plutôt délicat comparé à la réalité. Ses femmes étaient tout bonnement de vraies garce mais je n'avais pas pour habitude de discuter de cela en compagnie d'une femme, et je veille à avoir un langage correcte lorsque je suis accompagné de la gente feminine, surtout quand celle-ci est proche de la Reine. Il est probable que je ne lui fasse point assez confiance encore pour em laisser aller avec elle. J'ignore tout de la demoiselle, enfin à part l'évidence bien entendu qu'elle est Andalouse et que c'est l'empereur lui-même qui lui à demandé de quitter l'Espagne pour s'installer en Angleterre. Mais mise à part cela je ne sais rien d'elle. C'est pourquoi je reste potentiellement sur mes gardes afin d'éviter tout désagréments.
La demoiselle eut la réaction d'une enfant lorsque j lui proposai de panser la bête, c'était plutôt attendrissant, je ne suis pas sûre que c'est le genre d'activité que la Reine autorise. Même moi je ne suis pas censé le faire. En théorie je devrai le donner à un palefrenier et c'est ce que je fais avec les autres chevaux, mais Foudre est vraiment spécial pour moi, il est un vrai défis.
« C'est un pur sang nommé Foudre et il me semble qu'il doit avoir cinq ans, je vous préviens cela dit qu'il n'est pas très commode. »
Dis-je en faisant entrer la bête dans son boxe, laissant la jeune femme avec les brosses. J'allais m'adossé contre la parois en bois, la laissant faire, elle semblait ravie de pouvoir prendre soin de l'animal. Je la vois si rarement sourire que je ne vais pas l'empêcher de faire ce qu'elle aime. La cour de la Reine doit être bien triste en rapport avec l'Espagne. C'est ce que je pense en tout cas, je suis déjà aller en Espagne et je trouve ce pays magnifique, ensoleillé et chaleureux. Ici tout est froid et terne.
Mais Foudres me sorti de mes songes, je l'entendis hennir et souffler fortement. Elena recula au point d'arriver contre moi. Je posai mes mains sur sa taille de guêpe en souriant.
[color:3a19=#chocolate]« Je vous l'ai dit, pas très commode, son éducation n'est pas aisée mais à la monte c'est un vrai bonheur, il est juste imprévisible dirons-nous. »
Dis-je gentiment avant d'aller retirer la longe et de prendre une corde large afin de l'attacher au fond du boxe, juste pour ne par risquer qu'il s'emballe et ne lui fasse du mal. Déjà pour elle et aussi parce que je me vois mal expliquer à la Reine cette étrange situation. Car toute personne étrangère penserait que nous nous cachons pour commettre toute sorte de chose qui ne sont pas forcément bien vu dans la religion de la Reine.
« Vous le pouvez, à la condition que je puisse vous appeler Elena »
Répondis-je sur un ton joueur, entre la jeune fille et moi c'est un jeu qui s'est installer. Je la séduis, elle me repousse puis elle revient et là je la repousse. J'ignore si cela ira plus loin que les mots, cela ne me déplairait pas, je ne suis qu'un homme après tout, cependant je ne lui en voudrais pas que notre relation reste ainsi. C'est une dame du monde ne l'oublions pas et je ne suis qu'un "humble" garde royal au service d'une reine tyrannique.
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Sujet: Re: Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie || Elena Jeu 18 Juin - 21:46
Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie
Lorsque l'animal l'avait obligée à reculer, elle avait parlé à Morgan en rigolant. Et puis sur le coup, quand elle senti qu'il la prenait par la tailler, elle n'avais même pas retirer les mains du garde de sa taille. Ce n'est que lorsque ce dernier la laissa pour aller attacher l'animal au fond de son boxe que l'Andalouse percuta. Ses joues se mirent à rougir violemment et la jeune femme détourna soigneusement le regard. Morgan avait dit qu'il s'agissait d'un pur-sang, Elena comprenait mieux la soudaine réaction du cheval. En plus de cela il était jeune. Elle aurai dû se méfier comme il lui avait conseillée. Seulement voilà, depuis son arrivée et ses jours mornes à la Cour, elle avait quelque peu oublié certaines règles de base. Reprenant contenance, Elena retourna au près de l'équidé. Elle le regarda fixement, essayant de comprendre ce qui avait pu lui déplaire dans son geste. Elle approcha doucement la main et le laissa sentir son odeur. Refaire ces gestes, cela-même qu'elle avait appris à faire ne Espagne. Les chevaux Andalous ont la puissance et la grâce de leur race. Mais malgré leur imposante carrure, il ne faut pas croire, ils peuvent s'emballer et cela peut vite devenir dangereux.
Puis Morgan lui dit qu'elle pouvait l'appeler par son prénom à condition qu'il utilise le sien. L'Espagnole sourit. Allait-elle finir par céder un tout petit bout de terrain. Elle était bien tentée, mais elle avait également peur que cela ouvre des portes qu'elle ne voulait pas franchir. Ce petit jeu qui s'était installé entre eux était amusant et aller au-delà risquait de le ternir. Elle ne le voulait pas. Elle ne voulait pas que tout ceci se termine et se tâche d'une ambiguïté quelconque. Cela déplairait peut-être au garde royal, mais après tout n'est-ce pas aux femmes de choisir à qui elle donne leur faveur ? Et puis qui sait si jamais elle devait se marier. Arrivant à la fin de sa réflexion, Elena se tourna vers le garde et lui répondit.
« Si vous voulez. Mais n'allez pas croire que cela change quelque chose entre nous, mon cher. »
Elena rigola et sortit du boxe. Elle s'appuya contre la porte et regarda le cheval.
« Je vous le laisse. Je sais bien que cela ne serait pas de sa faute, mais il serait fâcheux qu'il me blesse ou que quelque chose arrive. Et puis comme cela on trouvera rien à dire si quelqu'un venait à nous voir. »
Elle sourit et posa son menton sur ses mains. Ses yeux fixait l'étalon. A seulement cinq ans il promettait de belles choses.
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Sujet: Re: Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie || Elena
Mes récits ont un prix, celui de votre compagnie || Elena