Jack Mortimer

" Shoot him and cut out his tongue, then shoot his tongue! And trim that scraggly beard! " TON PERSONNAGE PRÉNOM & NOM Jack Mortimer... Pardon, Capitaine Jack Mortimer ! AGE Quarante-neuf ans. DATE DE NAISSANCE 26 juillet 1504 ORIGINE Anglaises. SITUATION FAMILIALE En relation libre avec son bateau, pour se marier à sa seule amante, la mer. MÉTIER Capitaine de bateau, officiellement Commerçant en mer/marchand, officieusement Pirate. GROUPE Le bas peuple. CRÉDITS Bazzart & Tumblr. LE JOUEUR PSEUDO Flowers. AGE Bientôt vingt ans. OU AS-TU CONNU LE FORUM? PRD TON AVATAR Johnny Depp *bave* VOTRE PERSONNAGE EST-IL HISTORIQUE OU FICTIF? Fictif. VOULEZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ? Owiiii j'adorerai *-* S'il vous plait (a)

▬ QUELLE EST VOTRE RELIGION ET QUE PENSEZ-VOUS DES CHANGEMENTS RELIGIEUX DU PAYS?
Je ne me suis pas beaucoup intéressé à la religion. Je ne suis pas né dans une famille où cela importait. Ma mère était une catin, et pour tout vous dire, elle pensait surtout à ouvrir les cuisses pour gagner son pain. Savoir où et quand est né Jésus notre Seigneur était bien le cadet de ses soucis je pense. Alors je n'ai jamais réellement eu d'éducation religieuse. Ou plutôt si, j'en ai bien reçu une : celle des marins et des pirates. Nous ne prions pas le même Dieu que vous, le notre est l'Océan, et le Vent. Nous lui sommes entièrement soumis, et nous l'adorons. Alors si je devais avoir une religion c'est celle-ci : celle de la mer, et des flots, des vagues, des ouragans... Cet Océan indomptable qui n'accepte que ceux qui l'adorent sur son flot.
Je me fiche pas mal des changements religieux qui ont cours dans notre pays, en outre. Je ne les suis que pour m'assurer que je ne trahis pas mon pays, et que je ne risque pas ma vie. Ce n'est pas le cas, et je donne bien l'illusion d'être de la même religion que nos souverains si cela me fait entrer dans leurs bonnes grâces.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE LA NOUVELLE REINE D'ANGLETERRE? Cette jeune Mary Tudor est bien moins facile à amadouer que son père, elle est difficile en affaire. J'ai eu affaire à Henry VIII durant les dernières années de sa vie, et nous faisions affaire ensemble. Des affaires fructueuses autant pour moi que pour l'Angleterre. Si avec son fils j'ai pu continuer mes affaires quelques temps, ce n'est pas la même chose avec sa fille. Bien plus cruelle et dure que son père, elle refuse d'entendre raison et de continuer notre arrangement. Alors je me dois d'être plus sage, et je continue mes petites affaires sans faire trop de vague - notez mon sens de l'humour ! En outre, elle est une reine populaire qui semble avoir beaucoup de soutient, pour la moitié de la population. Le problème reste l'autre moitié. Les questions religieuses qui sous-tendent à ses oppositions ne me concernent nullement en réalité, et je ne m'y engage pas. Je vais où le vent me mène en essayant d'éviter les récifs.

▬ QUE PENSEZ-VOUS DE JANE GREY? Jane Grey... cette jeune femme protestante qui devait suivre feu le Roi Edward IV sur son trône ? Et qui fut enfermée dans la tour de Londres après l'arrivée de Mary Iere sur le trône ? Je n'en pense rien. Je ne veux pas y penser, en réalité, car cela me semble si éloigné des réalités de ma vie quotidienne : réussir à nourrir mon équipage et moi-même afin d'assurer la prospérité de nos familles. Piller des navres français sans risquer de me faire prendre la main dans le sac, et de perdre mon navire, ou mon droit de naviguer sous les couleurs de notre belle Angleterre. Pouvoir rejoindre les cuisses chaudes d'une catin à la nuit tombée afin de m'assurer un certain réconfort après avoir vogué des semaines en mer loin de toute chaleur féminine. Pourquoi penserai-je à cette pauvre Lady Grey suite à cela ? Ces problèmes de Puissants ne nous concernent plus, et quant bien même, que pourrions-nous y changer ?

▬ AGISSEZ-VOUS DANS L'OMBRE POUR VOTRE CAUSE OU VOTRE FOI, SI OUI QUE SERIEZ-VOUS PRÊT A FAIRE ? Dans l'ombre, j'agis pour réussir à préserver mon droit de naviguer. Pour continuer à m'enrichir, tant bien que mal, sans risquer la potence, ou la prison. Je tiens à ma tête, ne vous en déplaise, et je n'ai pas lieux d'espérer finir comme ces pauvres pirates qui sont décimés chaque jour au centre ville de Londres. Je ne saurais vous dire ce que je serais prêt à faire. Mais je peux vous assurer que s'il y a bien une chose que je me refuserai de faire c'est de quitter l'Angleterre. Je suis bien trop épris de notre pays, et je suis bien trop amoureux de ses couleurs pour oser un jour le trahir et m'enfuir. Ce serait lâche, et je n'ai pas la prétention d'être un lâche.

A Pirate's life for me

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] — Ce quai est strictement interdit aux civils ! - J’en savais rien, je vous demande pardon. Si j’en vois un, je vous en informerai immédiatement..
Portsmouth, 26 juillet 1504.
« Qu'il est mignon ! » « Il est A-DO-RABLE ! » « Avec ces petites joues bien rondes ~ » « Et ces petits pieds ! » « Il va faire tourner les cœurs celui-ci, Mesdames, je vous le dis moi ! » « J'en suis la première éprise ! » Un grand éclat de rire retentit autour du jeune poupon, qui regardait autour de lui, ne percevant sans doute que des formes et des couleurs agglutinées autour de son berceau. Il souriait, envoyant les mains pour tenter d’attraper ces étranges oiseaux qui virevoltaient autour de lui. La scène se déroule dans une maison close du centre ville de Portsmouth, une ville portuaire non loin de Londres, où les marins s'arrêtent souvent afin de prendre du bon temps, et de charger leur marchandises vers la France et le reste du monde.
L'enfant est entouré de catins, des filles de joie qui sont sans doute les plus appréciées de toute la ville. Il y a quelque chose d'exotique entre ces portes que les marins apprécient grandement. Qui leur rappelle la mer, l'océan, le voyage, l'aventure. Un de ces marins, le Capitaine Mortimer est un habitué des lieux, et a réussi à mettre enceinte l'une de ces filles. On ne l'a pas revu depuis, et elle n'espère ne plus le revoir. Elle a hésité à garder cet enfant, mais la Maquerelle a été bonne avec elle, et l'a laissée garder ce marmot aujourd'hui né. Jack , elle a décidé qu'il devait se nommer Jack . Il grandira dans cette maison, au sein des filles de joie qui l'ont rapidement pris en affection. Il est surprotégé, et se trouve être sans doute l'enfant le plus aimé de toute l'Angleterre. Parfois, elles s'amusent à dire qu'il est plus aimé que le futur roi Edward ! Imaginez dés lors l'orgueil qui grandit dans le coeur de cet enfant des bas quartiers. Il apprend à lire grâce à l'une d'entre elles, et avec la Maquerelle il apprend à compter, et à tenir une affaire. Il a six ans, il reste enfermé dans la chambre des filles avec une Bible sur laquelle il dessine : des sirènes, des dragons, des montres marins, et célestes.
Il écoutait beaucoup les histoires que se racontaient les filles. Sur les divers Messieurs de la Grande Ville, mais aussi sur leurs voyages, leurs différents parcours différents, qui les ont mené parfois dans des endroits étonnants : des palais Indiens, ou des Oasis au milieu du désert. Très souvent, en voyant que Jack les espionnait elles s'inventaient des vies extraordinaires, jouissant de la lueur de plaisir qui brillait dés lors dans le regard du garçon. Elles l'adoraient, cela était évident. Mais cela n'était pas fait pour durer. Il arriva un jour de Mai, où ce Capitaine qui était son père revint. Après sept ans d'absence, il mettait à nouveau les pieds dans la Maison Close, comme s'il ne fut jamais parti. Pis, comme s'il fut chez lui. Laissant un sac de pièces d'or dans l'entrée, il fut introduit dans la chambre où dormait Jack aux côtés de sa mère et des autres demoiselles. Ils furent tirés de leur sommeil, alors que le soleil se levait à peine à l'horizon. Jack ne se souvient pas vraiment de ce jour-là. Il se souvient des cris, des hurlements, de ses membres étiraient entre plusieurs étreintes. D'un rire sournois, et cruels. Et surtout, de cet homme. C'était la première fois qu'il voyait un homme aussi grand, aussi imposant, et il resta sans voix, admiratif. Il lui vint à l'idée qu'il voulait lui ressembler, qu'il voulait être aussi beau lui aussi. Il se laissa amener sans poser de résistance. Il ne s'imaginait pas que ce sera la dernière fois qu'il verra sa mère et les femmes qui l'avaient élevé. Des femmes qui le regardaient partir les larmes aux yeux.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] — Eh vous là ! Une minute ! Ca coûte 1 shilling d’amarrer son bateau à quai ! Et... j’aurais besoin de votre nom. - Que diriez-vous de trois shillings, et on oublie le nom ?.
sur les océans, 12 décembre 1514.
« HISSEZ LA GRAND-VOILE ! » Hurla le Capitaine, du haut de son ponton, les mains stratégiquement placées sur le gouvernail du terrifiant Blacklantern. Fléau des mers, le navire était sans doute l'un des plus rapides qui fut. Officiellement navire de marchandise au service de l'Angleterre, ses activités étaient souvent quelque peu ... aliénées. « Navire à Tribord, Capitaine ! » Jack leva le regard vers son père et resta ébahi devant son ravissement. C'était toujours le même sourire carnassier qui s'affichait sur ses lèvres. C'était toujours la même joie lorsqu'il attaquait un autre bateau. Il tourna le gouvernail et se retrouva à proximité de l'autre vaisseau où les marins ne semblaient pas comprendre ce qu'il se préparait. La Blacklantern arborait les couleurs de l'Angleterre, deux épées noires se croisaient cependant sur le pavillon du navire. Un symbole pour cette famille de pirates. Jack n'allait pas attaquer les autres équipages. Pas jusqu'à ce jour. Il avait douze ans, cela faisait quatre ans qu'il se trouvait sur le bateau de son père. La majorité du temps il s'occupait du travail de simple moussaillon. Son père était convaincu que pour être un bon capitaine il fallait pouvoir comprendre son équipage. De ce fait, montré que l'on était capable de tout faire sur un bateau. Avoir leur respect. Jack faisait en sorte d'avoir le respect de ses futurs marins, mais ce n'était pas chose facile. Pas lorsque votre père est aussi charismatique.
L'enfant cependant fut surpris de sentir la main épaisse et lourde de son paternel sur son épaule alors qu'il s'apprêtait à rejoindre les caves comme toujours. Il lui sourit et lui donna un pistolet. « Te sens-tu prêt Fiston ? » Des étoiles dans les yeux, Jack sourit à son père et hocha la tête. Il ne bougea pas, alors l'enfant perdit son sourire enfantin pour un clin d'oeil complice : « Oui mon Capitaine ! » Cela lui suffit.
« A L'ABORDAAAAAAAAAAGE ! » cria l'équipage d'une même voix, alors qu'ils s'élancèrent sur le second navire à la manière d'une vague immense et mortelle. Jack entendait les cris et les coups de feu. Il se retrouva face au second du Capitaine qui le regarda un instant surpris. Avant de fondre sur lui dans un hurlement de rage. L'enfant le visa, pour se défendre - pensa-t-il - et tira. Le corps s'écroula devant lui. Il resta patois, réalisant qu'il venait de tuer pour la première fois... et sentant l'adrénaline pulser dans son oreille, créant chez lui un sentiment d'excitation intense. Il se sentait vivant pour la première fois de sa vie. Très vite l'enfant pris gout au sang, et son père l'accompagna de plus en plus loin dans la déchéance et le mal. Il était ravi de voir que son fils suivait ses pas. Qu'ils se comprenaient, qu'ils étaient semblables. Qu'ils avaient au moins cela en commun. Jack pris le nom de Mortimer, comme son paternel. Il faisait parti de l'équipage, avec les années il s'imposait comme le second de son père, comme un pirate (un marin) à part entière. Il suivait les traces du terrifiant Capitaine, s'intéressant également à la politique de son pays, celle d'Henry VIII afin de comprendre le rôle qu'il devait jouer auprès de la couronne : celui d'un pion, qui léchait les bottes des Rois pour être libre. C'était un petit sacrifice pour une vie aussi passionnante.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] — Alors Jack Sparrow. Sommes-nous donc deux immortels condamnés à un combat épique jusqu’aux trompettes de jugement dernier ? - Tu peux aussi te rendre.
Londre, 6 Mai 1525.
La mort survient quand on s'y attend le moins. Celle de son père est survenu un matin de Mai, alors qu'il était sur le point d'attaquer un navire marchand Espagnole. C'était une attaque de routine comme il y en avait déjà eu des centaines avant cela. Jack menait une partie des hommes tandis que son père s'occupait de lancer la première attaque. Il toussait souvent, il était très fatigué ces temps-ci mais il disait que tout allait bien. Alors son fils ne faisait pas attention à son état. Il était le Capitaine, il ne pouvait rien lui arriver. Il ne pouvait rien y arriver. Il se demandait souvent ce qu'il s'était passé ce jour-là. Il entendit les cris des pirates, tout d'abord, qui s'élançait sur le navire ennemi, tandis que déjà le bruit sourd des canons se faisaient entendre. Puis tout ne fut plus que feu et sang. Jack fut sans doute le seul à voir son père s'élancer, puis tomber soudainement dans les eaux, ralenti par la violence d'une balle en plein coeur. Il est sans doute mort sous le coup. Les pirates ne le virent pas tout de suite, trop occupés à piller le bateau espagnol. Lui, il regarda le chapeau de son père voler jusqu'à lui, tandis que le vent soufflait à ses oreilles. Il le prit, le posa sur sa tête, et s'élança. L'illusion fut parfaite pendant l'attaque. Personne ne remarquait que le fils avait pris la place du père.
Mais très vite, les espagnols redoublèrent de violence, et les pirates furent contraint de regagner leur navire et de s'enfouir avec ce qu'ils avaient pu voler. C'était une mauvaise attaque. C'était un mauvais plan. Prenant la place de son père, Jack exigea qu'ils se rendent vers l'Irlande, afin qu'ils se fassent oublier quelques temps, et qu'il puisse mettre les choses en ordre sur son navire... puisqu'il lui revenait de droit.
« Hey petit ! Tu n'es pas le Capitaine ! Où est le Capitaine ?! » C'était sans compter sur l'orgueil des hommes qui se rendirent compte alors de l'absence de leur chef. Une mutinerie se préparait sans doute, et Jack ne put compter que sur l'aide d'un ami de longue date de son père, qui l'avait quasiment vue grandir, qui lui avait appris presque tout ce qu'il savait. Un homme de confiance... sauf que dans la piraterie il n'y a pas d'homme de confiance.
Arrivé en Irlande il y avait eu trois hommes morts, tués par Jack alors qu'ils étaient sur le point de tenter de peut être prendre sa place. Le pirate n'avait pas de scrupule à tuer, quand cela été nécessaire, et il n'en a jamais eu. Lorsqu'ils mirent les pieds en Irlande son discours fut simple : « Ceux qui ne souhaitent pas rester sur le Blacklantern sont libres de partir. Ceux qui restent s'engagent à donner leur vie à leur nouveau Capitaine ! Moi. Nous partons à l'aube. » Le lendemain, huit des vingts hommes de son père revinrent d'une nuit de dépravation. Lui-même avait passé la soirée dans une maison close, à boire et à payer des filles de joie. Il voulait faire de nouvelles expériences. Il aimait faire de nouvelles expériences, le sentiment qu'il était libre, et pouvoir tout faire et tout voir. Qu'il ne pouvait pas être condamné, qu'il n'avait pas de masque à porter en société. Qu'il n'était personne, il n'a pas d'importance, et les gens sans importance sont les plus libres dans ce pays. Il avait assez d'argent pour se payer du plaisir.
Alors, quand il largua les amarres, avec ses huit hommes, il se tourna vers son second et lui sourit : « Que diriez-vous, John, de faire le tour de notre beau Royaume-Uni afin de trouver les pires pirates qui s'y cachent ? Il est temps que le Blacklantern bénéficie d'une seconde jeunesse ~ Yoho ! » Proposa-t-il en allant vers les ports de pirate cachés dans les falaises et les récifs. Des endroits inaccessibles, cachés, inconnus par la majorité des marins. Par les marins honnêtes. Les autres se retrouvent dans les endroits lugubres, sombres, et parlent en langage codé pour que personne ne les comprenne. Jack s'intégrait de plus en plus dans ce monde, il s'y faisait une place, il s'y faisait un nom, et petit à petit il reçut le droit d'être nommé Capitale par ses hommes.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] — Le Black Pearl ? Je connais sa légende. Il bombarde navires et campements depuis près de dix ans. ll laisse jamais de survivant. - Pas de survivants ? Comment les légendes prendraient forme dans ce cas là ?.
Londres, 26 juillet 1553.
Cela fait des décennies à présent que le Blacklantern à un nouveau Capitaine. Il continue de naviguer dans un nouveau monde, moins amusant que le précédent. La mort du roi a marqué une période plutôt sombre pour l'Angleterre. Le Blacklantern a toujours été Anglais, et l'a toujours revendiqué. Quant bien même la nouvelle Reine condamne la piraterie, cela ne change rien à cette évidence. Jack reste attaché à son pays, alors il ne fuira pas. Pour la couronne il est un simple marchand, un capitaine sur un bateau normal, traversant les océans pour ramener des marchandises de premières nécessités. En théorie... et officieusement ils restent des pirates, ils restent des hommes cruels, et joueurs. Ils jouent, mais ont changé de proie. A présent, ce sont les Français qui les craignent. Jack s'intéresse peu à la politique, mais bien assez pour ne pas se faire prendre. La mer est son univers, la mer est sa religieux, il n'y a qu'elle pour lui plaire. Elle et les filles de joie du RedLantern où il se rend assez souvent pour être considéré comme un habitué . Habitué des filles tout comme de la patronne, la seule femme qui a réussi à garder son attention plus de trois secondes et une nuit. Elle est comme lui, pense-t-il souvent. Elle est libre.
Jack Mortimer est un bâtard, un tueur, un homme, cruel, joueur, pervers, obsédé, sans conscience, libre. Jack Mortimer est le Capitaine du Blacklantern. En réalité, vous n'avez rien à savoir de plus sur lui.