James Stuart

« Just can't wait to be king. » TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM ♦ Stuart, James Stuart AGE ♦ 25 ans DATE DE NAISSANCE ♦ 1er mai 1531. ORIGINE ♦ Ecossaise SITUATION FAMILIALE ♦ Célibataire et en quête de la femme parfaite. MÉTIER ♦ Officiellement politicien officieusement, je me considère comme héritier du trône d'Ecosse. GROUPE ♦ Les étrangers. CRÉDITS ♦ Fassophy. LE JOUEUR PSEUDO ♦ Serindë. AGE ♦ 23 O_O. OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦ Mais je fais parti des meubles moi x). TON AVATAR ♦ Sam Heughan. VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦ oui.

▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦ Ma fois, je pense que c'est une catastrophe pour l'Angleterre ! C'est un énorme pas en arrière. Le père de l'actuelle reine a accomplit de vrais miracles en sortant l'Angleterre de l'obscurantisme. Le catholicisme est une ancienne religion ! En devenant protestante l'Angleterre c'est ouverte et vivait avec son temps. La Reine Mary a ramené son pays en arrière en forçant ses sujets à retrouver une foi oubliée. Cela ne peut que desservir le pays. Sans parler du manque de respect pour l'oeuvre de la vie de son père le célèbre Henry VIII. Le monde avance et il nous faut avancer avec lui et innover pour ne pas finir dépassés ou pire submergés et finalement oubliés. Je suis un homme instruit je connais la bible je suis né catholique comme mon père, cependant, je suis aussi quelqu'un de curieux et c'est dans cet unique but que j'ai lu les livres de Luther qui m'ont tout bonnement ouvert les yeux, oui, ça c'est l'avenir ! La religion se doit d'évoluer comme les hommes. Les hommes inventent, créent de nouvelles choses il est impossible d'aller de l'avant avec un boulet au pied. Oui je considère la foi catholique comme un énorme boulet qu'il nous faut traîner tout au long de notre vie alors que la foi protestante est libératrice légère et permet de servir le Seigneur tout en agissant pour le développement du pays

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA REINE D'ANGLETERRE? ♦ Cette femme est vieille, laide et passablement aigrie, c'est ainsi, du moins, qu'on me l'a décrite. Remplie de haine et de rancoeur, elle me donne l'impression de régner dans le but de se venger de tous les malheur qu'elle a vécu en étant princesse, puis bâtarde puis princesse à nouveau. En ayant eu vent de ce qu'elle a vécu cela peut se comprendre mais, être reine, c'est faire passer les intérêts de son peuple avant les siens. Mary Tudor n'agit pas ainsi et c'est, je le pense, ce qui la perdra et ce qui permettra à la jeune Elizabeth de monter sur le trône et réformer à nouveau son pays. Cela dit, je suis un homme politique et je me considère comme futur roi d'Ecosse, il serait malvenu de me mettre la Reine d'Angleterre à dos surtout que nous savons très bien que ceux que nous espérons voir trépasser s'attardent alors que ceux que nous aimons partes toujours bien trop tôt. Ce que je pense de la Reine Mary Tudor je le garde donc pour moi et uniquement pour moi. Il me faut être irréprochable, dans le cas où j'aurais besoin de son aide un jour, cela m'étonnerait mais sait-on jamais le monde bouge si rapidement.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRESENCE DES ESPAGNOLS EN ANGLETERRE ET DU MARIAGE DE LA REINE ? ♦ Je considère Mary Tudor comme une mauvaise chrétienne en comparaison de son époux Philippe de Habsbourg. Il est donc tout à fait normal que, je vois d'un assez mauvais oeil ce mariage et l'invasion d'espagnols en Angleterre. Cela pourrait avoir des répercutions désastreuses sur mon pays ma tendre et bien aimée Ecosse. Il est déjà fort difficile de se faire respecter en tant que protestant à la cour de la régente, je pense être en vie uniquement à cause, ou grâce à cette promesse que nous avions faite tous les deux sur le lit de mort de mon père. Si ce n'est, de s'aimer tout du moins se respecter et se côtoyer. Ma belle-mère ne peut donc pas m'exiler mais, en contre partie je ne peux pas la renverser. Pas encore du moins, cela étant, pour en revenir aux Espagnols, je crains qu'ils ne remontent dans le nord jusqu'en Ecosse et qu'ils pervertissent davantage mon pays en proie aux doutes, car l'héritière n'est qu'une enfant exilée et la régente une Française et puis moi, premier fils (bâtard) du roi mais, instruit comme un prince, n'ayant que très rarement quitté l'Ecosse parlant l'anglais le gaélique et le français à la perfection et buvant du whisky comme n'importe quel Ecossais qui se respecte.

▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦ L'ombre... la lumière... exactement comme un échiquier. J'aime le jeu d'échec, que dis-je, j'adore cela et je vois la politique comme un échiquier géant. Je ne suis pas un homme malhonnête, j'ai été élevé au-dessus de cela, cependant j'aime obtenir ce que je veux, je fais donc tout pour arriver à mes fins en perdant le moins de plumes possibles. Je suis un homme patient également, cela prendra le temps qu'il faudra mais j'ai un objectif bien encré dans ma tête, le trône d'Ecosse. Je considère qu'il me revient. Je suis un homme, premier né, qui plus est. Je n'ai presque jamais quitté l'Ecosse, je connais le pays sur le bout des doigts, sa langue, sa culture, son whisky (que je côtoie parfois d'un peu trop près trop longtemps). Pourquoi est-ce que cette petite fille devrait pouvoir régner alors qu'elle n'a jamais vu l'Ecosse, comment compte-t-elle s'y prendre pour parler au peuple, être écoutée et aimée ? Pour ma part j'ai déjà une partie de la cour avec moi (être célibataire aide dans ses grandes entreprises je dois bien le reconnaître). Pour en revenir à la question ci-dessus, je vais simplement dire que je fais en sorte de trouver mon compte dans chaque action que j'entreprends.

Pour l'Ecosse

Certaines personnes voient le jour dans des familles où toutes les conditions sont réunies pour que ces dites-gens ne manquent de rien et aient une vie facile sans désagrément majeur. Les autres sont des bâtards. Un bâtard est le fruit du Pêché. Il vient donc au monde avec le mécontentement de Dieu. Certains bâtards ont, cependant, bien plus de chance que d'autres, car ils naissent dans une maison au lieu de voir le jour dans un bordel, mais dans l'absolu un bâtard, riche ou pauvre reste un bâtard. Mais, cette condition offre aussi une vision différente de la vie. Ma mère n'était peut-être pas la femme de mon père, mais je sais néanmoins que je suis le fruit d'un véritable amour, interdit, peut-être mais. j'ai été attendu et désiré ce qui change les choses. Mon père, tout comme ma mère, m'aimait j'en suis persuadé et je suis certain qu'il m'aurait sans hésiter donné les raines du pays s'il en avait eu le temps avant que la maladie ne l'emporte…

J'ai vu le jour le premier jour de mai de l'an de Grâce 1531 au palais de Holyrood à Edimburg. Ma mère Margaret Erskine, fille du 5ème Lord d'Erskine et femme de Sir Robert Douglas, sir de Lochleven, était la favorite de mon père et étant le premier enfant que sa gracieuse Majesté comptait reconnaître, il voulut garder sa maîtresse auprès de lui et s'assurer qu'elle pourrait donner la vie entourée des meilleurs médecins du Royaume. D'après les dires ma venue au monde se déroula plutôt rapidement, positionné correctement, je n'avais point fait souffrir ma mère plus que nécessaire. Le roi, mon père, fût ravi d'apprendre que j'étais un garçon, j'étais son premier fils et cela représentait énormément pour lui. Je fus le premier mais, en cette année 1531, mon père eus deux autres fils. Jacques et John tous deux nés de femmes différentes l'un en juillet et l'autre en décembre. Cependant, je crois que mon père, bien que généreux ne leur prêta pas autant d'attention qu'à moi, après tous, la première place reste la première place.

En août 1536 alors que le nombre de mes demis-frères s'élevait à six et du haut de mes cinq années je fus nommé prieur de St-Andrews, une position qui me permit d'obtenir un revenu conséquent. Le roi continuait à fort s'intéresser à moi, ma mère étant toujours très chère à son cœur, il m'offrit la meilleure des éducations et m'avait octroyé des appartements privés dans chacun de ses châteaux. Mes précepteurs étaient tous excellents, j'appris l'anglais, bien entendu, le français diplomatique ainsi que le gaëlique afin que je n'oublie jamais d'où je viens. J'ai, par la suite, appris un peu d'allemand et d'espagnol mais, ses deux langues restent encore complexes à mes yeux.
Au-delà des études purement théoriques j'ai appris à tenir une épée et à me battre, à monter à cheval et à tirer à l'arc. Dans tous les aspects de ma vie j'essayais d'atteindre l'excellence, ainsi je plaisais à mon père et le rendait fier, parce que jusqu'en 1537, j'étais l'héritier du trône d'Ecosse. (Du moins je le pensais)

Et puis, il y eut ma belle-mère, pour moi, qui avait alors six ans, cette femme était le diable elle arrivait et détruisait le fragile équilibre de ma famille. Maintenant que mon père avait une femme, il y aurait des petits héritiers bien légitimes et je retrouverais mon rang de bâtard. J'ai excessivement mal vécu cette période. J'ai toujours été très respectueux envers mon père que j'aimais, bien entendu plus que tout, cependant, heureusement que ma jeune sœur, Jane vivait au palais avec moi. J'étais alors âgé de six ans et elle de quatre. C'est vers elle que j'allais lorsque je me sentais délaissé par notre royal père ou que notre marâtre m'effrayait. S'il y a une personne en ce monde que j'aime davantage que mon père c'est bien Jane. Elle ne partage pas toujours toutes mes idées mais, elle a toujours été loyale tout comme je le suis envers elle. Même si avec les années, les marques d'affections diminuent, contrainte de l'étiquette oblige. Ma sœur restera à tout jamais ma sœur et je lui suis dévoué corps et âme.

Cela étant, Marie de Guise offrit à mon père un premier petit héritier en 1540, le futur Jacques VI avais-je pensé, fort heureusement il mourut un an plus tard, presque en même temps que le deuxième fils légitime de mon père, Arthur. Tout deux trouvèrent la mort avant la fin du moi d'avril 1541. Dieu avait exaucé mes prières, j'avais demandé leur disparition et ils ont disparu !

Mais Dieu possède tout de même un sens de l'humour qui m'échappe encore, car en décembre 1542 naquit ma petite sœur. Marie. Non pas Mary mais, bien Marie. Mon bien-aimé père mourut très peu de temps après l'annonce de la naissance de cette petite gourde. Marie héritière du trône d'Ecosse, une femme déjà, c'était difficile à imaginer mais, le pire étant que dès son plus jeune âge, la princesse fut envoyée en France, "pour sa sécurité" soit disant. Pour ma part rien ne me ferait quitter l'Ecosse (ou l'Angleterre). Et j'avais bien l'intention de rester à la cour d'Edimburg. Du haut de mes onze ans, j'étais déjà un garçonnet fort têtu. De plus, Marie de Guise a promis à son époux, sur son lit de mort de ne pas me chasser. Que le palais était ma demeure, en contre partie j'ai promis d'être obéissant.

Les années passèrent et se ressemblaient. Je grandissais et prenais peu à peu de l'assurance. J'étais un jeune homme intelligent et malin. Je n'ai jamais oublié mon rêve de devenir un jour roi d'Ecosse, il me faudra simplement agir de façon plus subtile si je veux pouvoir y accéder. C'est pourquoi je me suis fort intéressé à la politique dès l'âge de quinze ans. Lorsque tous les jeunes garçons se marient ou rêvent de batailler, moi j'étudiais des heures durant la politique écossaise mais, aussi internationale. Ce n'est pas avec un coutelas ou une épée que je ravirais le trône à ma demi-sœur mais, bien avec ma tête. En parallèle je me suis aussi beaucoup intéressé à la religion. Ayant toujours été d'un naturel curieux j'ai lu les œuvre de Luther et Calvin. J'ai trouvé dans leurs écrits un réconfort que ni la messe ni la confession ne m'offraient. Jamais je n'aurais imaginé un jour devenir « l'un de ces hérétiques » et pourtant leur façon de servir notre Seigneur m'inspire davantage.

Aujourd'hui, je suis un homme, l'un des hommes les plus en vue de la cour d'Ecosse, pourtant je ne suis toujours pas marié et cela est un choix personnel de ma part. Je ne cherche pas forcément l'amour, mais je souhaite contracter un mariage avantageux qui m'aiderait à atteindre mon but ultime qui est toujours le trône du chardon. Par choix également je n'ai presque jamais quitté mon pays. J'aime être au courant de tout ce qui se passe en Ecosse et je crains qu'en quittant Edimburg, je ne rate quelque chose de primordiale. J'ai ,bien entendu, des espions à mon service qui ne souhaite pas voir une petite française à la tête du pays mais, si j'ai bien appris une chose à la cour c'est qu'il est très imprudent d'accorder sa confiance, c'est pourquoi je préfère rester dans les parages.
Il m'arrive néanmoins de prévoir quelques voyages en Angleterre, où je suis reçu à la cour de la Reine Mary Tudor dite la sanglante. L'Angleterre, elle aussi, semble avoir des problèmes avec sa reine je sais que bon nombre des sujets de sa Majesté souhaiteraient voir la jeune Elizabeth sur le trône à sa place. Elle ne semble pas être particulièrement appréciée. Pour ma part, Mary Tudor représente un danger, j'espère donc qu'une sournoise maladie la fera rapidement trépasser. La princesse Elizabeth possède les mêmes croyances que moi et j'ose croire que nous avons tout deux la même vision de la royauté en y songeant, elle ferait une épouse parfaite ! Cependant, elle reste une princesse légitime, contrairement à moi et je dois bien admettre que je ne me sens point à l'aise à l'idée de lui proposer ce plan même s'il me paraît tout à fait sensé. En unissant nos forces nous pourrions réunir l'Angleterre et l'Ecosse… Ma fois, cela demande encore réflexion.

Félicitation!

C'est impec' ! Merci d'avoir pris le temps de faire les modifs ! Je te valide donc avec un grand plaisir !

Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à jouer avec nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien et de rp (ICI), comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum.

Par (LA), tu peux aussi faire une demande de rang et d'habitations, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle surtout à l'époque

Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par (LA)!

Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration (ICI)

Maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à Londres peut parfaitement commencer