[DEFI]Correspondance envoyé à Anne Stanhope

Ma chère amie.

Je me porte aux nouvelles. Cela faisait longtemps que je ne vous avais pas revu. C’est en apercevant votre magnifique et ravissant visage à cette pièce de théâtre, malheureusement de piètre qualité.
Je voulais prendre des nouvelles de votre famille que j’apprécie entièrement. Comment vont les enfants ? Ont ils grandit ? Je me souviens en avoir aperçu un jour que je venais travailler avec votre feu mari.
En parlant de Edward, je tenait à vous envoyer cette lettre pour vous souhaiter de nouveau mes condoléances pour votre mari qui était un homme en tout point remarquable, qui, bien qu’endetté dans mon entreprise, resta toujours à mes yeux un homme d’honneur.

Je tiens aussi à prendre des nouvelles de votre résidence ? Est elle toujours aussi belle que la dernière fois ? Est elle toujours entouré de ses magnifiques rosiers rouge ? Et comment se porte votre finance ? Est elle toujours debout malgré la perte de feu Edward qui restera pour toujours un frère à mes yeux ?

J’attends votre réponse avec impatience

Veuillez agréer à mes sentiments distingués

A.A

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 14/05/2013

Sire Allen

Certes, il y a fort longtemps que nous ne nous sommes point vu, d'ailleurs, certaines rumeurs vous disiez disparu dans un océan inconnu, je suis ravie de voir que tout ceci était faux. Je dois avouer que je suis étonnée de recevoir une missive de votre part, après tout, il est rare qu'une personne de votre rang ose importuner une personne du mien. Ainsi vous étiez donc à la représentation de cette pièce donnait par notre chère et bien aimée reine Mary Tudor? J'aurais été ravie d'avoir un échange avec vous pour régler notre affaire. Vos condoléances sont pleines de sollicitudes, mais voyez-vous ma famille est encore en grand deuil et malgré le temps qui passe la perte de mon époux, le duc de Somerset est toujours dure à accepter. Ne m'en voulez donc pas, si je ne réponds pas à votre demande cachait. De plus, je ne sais de quelles affaires vous avez pu traiter avec feu mon époux. Pardonnez donc mon ignorance, je ne suis qu'une faible femme, une mère qui se bat pour survivre avec ses enfants.
Sire Allen, Dieu m'en ait témoin, mon époux ne m'a jamais fait part d'une quelconque affaire avec votre personne et je n'ai retrouvé aucun document de ce genre après ma sortie de prison. Je pense que vous avez eu connaissance de mon enfermement à la Tour, en même temps que mon époux? Et je doute, que mon fils, qui entre à peine dans l'âge adulte sache de quoi retourne ces prétendus dettes. En ce qui concerne ma fortune, vous qui semblez bien au courant de tout, vous avez sûrement entendu parler de mon retour en grâce, qui accompagna celui de notre bien aimée reine sur le trône. J'ai pus heureusement récupérer quelques terres, de quoi me permettre de vivre dans un confort acceptable, mais ma fortune n'est plus ce qu'elle était. Mais dites moi, sire Allen, pourquoi n'iriez-vous pas quémander auprès de ces voleurs de Dudley, puisque se sont eux qui ont volé ma fortune. Voilà un conseil avisé, que vous devriez suivre.

J'espère que cette modeste lettre vous apportera du réconfort, face aux dettes engrangés par votre cher frère, mon époux.
Veuillez agréer mes sentiments distingués, ainsi que ma sincère amitié.

Anne Seymour,
Duchesse de Somerset.

Cher Anne

Si l’on devait croire les rumeurs, je serais un homme sans vergogne qui aurait tué ses parents pour le pouvoir, donc évitons de se fier à elles.
Quand à ce qui est de votre feu mari, je dois vous dire que malgré le respect éternelle et inconditionnel que j’ai pour lui, il me doit une somme d’argent assez conséquente. Une somme dépassant le milliers de livre.
Vous comprendrez le désarroi dans lequel je me trouve à présent, car vous savez, nous sommes en ce moment en période de crise, et qu’il est difficile de survivre pour les petite gens tel que moi.

Quand aux affaires, votre mari préparé un voyage aux Etats Unis avant sa mort. Je pensais qu’il vous avez mit au courant. Peut être était ce une surprise ?

Je suis prêt à étaler le paiement si vous le désirez, mais je souhaite récupérer mon argent. Après tout, c’est bien normal.

Néanmoins, j’espère que ce petit différent ne mettra pas une barrière à notre amitié.

Je vous serez donc gréer d’accepté mes salutations distingués.
Arthur Allen

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 14/05/2013

Sire Allen

Les rumeurs ne disaient-elles pas vraies? Votre modeste réputation est perdue, maintenant que vous m'avez confié se secret, la peur que vous attisez chez certains ne sera plus issu de cette légende. Votre légende. Mais vous savez, les rumeurs forgent l'humain que nous sommes, on dit de nombreuses choses sur ma personne, tout comme sur la votre. Que serait-on sans elles? Croyez vous que la noblesse frapperait à votre porte, si elle savait que vous êtes un honnête homme? Approuvez ces rumeurs sire Allen, vous en sortirez bien plus grand.
Un millier de livre! Mon mari était-il frappé de folie pour dépenser une telle somme auprès de vous et cela pour allez dans ce Nouveau Monde de perdition. Si j'avais été au courant de cette affaire, croyez-moi que j'aurais dissuadé mon époux, l'avenir est dans notre belle Angleterre. Les Espagnols ont déjà exploré ces contrées anciennes, pris leurs richesses, que nous reste-t-il là-bas? Rien. Était-ce réellement le but de mon époux? Ou me cachez-vous autre chose?
En ce qui concerne votre argent, je ne peux vous le fournir. Avez-vous des enfants sire Allen? Vous devez sûrement savoir que depuis la mort du duc, je suis seule pour élever les miens et mon rôle est probablement bien plus dur que le votre. Je suis sûre que nous pouvons trouver un moyen pour arranger cette affaire qui n'est pas de mon ressort. Ma sollicitude pour votre personne m'encourage à vous aider, mais je ne sais comment.

Dans l'attente de votre réponse,
Veuillez agréer mes sentiments distingués, ainsi que ma sincère amitié.

Anne Seymour,
Duchesse de Somerset.

Chère Anne.

Permettez moi de rire, mais j’ai bien rit en lisant que vous disiez honnête homme. Un marchand n’est jamais honnête, sauf avec vous, bien sur, qui êtes une amie. Si un marchand devenai honnête, ce serait la fin pour lui. Il serait coulé. Comme le navire qui emmena mes parents aux fonds des mers.

Quand au voyage, et a la somme, je vous assure de cette véracité. Sachez qu’il n’y a pas que ce voyage, mais aussi des locations de navires, des services de transports de marchandises et de biens, et j’en passe. J’ai tous les documents chez moi si vous souhaitez les voir. Je suis sûr qu’un juriste pourra certifier leur véracité. Le voyage en question était, m’as t’il dit, une sorte de lune de miel avec vous, ou une autre personne vu que vous n’étiez pas au courant.

Quand aux enfants, sachez que j’en ai deux, et que pour leur survie, il me faut cet argent. Vous savez, c’est la crise, et les transports maritimes sont de moins en moins fréquents. Je me retrouve à travailler au ralentit.
En espérant que vous comprendrez.

Veuillez agréer madame à mes salutations distinguées.

Arthur Allen

♕ Je suis arrivé(e) sur TGA le : 14/05/2013

Cher sire Allen

Pensez-vous qu’en politique nous sommes honnêtes ? Nous travaillons tous les deux pour des milieux fourbes et dangereux. Mon époux a perdu la vie dans l’exercice de ses fonctions et je pense que vous aussi vous risquez la vôtre chaque jour. Vous ne devez sûrement pas faire tous les jours affaires avec des personnes vertueuses. Cela serait malheureux d’apprendre un jour la disparition d’une personne aussi précieuse que vous. Le monde serait fortement démuni.
En ce qui concerne les documents que vous avez en votre possession, je serais enchantée de les découvrir. Si vous le souhaitez, mon homme de confiance, Sir Francis Newdigate, que vous avez sûrement dû voir en compagnie de mon mari, puisqu’il l’a servi pendant de nombreuses années, viendra à votre rencontre. J’ai une confiance absolue en cet homme, qui est aussi très cultivé, il pourra donc m’apporter plus de contenu à propos de cette histoire. Pour ce qui est de ce fameux voyage, à moins que mon mari ait eu envie de fuir le pays comme un couard, je ne lui connais aucune maîtresse qui aurait mérité un tel voyage. Mais comme vous le savez, la mer est pleine de surprise, les navires espagnols font de nombreuses expéditions vers le Nouveau Monde, leurs cales chargés d’or et de mets étrangers, il ne serait pas étonnant que mon regrettait Edward ait voulu apporter un peu plus d’exotisme à notre cour d’Angleterre.
Pour ce qui est de votre affaire, essayez de conclure quelques contrats avec des contrebandiers, il est bien connu que la filouterie rapporte beaucoup de nos jours. Je prierai pour vos enfants et pour qu’ils ne souffrent pas de votre prochaine faillite, puisque vos affaires sont peu concluantes en ce moment.

Veuillez agréer mes sentiments distingués, ainsi que ma sincère amitié.

Anne Seymour,
Duchesse de Somerset.

Sujet: Re: [DEFI]Correspondance envoyé à Anne Stanhope

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