Sujet: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:04
Aleksandra D. Pavlovna
" Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. "
TON PERSONNAGE
PRÉNOM & NOM ♦ Aleksandra Dimitrovna Pavlovna AGE ♦ 26 ans DATE DE NAISSANCE ♦ 1 Janvier 1527 ORIGINE ♦ Russe SITUATION FAMILIALE ♦ Fiancée MÉTIER ♦ Sans-emploie & Marquise GROUPE ♦ Entragers CRÉDITS ♦ Images by Elsy
LE JOUEUR
PSEUDO ♦ Elsy AGE ♦ Presque 21 piges OU AS-TU CONNU LE FORUM? ♦ Prd TON AVATAR ♦ Kelly Brook VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? ♦ Fictif VOULEZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ? ♦ Non merci, je pense que ça ira ^^
Audience devant la reine.
▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS? ♦ Aleksandra a grandit dans une famille orthodoxe et c'est dans cette religion qu'elle a été éduquée, très jeune. Malgré le fait qu'elle accorde de l'importance à sa religion, la jeune femme se pliera aux exigences de son futur époux. Alors pour ce qui est des changements actuels dans ce pays qu'elle ne connait pas encore, la brune n'a aucun avis sur la question. Peut-être plus tard ? La seule chose que peut dire la demoiselle, c'est que quelque soit les croyances, l'être au ciel ne désire sûrement pas voir ses fidèles se déchirer de la sorte et devenir, à ce point, des bêtes.
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA NOUVELLE REINE D'ANGLETERRE? ♦ Êtes-vous donc sot ? Je viens de vous dire qu'Aleksandra arrive tout juste au pays. A l'heure où je vous parle, sa carriole franchit tout juste le lourd portail pour s'engager dans l'allée menant à sa nouvelle demeure. Comment voulez-vous qu'elle ait une opinion sur la nouvelle Reine dans ce cas ? Croyez-vous donc que les informations vont si vite jusqu'en terres russes ? Diantre, sûrement pas ! A l'heure où la marquise arrive en Angleterre, le messager arrive peut-être tout juste au Palais russe pour avertir la famille impériale.
▬ QUE PENSEZ-VOUS DE JANE GREY? ♦ ... Je me demande si vous n'êtes pas, au final, sourd comme un pot. C'est bien la troisième fois que j'essaye de vous dire que Mademoiselle Pavlovna arrive tout juste au royaume d'Angleterre. Que voulez-vous donc qu'elle pense au sujet de cette femme dont elle ne connait presque pas l'existence, tout juste le nom ? Il vous faut voir quelqu'un mon brave, vous m'inquiétez sérieusement.
▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? ♦ Aleksandra n'agit pas dans l'ombre et ne serait peut-être même pas capable de le faire. Longtemps, son père lui a apprit à faire preuve d'obéissance et de soumission, des règles qui sont bien encrées dans son esprit. Son rôle est d'être une femme, ni plus ni moins. Danser, chanter, jouer de la musique... Là sont les occupations à laquelle la jeune femme peut s'adonner, le reste est affaire d'hommes; non ?
Dernière édition par Aleksandra D. Pavlovna le Mer 13 Mar - 17:02, édité 7 fois
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:04
A little sad story
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La neige avait recouvert la Russie d’un manteau blanc fait de pureté et continuait de tomber, inlassablement, sur les terres de Dimitri Pavlov. Dans les cheminés du château, le feu crépitait joyeusement en faisant craquer le bois et une douce chaleur se répandait dans la demeure, contrastant avec l’air frais du dehors. La maison semblait paisible, en ce 1er Janvier. Et elle le fut, du moins pendant les premières heures de la matinée. L’animation ne commençât à gagner la demeure qu’aux abords des onze heures du matin, quand la maîtresse des lieux se mit à hurler à plein poumons, faisant accourir à elle les femmes de son service qui la firent allonger sur le lit de sa chambre, pendant que l’une d’elle quittait précipitamment la maison pour courir au village, quérir l’accoucheuse. L’arrivée de l’enfant se faisait maintenant imminente. Un valet sauta, lui, à cheval pour courir après monsieur le Marquis qui venait de partir en promenade équestre.
Les femmes s’affairaient autours d’Olga Pavlovna, née Mademoiselle Belikova vingts années auparavant. Certaines courraient chercher de l’eau, d’autres des linges. Enfin, deux restaient au chevet de la maîtresse des lieux pour l’aider dans sa douleur en lui conseillant de respirer avec d’avantage de force. Et puis les autres arrivèrent avec le nécessaire et une petite blonde commença à soigneusement appliquer le linge sur le front de la femme qui allait mettre au monde son premier enfant, neuf mois très exactement après son mariage avec Dimitri Pavlov.
Le regard fixé sur le plafond, Suzanne de Rougé poussait des cris plaintifs en se tordant de douleur, qui auraient facilement déchirés les tympans de ses suivantes si la chose avait été possible. Et il fallait attendre encore un moment pour que la domestique revienne avec l’accoucheuse. Il se déroula, en tout, quarante-cinq bonnes minutes. Enfin, la femme tant espéré arriva, laissant sa silhouette se découper dans le contre-jour de la fenêtre. Aussitôt elle commença son affaire, alors que le père en devenir entrait dans la demeure, se dirigeant au salon pour attendre la fameuse naissance. Il fallut une heure pour que l’enfant pousse enfin le premier de ses cris. C’était une fille.
Une bonne alla quérir le Marquis, lui disant que sa fille première-née venait de voir le jour. L’homme monta alors à l’étage pour reconnaître son enfant et lui donner son nom. Il fut décidé, alors qu’il la tenait contre lui, qu’elle porterait le nom d’Aleksandra. Mais passerait-elle la semaine ? Rien n’était moins sûr. Jugée de santé fragile par l’accoucheuse, ont organisa rapidement le baptême de l’enfant qui fut célébré le 3 Janvier, soit deux-jours plus tard, par crainte qu’elle s’éteigne avant même d’avoir été reconnue comme étant une enfant de dieu. Pourtant, contrairement aux craintes de tous, la petite demoiselle survécut à sa première nuit, sa première journée, sa première semaine, son premier mois… et tous les autres. Mieux, elle sembla gagner en force. Bientôt, elle ne fut plus aussi chétive qu’à sa naissance et le médecin considéra qu’elle était en bonne santé, ayant rattrapé les mensurations normales d’un bébé de son âge.
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Habillée d’une jolie robe bleue en soie, l’enfant reposait tranquillement dans sa chambre avec sa bonne, bercée par cette dernière, tandis qu’à l’étage du dessous, sa mère poussait de nouveau des cris épouvantables. Aleksandra avait alors deux ans et sa mère n’allait plus tarder à donner naissance à une seconde fille, Tatiana, alors que Dimitri était en voyage pour encore deux semaines. Inconsciente de ce que toute cette agitation qui animait la maison représentait, la demoiselle gazouillait gentiment en juxtaposant des mots à la suite des autres. Comme tous les bébés de son âge, à vrai dire.
Se redressant avec adresse pour son jeune âge, la petite fille commença à faire quelques pas pour se rapprocher de sa bonne et l’observer de ses grands yeux noisettes. L’enfant comprenait plus ou moins qu’il se passait quelque chose mais tout cela ne la concernait pas vraiment. Du moins elle n’y faisait pas plus attention que cela. Ce qu’elle voulait, elle, c’était jouer et sortir dans le jardin pour galoper dans l’herbe fraîche. Mais la bonne ne voulait pas la faire sortir, disant qu’il faisait beaucoup trop froid. Boudeuse, l’enfant prit place sur son lit, l’air renfrogné. Cinq minutes plus tard, une domestique entrait pour chercher l’enfant, disant qu’Olga la voulait voir afin de lui présenter la petite Tatiana qui venait de voir le jour.
*****
31 Décembre 1534. Prise de Bagdad par les Ottomans. Au palais Pavlovna, le maître ses lieux et ses amis en visite ne parlaient plus que de cela. Mais l’enfant l’ignorait. En Juin 1534, à l’âge de sept ans, la petite fille était partit dans l'hexagone pour approfondir son Français. Dans son voyage, la belle était accompagnée d’une bonne et d’une amie à ses parents, qui menait elle aussi sa fille en Bavière. Dimitri songeait, sur les conseils du précepteur, que ce voyage, qui devait initialement durer quelques mois seulement, serait bénéfique à la petite fille. L’apprentissage, lui disait-on, était meilleur au jeune âge. La demoiselle aurait dût rentrer en 1535, après une année passée en France, mais son père décida, finalement, que l’enfant resterait plus longtemps, sans jamais fixer de date. En fin de compte, Aleksandra regagna la Russie le 31 décembre 1540, à la veille de ses quatorze ans. Les leçons de danses reprirent, tout comme le cours normal de la vie de la demoiselle. Lors de son séjour au Royaume de France, la jeune femme avait continué à prendre des leçons de chant et de musique, à étudier les langues étrangères et les bonnes manières... Mais pas la danse.
*****
Très proche de son père, la jeune femme était toujours peinée des longues absences de celui-ci lorsqu’elle était enfant, alors cette séparation de plusieurs années avait été un déchirement. De fait, les retrouvailles avec ce dernier, à son retour de France, furent ont ne peut plus touchantes. Aleksandra riait, se laissait baiser le front et serrer contre le cœur du paternel. Heureuse, la brunette ne s’attendait pas vraiment, à cette époque, à ce que son père décède l’année suivante…
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1542. La jeune femme a eu quinze ans, au début de l’année. Parcourant les couloirs de la riche demeure familiale, la demoiselle marchait en direction de la salle de musique pour s’exercer à la harpe lorsqu’un valet l’arrêta pour lui demander où se trouvait Olga. Souriant, l’adolescente prit la missive que l’homme voulait remettre à la Marquise en lui assurant qu’elle allait s’en charger. Ce qu’elle fit aussitôt, bifurquant dans un couloir sur sa droite pour regagner les escaliers et monter à l’étage. Sa mère devait être dans sa chambre à cette heure là, occupée à quelques rêveries poétiques. La brunette voulu ne pas la déranger, de prime abord. Le sceau tsariste sur le parchemin l’en empêcha. Entrant, elle donna la lettre à sa mère et la regarda, immobile, alors que la femme ouvrait le papier pour lire les lignes noir de jais qui s’étalaient dessus. Voyant sa mère fondre en larmes, l’adolescente se précipita pour ramasser la lettre lorsque celle-ci échoua sur le sol. Ses yeux la parcoururent alors et elle-même se mit à pleurer à chaudes larmes avant de quitter la pièce pour retrouver Tatiana et lui annoncer la nouvelle : leur père était tombé dans une charge de cavalerie.
*****
Vêtue d’une robe noire couleur de la nuit, la demoiselle entra, endeuillé, dans l’église où allait se dérouler la cérémonie funéraire en l’honneur de son père défunt. Cachant ses larmes dans son petit mouchoir en soie, la marquise faisait tout son possible pour être digne, comme son père aurait voulu qu’elle le soit en cet instant. Prenant place au premier rang, la jeune femme posa ses yeux embués sur le religieux qui ne cessa d’évoquer les mérites du Marquis décédé et de répéter que cette mort n’était pas la fin mais le début, au contraire, car Dimitri venais d’entrer dans la vie éternelle et de rejoindre son créateur : le seigneur. Bien sûr, étant orthodoxe, la demoiselle savait tout ceci. Mais sa peine était bien trop grande en cet instant. Elle ne pouvait rester insensible, à l’heure des derniers adieux qui lui étaient permis de faire à son cher père.
*****
La foule venue rendre un dernier hommage au général monta dans les carrioles qui s’ébranlèrent alors lentement pour gagner la route. Ainsi le petit cortège quitta l’église de pour rejoindre la sépulture des Pavlov, Dimitri devant y reposer pour l’éternité. Alors que la famille et les amis rassemblés disaient une dernière prière, le corps du défunt fut sortit de sa propre carrioles pour prendre ensuite place dans ce qui était sa dernière demeure. Prise d’émotion, la brunette essuya de nouveau ses larmes avec son petit mouchoir de soie avant de quitter les lieux aux côtés de sa mère et de sa sœur. Sans un mot, la petite famille regagna le château Pavlov et, à peine arrivée, Aleksandra s’enferma dans la salle de musique pour y jouer, à la harpe, un air plein de ses lamentations mélancoliques.
C'est en remerciant les familles alliées de son père, pour leur présence à la cérémonie ou l'envoie de missives à ce sujet que la jeune femme commença à entretenir des correspondances avec certaines illustres personnes du royaume.
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Aleksandra Pavlovna détestait sa mère, tout à coup. Comment pouvait-elle donc oser, seulement deux ans après le décès de son époux, parler de mariage avec un Marquis, tout Russe et parfait gentilhomme fût il ? La demoiselle n’avait pas l’intention d’accepter ces épousailles sans rien dire et, ayant gardé un tendre souvenir de son cher père, elle le défendait en cet instant face à l’envahisseur. Dieu, ce qu’Olga avait put pleurer ! Mais tout cela n’était plus que mensonge aux yeux de la jeune femme. La marquise allait se remarier. Et c’était un véritable drame aux yeux de l’adolescente, âgée de dix-sept ans. Juste-ciel, pourquoi n’avait elle pas un frère majeur ? Si seulement la demoiselle en avait eut un, il aurait put empêcher cet odieux mariage mais pensez-donc !
Quittant Olga et son futur époux avec un air courroucé, la demoiselle gagna comme à son habitude la salle de musique où ses doigts, courant sur les cordes de sa harpe, firent naître une mélodie pleine de mélancolie et de colère. La jeune femme ne voulait pas voir ce marquis devenir son beau-père et prendre la place de Dimitri dans le lit de sa mère. Mais la pauvrette ne pouvait rien faire. Ni contre cet homme qui sentait le vin, ni contre son fils au sourire narquois. Philippe. Philippe a deux ans de plus que la Demoiselle Pavlovna et ils se sont vus quelquefois déjà. Il n’a pas fallu longtemps pour que l’homme colle des sueurs froides à la jeune femme qui ne pouvait souffrir de croiser sa route et qui, par ailleurs, faisait tout pour l’éviter. Seulement, il était déjà arrivé que ce dernier vienne la retrouver, ou plutôt la coincer, dans la salle de musique alors qu’elle s’occupait à la harpe.
Le mariage fut rapidement célébré dans une petite église non-loin de la demeure de l’époux. C’était bientôt l’hiver 1564. Toute de noir vêtue, la brunette fit son apparition au mariage, déclenchant passions et controverses. La fille de la marquise habillée comme de deuil pour les noces de sa mère, cela fait jaser, bien sûr. Mais Aleksandra n’avait, elle, pas le temps de sourire comme ces gens amassés qui ne pensaient qu’aux festivités et au souper à suivre. Pour elle ce mariage était réellement un deuil. Comme si Dimitri Pavlovna, son cher père, était mort une seconde fois. D’ailleurs, elle quitta la cérémonie avant même que les « oui » ne soient prononcés et plus personne ne la vit de la soirée, hormis sa sœur qui vint lui faire une visite à une heure avancée de la nuit, la réveillant dans le sommeil qu’elle avait trouvée, couchée dans une modeste chambre que le marquis nouvellement marié avait bien consentit à lui donner pour son repos. Dire qu’ils allaient vivre là… et que malheureusement pour elle, elle n’avait que 17 ans. La demeure Pavlov lui manquait déjà cruellement. Fort heureusement cette dernière restait de leur possession et de ce qu’elle en savait, le nouvel époux de sa mère souhaitait s’y rendre régulièrement. Probablement pour gagner le cœur des habitants, songeait elle souvent avec humeur et amertume.
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Chapitre déconseillé aux plus jeunes et aux personnes sensibles. Ce passage est extrait du roman que j'écris actuellement, intitulé "La muette", bien qu'il a subit des modifications pour coller à l'époque du forum ^^. Il est rédigé au présent, contrairement à tout le reste de la fiche, parce que je trouve que l'action ressort mieux ainsi.
Spoiler:
Le corps couvert d’une fine couche de froide sueur, Aleksandra pousse un cri perçant dans la nuit noire, à l’heure où plus personne n’est là pour l’entendre. Personne hormis le perfide qui, sadique et appréciateur, lui fait pousser ce cri de terreur, de ceux qui vous glacent le sang immédiatement. La naïveté et l'innocence de ses dix-huit ans l'entravent et Aleksandra ne comprend pas ce qui lui arrive alors que les mains de Philippe se posent sur son corps, sur sa peau, soulevant sa chemise. Le vêtement est long pourtant mais il ne faut guère de temps pour que le garçon le remonte jusqu’au milieu des cuisses et immisce une main sous la lingerie qu'il sait défendue. Une larme glisse sur le visage délicat et un nouveau cri se fait entendre. Le cœur bat la chamade, le corps se débat vivement, sans pouvoir échapper aux doigts qui le déshabillent. La marquise ne comprend pas comment son frère d'adoption peut lui faire ça, la dévêtir de la sorte… Qu’avait-elle donc bien pu faire pour que le jeune homme, la mette ainsi nue et regarde son corps, le détaillant les yeux avides en retirant ses propres habits ? Aleksandra l’ignore : tout ce qu’elle sait sur l’instant, c’est qu’un pressentiment lui ordonne de fuir sa chambre, sauter du lit sur lequel Philippe vient de l’allonger, pour courir jusqu’à la porte et l’ouvrir. C'est ce qu'elle fait.
Si la jeune femme parvient à atteindre la poignée et à sortir, sa course s’arrête pourtant au milieu des escaliers, alors que son bourreau au regard sombre lui attrape fermement le bras pour l’empêcher de s’enfuir et la tire de nouveau vers la chambre où il compte bien officier, à l’abri de tous. Qu’est-ce-qui pourrait l’empêcher de nuire, de toute façon ? Aleksandra est trop fluette pour se débattre efficacement. Quand au reste de la maison, il est endormi. Et la main puissante de l’homme bloque les lèvres de sa sœur pour l’empêcher d’émettre le moindre son.
Revenus dans la chambre, l’adolescent nu jette la marquise terrifiée sur les draps et s’allonge au-dessus d’elle en lui adressant un sourire carnassier, celui du prédateur qui s’apprête à dévorer sa proie. Et Aleksandra a beau se débattre, griffer son agresseur à la joue pour protéger sa précieuse virginité, celui-ci continue, sans donner l’impression d’être ne serait-ce que gêné par les gestes désordonnés. Au contraire. Son regard froid fixe le visage baigné de larmes et un nouveau sourire se dessine sur ses lèvres.
Cette nuit devait faire naître une bombe à retardement. L’homme pénètre la jeune femme qui crie sa douleur. Au moment où son hymen se déchire, Aleksandra hurle. L'acte est destructeur, dans ce silence feutré perturbé par les plaintes de la jeune adulte qui tente encore désespérément d’échapper à son frère adoptif. Aleksandra envoie les pieds, les poings, les griffes. Mais Philippe s'en moque et se fait plus brutal entre ses cuisses. Comme si les cris et les supplications de la demoiselle lui donnaient finalement plus de plaisir, de vigueur et de motivation à poursuivre ses coups de reins.
Les aiguilles tournent sur le cadran de la pendule. Les secondes s’écoulent par centaines dans un tic, tac, tic, tac lugubre et celle qui était vierge il y a encore quelques minutes à peine pleure toujours en continuant de se débattre, avec faiblesse toutefois, épuisée qu’elle est d’avoir donné tant de vigueur auparavant.
L’homme se retire du corps dont il vient de détruire l'âme et qui est encore secoué de larmes. En hoquetant, prostrée sur les draps blancs de son lit, tâchés d’un peu de son sang, Aleksandra ne réalise toujours pas réellement ce qu'elle a subit. La souillant, Philippe se fait plaisir quelques instants avant de s’abandonner sur le ventre et les flancs de sa cadette.
Après une courte pause pour reprendre ses esprits, où il maintient encore Aleksandra, il la pousse finalement du lit pour pouvoir en changer les draps. Pour être tranquille et éviter une nouvelle tentative de fuite de sa victime, Philippe enferme sa sœur dans la petite pièce d’eau contiguë à la chambre. Alors il retire les draps et les porte au feu de la cheminé pour cacher son crime aux yeux de son père et de sa belle-mère tandis que, de l’autre côté de la porte, la blonde s’est effondrée sur le sol qui recueille les larmes perlant de ses yeux.
La porte s’ouvre et la silhouette de Philippe se découpe dans le contre-jour, terrifiant la jeune femme qui cherche à lui échapper en rampant, de sorte à se cacher derrière le baquet vide. Empoignant la jeune adulte aux yeux châtaigne inondés de larmes par les cheveux, le jeune homme la force à quitter sa cachette, à se relever et la pousse contre le mur de la salle. Plongeant sa main dans le baquet d’eau froide, l’homme humidifie le tissu pour laver Aleksandra qui, les yeux dans le vague, ne cherche pas à échapper aux mains de l'homme.
Philippe sèche Aleksandra avant de la plaquer contre lui, dos à son torse. Tant et si bien que la demoiselle peut sentir l’objet infernal contre l’une de ses fesses. Mais l’homme ne la pénètre pas de nouveau, non. Il se contente d’orner d’un suçon l’échine de la blonde. Sa marque, dit-il en relâchant sa victime qui s’effondre de nouveau sur le sol. Puis il quitte la pièce, la laissant à son triste sort pour rejoindre son lit et s’endormir comme tout les gens de la maisonnée qui, dans la quiétude conférée par les anges, ne se doutent pas un instant qu’un monstre habite sous le même toit.
Aleksandra ne pleure plus. Aleksandra ne dit plus rien. Elle avance comme une automate. Dans un état second, elle pose la main sur la poignée de sa porte et quitte la pièce. Sidérée, la jeune femme ne réalise pas ce qui vient de se jouer dans cette chambre. Étrangement calme, la demoiselle se glisse sous ses draps dans sa position fœtale habituelle. La jeune adulte ne donne plus l'impression de penser. Ses yeux vides fixent le mur qui lui fait face, éclairé d'un rayon de lune. Elle ne dit toujours rien, mais le sommeil ne vient pas, pendant un long moment. Ce n’est qu’aux alentours des six heures du matin qu'Aleksandra s’endort enfin, emportée par la fatigue. Fatiguée d’avoir trop pleuré, trop hurlé, de s’être débattue avec autant de vigueur.
*****
Le lendemain matin, rien ne trahit le drame de cette nuit sur le visage d'Aleksandra. Tout semble normal à la table du petit déjeuner. Ou presque. Habituellement bavarde, la demoiselle s'est renfermée ce matin et c'est sans un mot qu'elle mastique les plats, les yeux rivés sur un point fixe qu'elle seule semble pouvoir voir. Puis la jeune adulte se lève de table rejoint la salle de musique, comme si de rien n'était. Elle vie tout en ne vivant pas. Tout son univers a sombré et sombrera encore. Car les démons tapis dans l'ombre ne le restent jamais bien longtemps.
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1546. La jeune femme observait son assiette avec un dégout qu’elle s’efforçait de dissimuler. Depuis quelques mois déjà, la jeune Pavlovna s’alimentait mal et peu, sans que personne ne s’en rende compte. Discrètement, la nourriture passait de l’assiette de la brunette à la gueule du chien pendant qu’Aleksandra faisait mine de se délecter du repas. Elle ne finissait jamais l’assiette, comme indiqué dans les livres de bonnes manières. Elle voulait disparaître. Pour de bon. Pour que Philippe ne la touche plus comme il l’avait fait au cours de la funeste nuit où la marquise avait sauvagement perdu sa virginité.. Plus tard ont appellerait cela anorexie. Pour l’heure personne ne se préoccupait de cela.
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Aleksandra dévisagea son beau-père ainsi que sa mère qui se tenaient devant elle, pour lui annoncer leur intention de la marier. Du haut de ses vingt-et-un ans, la brune espère que ceci n’est qu’une blague, même si au fond elle sait que non. Elle est même assez en retard pour devenir une épouse. L’homme à qui le couple la destinait ? La petite soixantaine. C’était un ami de longue date du marquis qui avait perdu sa femme trois ans auparavant. Il nourrissait le projet d’épouser la jeune femme depuis un peu plus d’un an soi-disant, soit depuis la première fois qu’il avait vu la pauvrette. Un petit Baron. Si son pauvre père avait put voir pareille scène. Le pauvre homme se retournait sûrement, là-haut au paradis, outré de voir une proposition aussi indécente être proposé à sa fille. Dire qu’il avait toujours nourris de grands espoirs pour elle, pour la marier, qu’il envisageait de lui faire épouser un Duc, sinon un marquis. Dans ses amis, de préférences, pour être sûr de confier sa fille à un homme correct.
S’inclinant devant eux, la belle prit congé et se mit à courir pour gagner la salle de musique où elle s’enferma avant de s’effondrer, larmoyante et malheureuse. Comment sa mère pouvait elle ainsi laisser faire son nouvel époux et, pire, être en accord avec lui dans une pareille folie ? La pauvrette ne voyait plus la fin de ses malheurs dans la pénombre de cette salle, dans la pénombre de sa vie, tout simplement. Elle qui avait, depuis longtemps maintenant, si peur des hommes et de leur cruauté...
*****
Le bonheur existe. Oui, vraiment. Novembre 1546. Aleksandra se tenait devant sa mère et son beau-père qui venaient de l’appeler. Ceux-ci lui annoncèrent qu’une missive venait d’arriver, indiquant le décès de son fiancé. Savez-vous ce que c’est que d’éprouver un soulagement aussi profond que celui que la demoiselle ressentit en cet instant ? On exigea d’elle qu’elle assiste aux cérémonies funéraires. Sans difficultés la demoiselle accepta et s’y rendit donc en compagnie du Marquis et de Suzanne qui souhaitaient, tout deux, présenter leurs condoléances aux enfants du défunt. Pour le temps du séjour, Tatiana devenait maîtresse de la demeure, Philippe accompagnant son père pour assister lui aussi aux funérailles du vieillard. Aussi, tout le temps du voyage, la demoiselle resta muette et chercha à s’asseoir aussi loin que possible du fils du Marquis qui continuait de l’effrayer au fil des jours qui passaient. Perdu dans des ouvrages de broderie, c’est ainsi, dans le silence, que la miss passa le voyage d’aller et celui de retour.
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La demoiselle sentit son cœur manquer un battement alors que sa mère présentait le nouvel arrivant à ses deux filles. Si la jeune femme se souvenait bien des propos tenus par son père des années plus tôt, le filou qui lui faisait face était du genre à conspirer contre le Tsar. Pourtant Olga exigeait de Tatiana et Aleksandra qu’elles accueillent cet homme avec les honneurs. La marquise blêmit sur le champ. Au cours de ses nombreuses correspondances, la jeune femme avait apprit que l’homme était, en prime, la proie d’un ordre d’arrestation. Comment sa mère pouvait-elle le ramener ainsi au Château Pavlov ? Et son époux, qui parût ensuite, ne sembla guère surpris. L’aînée des demoiselles Pavlovna manqua de s’insurger. Mais elle parvint à se retenir. Autant ne pas faire d’esclandre devant l’homme. Mais elle comptait bien prendre sa mère et son beau-père à partit dès que Monsieur l'intru aurait disparut.
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L’homme venait de prendre la suite d’une bonne pour monter à une chambre lorsqu’Aleksandra attira sa mère et son beau-père dans une pièce contigüe à la salle de séjour afin de leur demander des explications. Essayant de garder son calme, l’aînée des Pavlovna détailla l’homme et la femme qui lui faisaient face avant de leur demander des comptes, désireuse de savoir ce qu’un homme recherché faisait là. Devant l’air courroucé de son beau-père, la jeune femme préféra ne point montrer tout le ressentiment qu’elle avait quand au fait que le couple avait choisit de cacher l’homme dans la demeure. Comédienne, la demoiselle fit même mine de se ranger à leur avis, de se laisser persuader par leurs commentaires. Puis l’Intrigante se retira dans sa chambre, pour écrire une missive. Une lettre dénonçant la présence de l’homme en la demeure. Appelant une bonne de confiance, qui lui avait donné le sein dans son enfance, Aleksandra lui fit cacher la missive dans son corsage et lui ordonna de faire parvenir – au plus vite – cette lettre au Tsar. La femme s’empressa alors de disparaître pour s’exécuter.
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Durant de longs jours, la jeune femme s’attendit à voir des soldats entrer avec pertes et fracas dans la demeure. Elle imaginait d’ore-et-déjà la surprise qui se peindrait sur tous les visages de la maisonnée, hormis le sien, bien évidemment. Après tout, la demoiselle avait elle-même dénoncé sa mère et son beau-père. Par peur des représailles, par peur que l’on trouve l’homme sous leur toit et que les demoiselles soient déshonorés par les actes d’Olga. En dénonçant sa mère, la jeune femme espérait lutter pour l’honneur familial. Dimitri aurait il permit une telle insulte au Tsar ? Au vu de son poste de général, sa fille en doutait. Et ses attentes furent comblés quinze jours environ après l’envoie de sa missive. Olga chuta elle aussi, entraînant son mari. Les soldats emmenèrent le couple, privant les enfants de leur mère et les laissant seul. Cette dernière fut, sur ordre du Tsar, assignée à résidence. Deux jours après cette arrestation, une lettre arriva dans la demeure, écrite de la main de Philippe pour annoncer qu’il sortait de leur vie pour toujours. Il n’y avait guère d’indications supplémentaires et la brunette avait de toute façon d’autres choses à penser que de s’intéresser à lui. La famille était démantelée depuis l’arrestation d’Olga et les deux sœurs organisaient leur départ. Il était en effet prévu que la demoiselle s’installe dans une famille alliée de son père.
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Octobre 1552. Plusieurs lettres venaient d’arriver pour la jeune femme qui descendit des appartements qu’elle occupait dans une demeure qui n’était pas la sienne mais où, depuis trois ans tout juste, elle se sentait chez elle. Du haut de ses vingt-cinq ans, la Marquise prit les quelques missives qui lui étaient destinés avant de remonter dans sa chambre pour effectuer la lecture de ces dernières ainsi que les réponses à celles-ci. S’installant, la brunette attrapa la première de sa pile. Les missives du dessus étaient assez anodines, dans la mesure où elles n’étaient ni plus ni moins que ses correspondances habituelles. Mais la huitième lettre réservait une surprise, malheureusement mauvaise, à la jeune femme. Les lignes, écrites de la main de Madame Belikova, la grand-mère d’Aleksandra, avaient étés dictés par l’époux de cette dernière et informaient la jeune femme du décès de sa sœur. Très affectée, Mademoiselle commença à préparer son bagage en vu de son voyage avant de descendre informer ses bienfaiteurs de la terrible nouvelle qui l’avait frappée. Ceux-ci, après avoir exprimé une émotion tendre et non-feinte, mirent un carrosse à sa disposition et la firent accompagner par une fine lame pour lui éviter bien des soucis sur la route qui la séparait de sa région natale, où Tatiana serait mise en terre dans la sépulture familiale.
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Vêtue tout de noir et le visage souillé de larmes, la brunette observait le prêtre qui lui semblait dire les même mots, très exactement, que ceux qu’il avait prononcé dix ans auparavant lors de la cérémonie funéraire destinée à Dimitri Pavlov. Tapotant son visage à l’aide de son mouchoir blanc immaculé, la Demoiselle détournait le regard pour ne point apercevoir le funeste éclat de la mort. Elle était certaine qu’elle le verrait si ses yeux venaient à se poser sur ce qu’il lui restait de a pauvre sœur.
Silencieusement, la populace rassemblée commençât à sortir de l’église et, une fois le corps dehors, tout le monde marcha à pas lents, et lourds, derrière le cadavre pour accompagner Tatiana jusqu’à la dernière de ses demeures. Après une courte prière, la marquise dût encore souffrir de remercier les femmes émues qui venaient lui présenter leurs condoléances, aux côtés de sa mère qu’elle n’avait plus vu depuis l’arrestation.
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Fiancée, de nouveau. La demoiselle dévisageait sa mère qui lui annonçait la nouvelle, alors que la marquise s’apprêtait à quitter la demeure pour rentrer chez ses bienfaiteurs. La jeune femme voulu protester mais ne réussit pas dans son entreprise et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la brunette se retrouva dans un attelage peu confortable en partance pour l’Angleterre, où demeurait son futur époux et ami de son beau-père, encore une fois. Ce dernier cherchait une épouse, la troisième et Olga, avec son époux, avait fait envoyé un portrait d’Aleksandra. A l’heure qu’il est, la demoiselle arrive tout juste à Londres et s’apprête à rencontrer son futur mari, dont elle ignore tout pour l’instant.
Dernière édition par Aleksandra D. Pavlovna le Mer 13 Mar - 16:18, édité 9 fois
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:05
Bienvenue mademoiselle
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:08
Bienvenue Aleksandra, hâte de lire ta fiche. Comme prévu le scénario de Fassbender est là, j'espère que tout te convient =)
J'espère que tu te plairas sur TTB en tout cas !
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❝ Antanasya L. Cavendish ❞
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:10
Bienvenue Aleksandra Si tu as des questions surtout n'hésites pas Bon courage pour la rédaction de ta fiche
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:16
Merci les filles Merci, sire Nicholas
Marie je te contacte très très très bientôt pour discuter de mon lien avec Michael justement ^^
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:17
Pas de problème
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:20
Bienvenue sur TTB Aleksandra !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:35
Bienvenue parmi nous je te souhaite bonne chance pour ta jolie fichounette ^^'
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❝ Invité ❞
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mar 12 Mar - 18:52
Merci à vous ^^
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mer 13 Mar - 16:51
Alors J'ai trouve une erreur historique dans ta fiche, mais rien de trop graves, ne t'inquiètes pas En tout cas tu écris magnifiquement bien et j'adore déjà ton personnage qui a beaucoup de vécu et de la profondeur
▬ Le palais Peterhoff n'a été construit qu'au 18e siècle, du coup, il n'existe pas encore
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mer 13 Mar - 17:01
Ah oui, 1705. Je change ça x) L'habitude de jouer au 18 ème, justement x)
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mer 13 Mar - 17:10
Tout est bon alors, je te valide Aleksandra Bienvenue en Angleterre Si tu as des soucis n'hésites pas à contacter le staff N'oublies pas de faire tes fiches de liens et de RP
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important. Mer 13 Mar - 19:48
Félicitation pour ta validation
Pour bien commencer à RP, je t'invite à aller voir notre loterie RP du hasard pour trouver un partenaire RP aléatoirement [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
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Sujet: Re: Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important.
Aleksandra Pavlovna ♣ Le courage ce n'est pas l'absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n'est pas le plus important.