Cette MAJ est optimisée pour Mozilla.
Nous nous situons aux alentours de mai 1558. Il fait de plus en plus chaud les gens prennent plaisir à sortir dans les jardins.
Si vous souhaitez jouer un étranger, privilégiez les Espagnols et les Ecossais. N'hésitez pas à regarder les PV et scénarii en priorité. |
|
| ❝ Invité ❞ | Sujet: Lorsque l'on a besoin d'un ami. || feat. Agnès Livingstone Dim 30 Nov - 13:45 | | |
Lorsque l'on a vraiment besoin d'un ami~ feat. Agnès Livingstone ~ En cette matinée qui allait certainement offrir une énorme journée comme d'habitude, Humphrey qui était allé se reposer pendant la nuit tandis qu'un autre garde avec lequel il escortait souvent Miss Livingstone, se réveillait alors avec la tête légèrement lourde. Peut être était-ce du au fait qu'il n'avait pas réussit à dormir tout de suite en connaissant les inquiétudes de son amie d'enfance, désormais sa protéger. Même s'il la rassurait en permanence, lui aussi était inquiet. Beaucoup de femmes sont mortes en accouchant, beaucoup avaient fait fausse couche, mais il se répétait tout le temps que quand même, il y avait énormément de femmes qui survivaient lors des accouchements et pouvaient se retrouver avec beaucoup d'enfants. L'homme s'était donc lever de son "lit", avant de prendre le temps de se préparer. Il avait prit un bain, histoire de bien se nettoyer, se passant une douce éponge sur le corps avec du savon pour se frotter. Une fois propre, il en sortit, se séchant avec un vieux draps avant de s'habiller comme d'habitude. Il allait pour partir quand une servante l'interceptait pour lui brosser les cheveux histoire qu'il soit vraiment présentable. Il voyait bien les yeux doux qu'elle lui lançait. Mais il faisait comme s'il n'avait rien vu, parce qu'après tout, ses devoirs avant tout. Sortant de là où il était, Humphrey montait à l'étage par les escaliers personnels, ainsi se rendant dans les couloirs des chambres, jusqu'à celle de Miss Livingstone. Il avait eut un sourire amuser en voyant son collègue endormit contre le mur. Et à priori, personne ne l'avait vu dans cet état, et c'était mieux ainsi. Il vint donc lui tapoter l'épaule, se dernier sursautant en s'apprêtant à le gifler. En évitant comme à chaque fois que cela arrivait, Gaston éclatait de rire avant de lui dire. « Va te reposer, Léon, c'est à mon tour. » Et après avoir entendu ça, son collègue hochait simplement la tête avant de s'en aller, laissant place à Gaston qui se postait derrière la porte. Il savait qu'Agnès était déjà réveillée. C'était sans plus attendre qu'il toquait pour lui signaler son arriver, et attendit un signale de la jeune femme pour pouvoir rentrer. Découvrant la jeune femme toute habillée, mais encore entourée de ses servantes. Il la saluant poliment, tout en regardant ensuite une part une les autres femmes qui finissaient ce qu'elles avaient à faire avant qu'elles ne partent, les laissant seules. Il prit la parole en restant poli, vu que la dernière prenait tout son temps pour fermer la porte. « Avez-vous bien dormis, my Lady ? » Mais il se demandait surtout, si elle n'était pas insomniaque à cause de ses inquiétudes concernant la grossesse. Si ça ne tenait qu'à lui même, il serait resté toute une nuit avec elle pour la rassurer et faire en sortes qu'elle s'endorme la conscience tranquille. Mais bon, il n'était qu'une escorte. |
| | | ❝ Invité ❞ | Sujet: Re: Lorsque l'on a besoin d'un ami. || feat. Agnès Livingstone Sam 27 Déc - 16:03 | | | Je perds les eaux, je me tords de douleur. Je me plie dans tous les sens. Je me sens mal, terriblement mal, comme si on m'arrachait une partie de moi. Je ferme les yeux, je pleure. Et, je me retrouve dans un jardin, un homme tient un enfant dans ses bras. Est-ce mon enfant ? Sans doute. L'homme me dit de ne pas avoir peur, que tout se passera bien. Puis, je me réveille.
Mon premier réflexe est de toucher mon ventre, je porte en moi, mon enfant est encore en vie. Ce n'était qu'un mauvais rêve, encore un autre. Depuis quelques mois, je rêve souvent de perdre mon enfant ou de mourir en couche. Je regarde la chambre, je suis entourée de mes servantes, je leur souris. William n'est pas avec moi, il est resté en Angleterre avec Alexander, notre fils. Ma servante m'aide à me lever, elle me propose d'aller prendre un bain. Je me me lave, puis, on m'habille. Je porte une robe bleu, parfumée à la lavande. La servante me tresse mes cheveux blonds de blé. Je me regarde dans un miroir. Je me sens fatiguée, j'ai beaucoup de mal à m'endormir. Il faut que j'écrive une lettre à l'adresse de Priam, pour lui conter ce qui s'est passé dans ma vie.
Agnès – Vous pouvez amener le déjeuner, je le prendrais avec Humphrey, s'il vous plaît.
Elles font apporter le déjeuner sur une petite table de chêne. J'attends qu'elles font rentrer Humphrey, mon précieux ami. Sa mère a été ma nourrisse, j'ai toujours considéré cette dernière comme une autre mère. Ma mère, Jane et moi, nous n'avons pas une bonne relation, je le regrette. Cette dernière a trahi mon père en tombant dans les bras de l'homme que je considère comme Oncle Henri. Et, elle a un enfant de lui ! Comment ma mère a pu faire ça à Père ? Pourquoi ? ! Je soupire. Les servantes font rentrer mon ami. Je lui fais un grand sourire malgré mes traits tirés.
Humphrey - Avez-vous bien dormis, my Lady ?
Agnès - Malheureusement, ce n'est pas le cas, mon cher ami. Je prononce le nom ami en gallique. Je lui souris. Et, vous ? J'ai fait apporté le déjeuner, voulez-vous qu'on déjeune ? Asseyons nous !
Je lui fait un grand sourire, je m'assois dans un fauteuil. Une servante m'amène un coussin. Je pose ma main sur mon ventre, dans quelques mois, j'aurai donné la vie à mon enfant. Fille ou garçon ? Quand va-t-il naître ? Début ou fin décembre ? Je souris à Humphrey. Il m'est si proche. Je le regarde.
Agnès - Comment allez-vous ? Cela ne vous dérange pas de rester auprès de moi ? Je ne veux pas vous priver de votre vie et de votre vie intime. Aimez-vous une femme ? Souhaitez-vous fonder une famille ? J'aimerais tant que vous soyez heureux, mon ami. Je ne veux pas vous embêter avec mes problèmes de grossesse. Je pose ma main sur mon ventre. Je lui fait un sourire. J'aimerais tant redevenir une petite fille … Vous rappelez que vous me mettez sur vos épaules pour que je puisse attraper les cerises ? Ou que nous jouons à cache-cache ? Pourrons nous sortir aujourd'hui et faire comme si nous étions des enfants ? Je sais que ça peut paraître enfantin, mais, j'aimerais rire et m'amuser ! Lui-dis je avec un petit sourire comme je faisais quand on était enfant. |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|